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Conférence de presse de Abdelhak Benchikha
«Les Marocains laisseront les trois points à Annaba»
A dix jours du très attendu choc Algérie - Maroc, prévu le 27 de ce mois à Annaba, dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2012, le sélectionneur national, Abdelhak Benchikha, a animé hier matin un point de presse où il a abordé tous le sujet inhérents à cette confrontation que le conférencier qualifiera de «décisive et capitale». «Tout le monde le sait.
Mais l’enjeu ne doit pas tuer le jeu», dira d’emblée le coach national, qui signalera au passage la détermination et la volonté qui anime ses poulains à quelques jours de cette confrontation.
Deux paramètres qu’il considère importants. «C’est un point positif qui devrait être déterminant, d’autant plus que les joueurs sont dans une forme optimale», expliquera Benchikha, même s’il a tenu à mettre en avant le caractère sportif de la rencontre. «Ce n’est qu’une rencontre de football.
Les Marocains sont nos frères. Moi, je ne fais pas de politique. Le jour du match, on jouera à fond, mais avant et après, j’espère que ce sera la fête du football maghrébin», a-t-il ajouté. Avant de répondre aux questions des journalistes,
Benchikha a tenu à expliquer ses choix, avec le rappel de certains éléments : «J’ai beaucoup réfléchi et j’ai basé mon choix sur le critère de deux joueurs par poste. J’ai rappelé Ziaya, Abdoun, Ghezzal et Belhadj, parce qu’ils sont compétitifs avec le club. Ce qui n’est pas le cas pour Meghni qui vient de reprendre les entraînements et la compétition.
S’il n’y avait que lui, je l’aurais peut-être convoqué, mais je devais dans ce cas-là faire appel à Guedioura, Kadir et Halliche», dira Benchikha qui a tenu à expliquer le retour de
Chaouchi : «Ce n’est là qu’un retour à la normale et je préfère lui donner une autre chance. Je lui tends la main, à lui de réagir. Il n’a jamais travaillé sous mon autorité et on verra ce que cela va donner», a tenu à préciser le sélectionneur national.
Abordant le match, Benchikha a été clair : «Avec tout le respect que je dois aux Marocains et à Gerets, il laisseront les trois points à Annaba», et d’ajouter : «Nous avons tout pour réussir et toute l’Algérie est derrière notre équipe. Je ne vois pas pourquoi il n’y aura pas un bon résultat.
A nous d’exploiter les faiblesses du Maroc pour leur poser problème et aller chercher cette victoire.» Le sélectionneur national, qui n’a pas pu regrouper ses capés au mois de février dernier avec l’annulation de la joute amicale face à la Tunisie, a estimé que cela n’est pas un problème, même s’il aurait bien voulu disputer cette rencontre.
Concernant le onze type qui sera aligné face au Maroc, Benchikha avouera qu’il a une idée plus ou mois précise, sans donner aucune indication, notamment sur la participation des joueurs locaux convoqués pour ladite confrontation.
Benchikha, qui s’est dit beaucoup mieux préparé pour sa deuxième sortie officielle à la tête des Verts, après sa première sortie ratée à Bangui face à la Centrafrique, estimera par ailleurs : «En tant que coach, je n’ai pas le pouvoir de décision. Ce n’est pas moi qui fais la passe décisive. Mais je fais des choix tactiques qui peuvent changer. Je dirais toutefois que je suis mieux préparé que lors de notre déplacement à Bangui», dira Benchikha en guise de conclusion, en évitant d’aborder la question de son avenir en cas d’échec face au Maroc, se réservant le droit d’y répondre «au moment opportun».
El Watan
«Les Marocains laisseront les trois points à Annaba»
A dix jours du très attendu choc Algérie - Maroc, prévu le 27 de ce mois à Annaba, dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2012, le sélectionneur national, Abdelhak Benchikha, a animé hier matin un point de presse où il a abordé tous le sujet inhérents à cette confrontation que le conférencier qualifiera de «décisive et capitale». «Tout le monde le sait.
Mais l’enjeu ne doit pas tuer le jeu», dira d’emblée le coach national, qui signalera au passage la détermination et la volonté qui anime ses poulains à quelques jours de cette confrontation.
Deux paramètres qu’il considère importants. «C’est un point positif qui devrait être déterminant, d’autant plus que les joueurs sont dans une forme optimale», expliquera Benchikha, même s’il a tenu à mettre en avant le caractère sportif de la rencontre. «Ce n’est qu’une rencontre de football.
Les Marocains sont nos frères. Moi, je ne fais pas de politique. Le jour du match, on jouera à fond, mais avant et après, j’espère que ce sera la fête du football maghrébin», a-t-il ajouté. Avant de répondre aux questions des journalistes,
Benchikha a tenu à expliquer ses choix, avec le rappel de certains éléments : «J’ai beaucoup réfléchi et j’ai basé mon choix sur le critère de deux joueurs par poste. J’ai rappelé Ziaya, Abdoun, Ghezzal et Belhadj, parce qu’ils sont compétitifs avec le club. Ce qui n’est pas le cas pour Meghni qui vient de reprendre les entraînements et la compétition.
S’il n’y avait que lui, je l’aurais peut-être convoqué, mais je devais dans ce cas-là faire appel à Guedioura, Kadir et Halliche», dira Benchikha qui a tenu à expliquer le retour de
Chaouchi : «Ce n’est là qu’un retour à la normale et je préfère lui donner une autre chance. Je lui tends la main, à lui de réagir. Il n’a jamais travaillé sous mon autorité et on verra ce que cela va donner», a tenu à préciser le sélectionneur national.
Abordant le match, Benchikha a été clair : «Avec tout le respect que je dois aux Marocains et à Gerets, il laisseront les trois points à Annaba», et d’ajouter : «Nous avons tout pour réussir et toute l’Algérie est derrière notre équipe. Je ne vois pas pourquoi il n’y aura pas un bon résultat.
A nous d’exploiter les faiblesses du Maroc pour leur poser problème et aller chercher cette victoire.» Le sélectionneur national, qui n’a pas pu regrouper ses capés au mois de février dernier avec l’annulation de la joute amicale face à la Tunisie, a estimé que cela n’est pas un problème, même s’il aurait bien voulu disputer cette rencontre.
Concernant le onze type qui sera aligné face au Maroc, Benchikha avouera qu’il a une idée plus ou mois précise, sans donner aucune indication, notamment sur la participation des joueurs locaux convoqués pour ladite confrontation.
Benchikha, qui s’est dit beaucoup mieux préparé pour sa deuxième sortie officielle à la tête des Verts, après sa première sortie ratée à Bangui face à la Centrafrique, estimera par ailleurs : «En tant que coach, je n’ai pas le pouvoir de décision. Ce n’est pas moi qui fais la passe décisive. Mais je fais des choix tactiques qui peuvent changer. Je dirais toutefois que je suis mieux préparé que lors de notre déplacement à Bangui», dira Benchikha en guise de conclusion, en évitant d’aborder la question de son avenir en cas d’échec face au Maroc, se réservant le droit d’y répondre «au moment opportun».
El Watan
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