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Le DRS n'est qu'une partie des problèmes de l'Algérie

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  • Le DRS n'est qu'une partie des problèmes de l'Algérie

    Ces derniers temps des tirs nourris se focalisent sur le Département du renseignement et de la sécurité. DRS, dégage !

    La place centrale qu’occupe ce service dans l’architecture du système algérien justifie certainement une telle vindicte. Mais comme tout ce qui est excessif, cette compagne aux allures donquichottesques, tant elle prend parfois l’allure de retournements de positions abruptes et surprenantes, ne livre pas tous ses objectifs.

    Bien sûr que le changement démocratique appelle à une dissolution de toute police politique ; à la mise sous contrôle de l'action des services par l’exécutif mais surtout par la représentation nationale élue. La dissolution de ce que d’aucun désigne comme le seul parti politique véritable en Algérie participe de la rupture d’avec le système en place ; mais cela suffit-il ?

    Le DRS tire sa puissance d’abord de la nature du système. Un système d’hégémonie bureaucratique centré sur l’accaparement du revenu national. C’est comme outil de contrôle des circuits de privatisation et de redistribution de la rente qu’il exerce une activité occulte, illégitime et illégale. Par ce rôle il devient un instrument de gestion frauduleuse des processus électoraux, et in fine imprime cette logique à tous les appareils d’Etat sur lesquels il exerce une influence. Oui, il faut dissoudre le DRS, et dans une dynamique de refondation de l’Etat national, reconstruire des services spécialisés républicains soumis au contrôle de la représentation populaire. Et, cela prendra du temps tant la gestion de cette ligne de fracture entre la Force et le Droit est complexe.

    Donc le DRS n’est que l’un des instruments, même s’il est le plus redouté, par lesquels la bureaucratie rentière musèle la société et contrarie son élan émancipateur.

    L’Algérie, connaît un autre outil d’asservissement et d’hégémonie sanglante : l’islam politique. Ce courant passéiste cristallise tous ce qu’il y a de conservateur et d’archaïque dans notre société. Son histoire montre la permanence de l’action violente comme mode opératoire privilégié dans sa confrontation à l’autre. Négateur de la différence et du pluralisme il constitue la négation de la République et de la Démocratie.

    Tous ses efforts de travestissement n’empêchent pas la manifestation de sa nature, et l’actualité récente en donne illustration, de l’agression à l’arme blanche des étudiants de Bouira par les activistes de l’UGEL, aux propos scandaleux de Boudjera sur sa page Facebook. De ce monstre ancré dans les circuits du trabendisme et des trafics en tout genre, il faut aussi rompre.

    Son idéologie criminelle a liquidé notre élite nationale, ou l’a poussé à l’exil. Elle doit être disqualifiée. Nous avons perdu les Sanhadri, Boucebsi, Djaout et Alloula. Les Lyabes, Boukhebza, Mbarek Mahiou, Tigzirine et Aziz Belgacem. Nous avons perdu de jeunes vierges qui refusaient la mise en esclavage, et des lycéennes la séquestration de leurs beaux cheveux par du torchon. Nous avons connu les nuits de peur, et les sursauts de stupeur à chaque claquement suspect. Nous avons ramassé des lambeaux de chair humaine carbonisé par le souffle infernal d’engins démoniaque, à l’aéreport, à Amirouche ou au monument aux morts d’Ighil-izane et Chlef. Le mythe de l’arrêt du processus électoral comme primo violence ne tient pas. En témoigne les corps lacérés et profanés des gardes-frontières de Guemmar.des Djounoud de Telagh, et toutes ces femmes vitriolées ou humilié par des polices « municipales » inquisitrices. La terreur et la violence sont dans la nature même de l’islamisme.

