Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Cancer du rein métastasé: Un nouveau traitement disponible en Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Cancer du rein métastasé: Un nouveau traitement disponible en Algérie

    Cancer du rein métastasé
    Un nouveau traitement disponible en Algérie


    Dans le sillage de la célébration de la Journée mondiale du rein, le laboratoire Bayer Schering Pharma a organisé, hier, à l’hôtel Hilton, une rencontre sur le cancer du rein, qui a été animée par un oncologue allemand, le Dr Goebell, du CHU d’Erganen en l’occurrence.
    Ce spécialiste a affirmé que ce type de cancer, qui survient en général à l’aube de la cinquantaine, “est une maladie redoutable qui touche deux hommes pour une femme avec pour principaux facteurs de risque, le tabagisme”.
    Comme le mal est asymptomatique, la majorité des Algériens, qui en sont atteints, arrivent au diagnostic à un stade avancé.
    Chaque année, le pays enregistre 150 cas de cancer du rein métastasique, ce qui a incité les praticiens nationaux à recommander le dépistage systématique chez la population à risque, c’est-à-dire celle ayant atteint ou dépassé le demi-siècle d’âge ou ayant des antécédents familiaux.
    L’intérêt de cette opération réside surtout dans le fait que le cancer du rein, comme celui du sein au demeurant, est guérissable dans la majorité des cas s’il est traité précocement. Il existe, évidemment, aussi des thérapeutiques pour les cas de métastase.
    Le Dr Goebell a justement cité l’un de ces traitements, le Nexavar, qui a déjà reçu l’autorisation de mise sur le marché dans soixante pays, dont l’Algérie. “Dans tous ces pays, le Nexavar (inhibiteur multikinase) innovant fait partie de l’arsenal thérapeutique proposé en première ligne dans le carcinome rénal à un stade avancé”, a soutenu le médecin allemand.
    Il a expliqué que ce médicament constitue, pour le cancer du rein métastasé et celui du foie, “une avancée majeure, il double la durée de survie sans progression de la maladie et stoppe cette évolution chez plus de 8 malades sur 10. Les malades vivent mieux, et plus longtemps”, a-t-il ajouté. Le même traitement a également prouvé, selon les oncologues, son efficacité sur le cancer du foie primitif.
    Ainsi, il est établi que “sur six patients sous Nexavar suivis par le Centre Pierre et Marie-Curie (CPMC) pour un cancer primitif du foie, quatre présentent un bon état général et une survie de 9 mois”.
    Liberté
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…
Chargement...
X