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Les crimes de guerre de l'armée francaise en algerie

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  • Les crimes de guerre de l'armée francaise en algerie

    Les méthodes utilisées par l'armée francaise durant la guerre d'algerie n'ont rien à envier à c'elle de la gestapo.pour cela il est interessant de lire ''quand la france torturait en algerie'' et''torturés par le pen'' de hamid bousselham.edition rahma,anep alger.et 'les tortionnaires de pelissier à le pen'' de nedjadi boualem,ed l'anep alger.
    Je crois que tout ce qui peut contribuer à un travail de mémoire et à éclairer notre passé est une contribution positive pour nous aujourd'hui .
    Les temoignages accablants du general aussaresse sur la torture en algerie pendant la guerre de liberation sont là depuis deja l'an 2001 mais les autorités francaises ne parviennent pas a regarder en face la réalité cette guerre occultée pendant en demi siecle!
    Le pouvoir francais ne parvient pas à regarder en face cette guerre occultée pendant un demi siecle.le comble il fait méme de la diversion en qualifiant le genéral à la retraite,officier de la légion d'honneur,en le presentant comme un vieillard sénile,ayant perdu une grande partie de ses facultés intellectuelles.
    Aprés avoir pris connaissance du livre du général aussaresses sur la torture en algerie,j-m le pen a declaré en toute bonne conscience,que''les méthodes qui furent utilisées étaient des méthodes brutales mais n'ayant pas l'ignominie de ce qu'on decrit et qui sont le fait de petits groupes specialisés couverts par leurs autorités militaires''.
    Mais en lisant les 3 livres cités ci dessus on verra que la réalité ,et témoignages prouvent autre chose.
    Pendant la bataille d'alger,le lieutenant jean marie le pen,pratiquait la torture dans la villa des roses,au 74 boulevard gallieni à el biar.c'est dans ces lieux qu'il s'est livré sur des prevenus sans défense à des actes d'une éxtreme cruauté sous prétexte de les faire avouer.dans la villa il disposait d'une baignoire pour y pratiquer la torture dite de la ''baignoire''.il y plongait la téte de ses victimes jusqu'a suffocation.il etait aussi arrivé au lieutenant le pen de finir ses victimes dans le jardin de la villa.ou bien d'organiser une execution d'un detenu aux yeux de ses victimes impuissantes.
    Un temoin mahfoudh abdelbaki se souvient'un jour le pen a fait sortir tout le monde de la baraque.il leur a dit:'' vous allez voir une éxecution''.c'etait la nuit.il nous a demandé de nous mettre debout.puis les soldats ont amené moussa.ils l'ont mis à genous.il sortait d'interrogatoire et il etait couvert de sang sur le visage et la cage thoracique.le pen va et vient ds la salle devant moussa à genoux.il lui dit'' moussa tu as jeté des bombes,tu as fait le con.tu as mecé tes camarades,qui ne supportent pas la torture''.alors il sortit son revolver de l'étui.il l'a mis sur la tempe du pauvre et il a tiré.puis il a crié'' tout le monde dedans.allez rentrez,c'est fini''.moussa à été exucuté pour ''l'exemple''
    .....à suivre

  • #2
    Le pen s'installait parfois à la terasse de la villa des roses pour ''admirer'' le spectacle de sa toute puissance d'officier tortionnaire ayant droit de vie et de mort sur ses victimes.
    Tous les temoins de cités par hamid bousselham s'accordent sur un point: Le pen ne faisait pas dans la dentelle,et ne s'embarassant d'aucune légalité,d'aucune morale.un témoin du nom mohamed louli raconte:émené de chez lui,à notre dame.les hommes de le pen lui attachés les mains,et lui ont mis un bandeau sur les yeux et puis l'ont fait monter ds une voiture.quand on m'a enlevé le bandeau il etait deja à la villa face à son boureau,et à coté de lui le capitaine martin.d'abord l'interrogatoire commencait ''gentiment''.puis les choses serieuses.c'est là qu'ils commencé à me torturer.le premier soir c'etait la torture à l'eau.le pen et martin interrogaient.puis louli est soumis au supplice de la baignoire.il y'avait une grande bassine d'eau sale.ils m'ont attaché comme un saucison sur un banc.ma téte depassait de la planche.lorsqu'ils constataient que je ne disais rien ,ils soulevaient le banc.ma téte s'enfoncait ds l'eau de la bassine.parfois le pen frappait lui méme ses prisonniers sans defense transformés en sac d'entrainement.il les boxait en trouvant un plaisir sadique à les mettre k.o
    D'aprés la veuve de mouloud messaoud,dont le fils,hadj ali mouloud,a été torturé a mort ds la villa des roses,LE PEN s'est adressé en ces termes à ses compagnons de détention''je suis prét à me farcir un ''bougnoule' à chaque petit dejeuner.vous les ratons,vous ne comprenez qu'un seul langage,l'insulte,les coups,et quand vous ne voulez pas comprendre que vous etes à ma botte,je vous élimine''
    Ce qui n'empechait pas le pen de rappeler à tout moment à ses victimes '' la mission civilisatrice de la france''.il rassemblait parfois ses victimes encore couvertes de sang et leur administrer des lecons de morale''je ne vous comprends pas pourquoi vous faites la guerre à la france?qu'est c qui vous manque?je suis allé ds beaucoup de foyers.j'ai vu que beaucoup avaient de jolis meubles et des postes radio.certains avaient méme de la télevision.qu'est c que vous cherchez de plus?

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    • #3
      il faut revenir plus loins que la guerre de liberation ..il faut revenir a 1830 jusqu(a 1962
      essayé de lire les memoires des cadres de l'armée et des soldats ainsi que leurs correspondances ...c'est plus vrai que les syntheses
      « Puis-je rendre ma vie
      Semblable à une flûte de roseau
      Simple et droite
      Et toute remplie de musique »

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      • #4
        Parmi les documents que j'ai pu récolter, voici un extrait du rapport de la commission parlementaire, chargée en 1833 par le maréchal Soult, d’une enquête en Algérie. Les parlementaires étaient écoeurés par les agissements de leurs compatriotes. On pouvait lire “ ...Nous avons massacré des gens porteurs de sauf-conduits; égorgé, sur un soupçon des populations entières qui se sont ensuite trouvées innocentes; nous avons mis en jugement des hommes réputés saint dans le pays, des hommes vénérés, parcequ’ils avaient assez de courage pour s’exposer à nos fureurs, afin d’intercéder en faveur de leurs malheureux compatriotes; il s’est trouvé des juges pour les condamner et des hommes civilisés pour les faire éxécuter.
        “ ...Nous avons plongé dans les cachots des chefs de tribus, parceque ces tribus avaient donné asile à nos deserteurs; nous avons décoré la trahison du nom de négociation, qualifié d’actes diplomatiques de honteux guet-apens; en un mot nous avons débordé en barbarie les barbares que nous venions civiliser, et nous nous plaignons de ne pas avoir reussi auprès d’eux!!!".

        Voilà pour les adeptes "des bienfaits de la colonisation", et c'est des parlementaires français de l'époque qui le disent.
        Le sage souffre dans le bonheur du savoir... L’ignorant exulte dans les délices de l’ignorance

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