    Comment les disqualifier ? Par la sécularisation de l’Etat. Aujourd’hui encore la bureaucratie algérienne et l’islamisme se disputent la légitimité religieuse. L’un par l’instauration d’un mufti en chef ; l’autre par la création d’une association nationale des imams et Oulamas. Deux clergés qui s’affronteront sans concessions, et qui mèneront tôt ou tard à d’autres tekfir, d’autres stigmatisations et des confrontations sanglantes. Dès lors que le sacré est mêlé au profane le droit à la différence, à la libre conscience et au libre arbitre s’en trouvent bafoués et niés. La base la plus sûre pour une véritable paix civile, et une reprise de la marche du mouvement national algérien est dans la rupture avec la bureaucratie rentière et l’islam politique.

    La focalisation sur l’un ou l’autre, séparément, n’aboutit qu’à leur maintien solidaire et à l’hypothèque de tout changement salutaire.
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

  • #2
    Moi j'aime bien ce texte.
    Et je pense qu'ils y en a d'autres ici qui partage mon avis.
    C pour ça qu'il aurait été bien d'avoir un bouton sur le forum qui nous permette de dire j'aime ou j'aime pas!!
    Le monde est dangereux à vivre! Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.
    Albert Einstein

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    • #3
      Une autre lecture

      C'est quand les Moukhabarates «tombent» que…

      par Kamel Daoud

      Le mur de Berlin est tombé, quand la Stasi est tombée avec. La Stasi, ce sont les services secrets allemands de l'Est. Et tous les pays ont leur Stasi. Des «Services secrets» d'autant plus forts que le Pouvoir est faible et illégitime. Des Services d'autant plus délinquant que le Pouvoir est de la famille des dictatures. C'est donc une loi et surtout dans les pays arabes : les «Services» se sont autonomisés, sont retournés contre le peuple domestique, utilisent leurs moyens pour s'enrichir, contrôler l'économie et la parasiter, servir le maître et se servir, polluer la vie intellectuelle, la culture, les livres, les entreprises, les syndicats et les partis et les ministères. Sans contrôle parlementaire, sans contrôle public et sans contrepoids institutionnel, maître d'une économie informelle forte et architectes des grandes transactions nationales, ils finissent par prendre en otage le système et s'en faire les propriétaires et les défenseurs : dans le cas extrême, Moubarak devient le vice-président désigné par le général Tantaoui, a écrit le chroniqueur il y a quelques semaines. Pire encore, les «Services» peuvent monopoliser tout le fond de la légitimité politique et se déclarer dépositaires de l'ordre, de la «sécurité nationale», de la stabilité et les gardiens des lignes rouges.

      Ce statut d'Etat au-dessus de l'Etat et de principauté de l'impunité et de monopole de la violence en a fait le point de fixation des révolutions en Egypte et en Tunisie. Et c'est ce qui a fait que ces révolutions sont en passe de réussir : les «Services» contre les peuples n'y existent plus, ont été vaincus et dissous et leurs missions redéfinies et leurs coupables jugés. Une révolution est réussie lorsque les archives secrètes sont publiques, les compromissions dévoilées, les enveloppes identifiées et les listes mises en domaine public. Est c'est à ce moment là que l'on prend, généralement, conscience que la révolution était nécessaire, imposée par la nature. Dans le cas de l'Egypte, lorsque les locaux des sinistres «Moukhabarates» ont été prises d'assaut, on y a découvert que des ministres étaient impliqués dans des attentats terroristes par le biais d'islamistes en préfabriqués, que des journalistes étaient des indicateurs et des délateurs, que des églises ont été dynamitées pour provoquer des tensions communautaires, que des hommes d'affaires étaient rackettés ou punis à cause de leur manque de soumission. On y a découvert une hideur incroyable et un encanaillement criminel d'une institution payée par le peuple qu'elle torturait et tuait. Et dans le cas de l'Egypte, chaque arabe a vu le reflet plus ou moins juste, de son propre cas, du cas de son pays et s'est «expliqué» un peu le désastre national, les lourds soupçons et les affreuses intuitions. Chaque arabe a retrouvé un nom local qui correspond au cas de l'Egypte ou aux commissaires politiques de Benali. Et chacun a compris l'essentiel : le Système est là, au bout de l'index et pas seulement sur la tête du dictateur honni. La Révolution dans les pays arabes est une réussite lorsque ses «Services» sont réorganisés et «nationalisés», libérant du coup la vie politique, l'économie, la culture, les élections, les candidatures et les cœurs et libérant la citoyenneté de la peur ou de la cupidité.


