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L’organisation internationale des droits de l’homme, Amnesty International, a demandé au Maroc de ne pas réprimer les manifestations prévues dimanche 20 mars dans le pays.
Amnesty International dit craindre les scénario du dimanche 13 mars, jour où un sit-in dominé par des militants d’Al Adl wal Ihssane avait été brutalement réprimé par les forces de l’ordre à Casablanca. L’organisation a qualifié ces incidents de "régression inquiétante" après "les promesses faite par le roi du Maroc sur le respect des droits humaines".
"Les autorités marocaines doivent respecter le droit des manifestants à exprimer leurs opinions et revendications de manière pacifique et enjoindre aux forces de l’ordre de ne pas recourir à une force injustifiée lorsque cela n’est pas nécessaire pour disperser les rassemblements."
Les marches du dimanche 20 mars, organisées à l’appel du Mouvement du 20 février pour accélérer le processus des réformes politiques et constitutionnelles dans le Royaume, devraient être suivies dans au moins soixante villes et villages au Maroc et à l’étranger.
Amnesty International dit craindre les scénario du dimanche 13 mars, jour où un sit-in dominé par des militants d’Al Adl wal Ihssane avait été brutalement réprimé par les forces de l’ordre à Casablanca. L’organisation a qualifié ces incidents de "régression inquiétante" après "les promesses faite par le roi du Maroc sur le respect des droits humaines".
"Les autorités marocaines doivent respecter le droit des manifestants à exprimer leurs opinions et revendications de manière pacifique et enjoindre aux forces de l’ordre de ne pas recourir à une force injustifiée lorsque cela n’est pas nécessaire pour disperser les rassemblements."
Les marches du dimanche 20 mars, organisées à l’appel du Mouvement du 20 février pour accélérer le processus des réformes politiques et constitutionnelles dans le Royaume, devraient être suivies dans au moins soixante villes et villages au Maroc et à l’étranger.