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TUNIS - La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton est arrivée mercredi soir en Tunisie pour rencontrer les nouvelles autorités du pays deux mois après la chute le 14 janvier du président Ben Ali au bout de 23 ans de pouvoir, a constaté l'AFP.
Jeudi matin, Hillary Clinton, qui n'a fait aucune déclaration à son arrivée à l'aéroport militaire de Tunis, doit rencontrer le président par intérim Foued Mebazaa, puis son homologue Mouldi Kefi, et en milieu d'après-midi le Premier ministre par intérim Béji Caïd Essebsi.
Mme Clinton arrive tout droit d'Egypte où elle a également pris contact avec les nouvelles autorités égyptiennes à la suite de la chute du président Hosni Moubarak il y a un mois.
Concernant l'Egypte et la Tunisie, les pays voisins à l'est et à l'ouest de la Libye, Hillary Clinton avait souligné avant son départ que pour Washington c'était "un enjeu énorme" de faire en sorte que ces deux pays "soient les modèles du type de démocratie que nous souhaitons voir".
Neuf jours seulement après la chute du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, Washington avait déjà dépêché à Tunis un haut responsable du département d'Etat, Jeffrey Feltman.
"L'exemple tunisien" invite à des réformes dans le monde arabe pour prendre en compte les "aspirations" politiques et sociales "légitimes" des populations, avait-il alors dit.
Mardi et mercredi, quelques centaines de personnes ont manifesté à Tunis sans incidents contre la visite de la secrétaire d'Etat.
La révolte populaire qui en un mois (mi-décembre à mi-janvier) a balayé le régime de Zine El Abidine Ben Ali, allié des Etats-unis dans sa lutte contre le fondamentalisme islamiste, avait donné le coup d'envoi de nombreux mouvements de contestation dans le monde arabe.
(©AFP / 16 mars 2011 23h16)
Jeudi matin, Hillary Clinton, qui n'a fait aucune déclaration à son arrivée à l'aéroport militaire de Tunis, doit rencontrer le président par intérim Foued Mebazaa, puis son homologue Mouldi Kefi, et en milieu d'après-midi le Premier ministre par intérim Béji Caïd Essebsi.
Mme Clinton arrive tout droit d'Egypte où elle a également pris contact avec les nouvelles autorités égyptiennes à la suite de la chute du président Hosni Moubarak il y a un mois.
Concernant l'Egypte et la Tunisie, les pays voisins à l'est et à l'ouest de la Libye, Hillary Clinton avait souligné avant son départ que pour Washington c'était "un enjeu énorme" de faire en sorte que ces deux pays "soient les modèles du type de démocratie que nous souhaitons voir".
Neuf jours seulement après la chute du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, Washington avait déjà dépêché à Tunis un haut responsable du département d'Etat, Jeffrey Feltman.
"L'exemple tunisien" invite à des réformes dans le monde arabe pour prendre en compte les "aspirations" politiques et sociales "légitimes" des populations, avait-il alors dit.
Mardi et mercredi, quelques centaines de personnes ont manifesté à Tunis sans incidents contre la visite de la secrétaire d'Etat.
La révolte populaire qui en un mois (mi-décembre à mi-janvier) a balayé le régime de Zine El Abidine Ben Ali, allié des Etats-unis dans sa lutte contre le fondamentalisme islamiste, avait donné le coup d'envoi de nombreux mouvements de contestation dans le monde arabe.
(©AFP / 16 mars 2011 23h16)
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