      Le Quotidien d'Oran

      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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      • #4
        Si la volonté populaire est inébranlable, rien ne peut lui résister. Si, dans le fond, c'est un souhait que, majoritairement, nous partageons, dans la forme, il reste beaucoup de travail à faire pour se mettre d'accord sur la façon dont doit s'opérer la refondation nationale. La Tchécoslovaquie est un cas d'exemple de transition démocratique de velours.

        ...
        le parti communiste tchécoslovaque annonça le 28 novembre qu'il abandonnait sa mainmise sur le pouvoir politique : sur sa demande, l'Assemblée fédérale vota l'abolition de l'article de la constitution sur le rôle dirigeant du PC dans la société et l'État. Les fils barbelés furent retirés des frontières ouest-allemande et autrichienne le 5 décembre 1989 ; le 10 décembre, le président communiste Gustáv Husák intronisa le premier gouvernement largement non-communiste depuis 1948, et démissionna, réalisant qu'il ne pouvait compter sur l'aide de Moscou. Alexander Dubček fut élu président de l'Assemblée fédérale le 28 décembre, et Václav Havel président de République tchécoslovaque le 29 décembre 1989. Le nouveau président n'envisageait pas du tout l'accès à ce poste les jours précédant la chute du régime et dût se faire un peu prier pour accepter : aussi, son mandat devait expirer 40 jours après les premières élections parlementaires libres qui devaient suivre.
        Au cours de la Révolution de velours, c'est à peine si une goutte de sang a coulé. Le pays venait de vivre un coup de Prague à l'envers.
        ...
        Dernière modification par Pangeen, 17 mars 2011, 11h57.

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        • #5
          La Révolution dans les pays arabes est une réussite lorsque ses «Services» sont réorganisés et «nationalisés», libérant du coup la vie politique, l'économie, la culture, les élections, les candidatures et les cœurs et libérant la citoyenneté de la peur ou de la cupidité.
          Absolument; mais faut se garder de toute naïveté. sortir du système actuel pour tomber dans une théocratie, n'est pas la solution. Et les conciliabules de Bouteflika enferment l'Algérie dans cette voie étroite. Par revanchisme, il va amnistier l'islamisme et lui ouvrir la voie royale du pouvoir, parce que les révoltes arabes en ont fermé l'accès à son héritier de frère.

          L'équation algérienne est complexe, il faut sortir de l'Etat policier sans nous enfoncer dans l'Etat théocratique. Comment? Lancinante question. reconquérir l'espace publique, et refuser toute inquisition.

          le plus important n'est pas dans l'appréciation de la situation actuelle, ou dans la lecture du passé récent ou lointain; chacun peut avoir les siennes. L'important est dans la direction que nous prenons. Vers quoi nous engageons nous?

          Une Algérie démocratique, sociale, solidaire, sécularisée? ou bien une dictature théocratique? L'islam politique n'a pas renoncé à se ambitions hégémoniques; et aujourd'hui il est fort de ses alliance avec un nationalisme étroit en mal de légitimité.
          Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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          • #6
            La première partie de l’article nous laisse dans l’attente d’un point de vue original, hélas, la suite est très… schématisée.

            Malheureusement, la vision proposée par cet article est aussi spéculative que celle qui consiste à dire que le DRS contrôle tout et est à l’origine de toutes les plaies. C’est une histoire de perspectives, la première (celle de l’article) consistant à dire que le DRS est un mal parmi d’autres, et la seconde désignant le DRS comme étant le problème principal, les autres maux étant le fruit de sa nocive créativité (exemple, on nous dit que le RCD est un outil du DRS [finalité : l’illusion démocratique] ; autre exemple, on nous dit que l’intégrisme est un outil du DRS [finalité : légitimer le maintien de l’autocratie], etc.).

            Est-ce qu’on devra attendre que le bâtiment de nos ‘’mokhabarate’’ soit pris d’assaut pour savoir leur véritable capacité de nuisance ? (Encore faut-il que ces informations soient matérialisées et centralisées quelque part). Si, par contre, la dissolution du DRS se fait de manière consensuelle et affectueuse, on risque de ne jamais savoir qui a fait quoi, avec quel moyen et par ordre de qui…



            sortir du système actuel pour tomber dans une théocratie, n'est pas la solution
            Le hic, c’est que les deux n’ont pas l’air de s’exclure ; ils vivent bien ensemble apparemment : nous sommes pratiquement à 20 ans de l’annulation du processus électoral et pourtant, en cas de chute du régime, nous redoutons à peu près les mêmes dérapages. Malheureusement, le régime qui a étouffé la société civile pendant tout ce temps là a cloitré le pays dans les mêmes craintes et inquiétudes, et nous en sommes encore, 20 ans après, à choisir entre deux maux : mourir étouffé, ou mourir décapité (la deuxième solution permettant de profiter d’une agonie assez longue et, peut-être, de bousculer son bourreau).
            Dernière modification par Loubia, 17 mars 2011, 12h48.
            -
            Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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            • #7
              @l'imprevisible.

              D'accord, merci. Question retirée.
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              Ce n’est pas un homme, c’est un champignon.
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              • #8
                Ce qu'oublie de dire l'article c'est que c'est Bouteflika le liant entre l'idéologie sécuritaire et l'idéologie intégriste, et ceci est une donnée fondamentale pour comprendre le système

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                • #9
                  Le Chef fait ce qu'il veut quant il veut

                  Celui qui a ete capable de degomer Lamari est certainement capable de degomer Tewfik si il le veut !!!???

                  C'est tout simplement le pouvoir qui veut et qui accepte que les choses se passent et se deroulent ainsi !!

                  A chacun ses responsabilites.

                  Arretons donc de jeter la balle a autruit !!!
                  Le Sage

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                  • #10
                    Le probléme de l'Algérie n'est pas lié à une personne ou meme une institution en particulier.

                    Notre problème est un problème de configuration. C'est les méchanismes de fonctionnement du pays qui m*rde, et non pas les hommes ou la situation. Mettez Saadi président, donnez lui 10 ans, et le résultat sera le meme que sous Boutef. Mettez Tabou, kif kif.. tant que les méchanismes n'ont pas été configurés correctement, les problémes persisteront.

                    A titre d'exemple: Boutef a pu modifier la constitution parce que les cadenas inclus dans celle ci etaient défaillants. Autre exemple: les textes qui autorisent la détention provisoire en Algérie sont trop flou et s'applique autant aux délits qu'aux crimes. Résultat? Nos juges mettent en détention provisoire meme des voleurs à la sauvette et la porte est ouverte aux abus. Combien de procédure exigent des citoyens de déposer une demande sans imposer pour autant un réponse "OUI" par défaut si un certain délai de réponse est dépassé? Ca aussi ca ouvre la porte à tout les abus..

                    Ce genre de configuration optimale comme en Suisse s'acquierait dans le passé sur des générations, ca mettait du temps. Mais aujourd'hui si on voulait vraiment on pourrait le faire trés rapidement à l'ére des facebooks, internet, emails, tv live, et alphabétisation généralisée ...

                    Les exemples de mauvaises configuration de notre système sont légions. Ce qui me décoit dans la classe politique Algérienne tant le pouvoir, l'opposition ou la presse c'est qu'on ne trouve jamais une analyse détaillée, une étude de fond sur ce travail de fourmis qui doit etre effectué. Et ca vire plutot aux attaques personelles dans le pire des cas, démagogiques dans le meilleur, sur fond de lutte politiciennes.. Boutef, DRS, Saadi, bourourou Islamiste, ... tout ca n'est pas le probléme. C'est la config le problème.

                    ∑ (1/i²) = π²/6
                    i=1

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                    • #11
                      @Alryib3,

                      Notre problème est un problème de configuration.
                      ...
                      Autrement dit; c'est tout le logiciel ( programme ) qui est à revoir mais pour ça, il faut peut-être mettre en place une autre équipe de programmeurs.

                      P.

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                      • #12
                        Si la volonté populaire est inébranlable, rien ne peut lui résister.
                        oui, la volonté populaire... la volonté du peuple... je suis d'accord...

                        mais la populace en revanche, n'a aucune volonté. On ne peut rien en tirer de bon.
                        le DRS contrôle toute la Galaxie

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                        • #13
                          Envoyé par loubia
                          Le hic, c’est que les deux n’ont pas l’air de s’exclure ; ils vivent bien ensemble apparemment : nous sommes pratiquement à 20 ans de l’annulation du processus électoral et pourtant, en cas de chute du régime, nous redoutons à peu près les mêmes dérapages.
                          Absolument, nous assistons à la naissance, sinon à la consolidation d'une nouvelle idéologie, le national-islamisme. l'arrêt du processus électorale pouvait avec l'action du président Boudiaf ouvrir sur des perspectives de ruptures; mais son assassinat a constitué une inflexion de cette orientation. Et, le HCE II a ouvert la voie de la compromission avec l'islamisme. Le RPN projeté par Mohamed Boudiaf a été cloné en le RND, qui à la faveur de la remonté des prix du baril a fait place honorable au FLN et au FLN.

                          Pour la seconde partie - très schématisé - je souhaiterais être éclairé.
                          Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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                          • #14
                            Mob DZ

                            Absolument; mais faut se garder de toute naïveté. sortir du système actuel pour tomber dans une théocratie, n'est pas la solution. Et les conciliabules de Bouteflika enferment l'Algérie dans cette voie étroite. Par revanchisme, il va amnistier l'islamisme et lui ouvrir la voie royale du pouvoir, parce que les révoltes arabes en ont fermé l'accès à son héritier de frère.

                            Comme tu le dis si bien il faut se garder de toute naiveté , ca n'empêche notre police politique doit rester et jouer pleinement son rôle au même titre que tous les pays qui en disposent à leurs convenances . Ils sont les seuls garants de la stabilité et contre la propagation de l'Islamisme version boutef .
                            Les discours n'apportent rien de nouveau pour le moment car nous restons au même point c'est à dire le champ politique est totalement balisé jusqu'en juillet 2012 , parait il . D'ici là , l'Algérie toute entière choisira son modèle de société , c'est peut être cela qui va faire que nous réussirons l'épreuve de conduite tant espérer à savoir ne pas tomber dans les pièges de H.CLINTON & B.OBAMA , et qui est la propagation de l'islamisme dans tout le monde Arabe

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                            • #15
                              Nous avons perdu de jeunes vierges qui refusaient la mise en esclavage, et des lycéennes la séquestration de leurs beaux cheveux par du torchon. article

                              comme je n'aime pas l'ideologie des tangos ,je n'accepte pas non plus le denigrement sur la religion musulmane ,car je suis musulman avant tout ,un islam ouvert ,qui ne force personne ,mais les filles qui veulent le porter par conviction religieuse ,ne doit pas etre non dillipendé et etre mise a l'ecart de la societé nouvelle de ceux qui veulent un changement

                              on ne change pas un systeme autoritaire pas un autre..non pas ca..

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