Voulant manifester le 15 mars dernier son soutien au peuple japonais qui traverse une épreuve difficile avec le séisme et le tsunami qui se sont abattus sur le pays du Levant, le président du Festival international du film sur les Droits humains, le Marocain Omar Louzi a payé cher son initiative, lui qui est également président du Comité de solidarité avec le peuple japonais.
Arrêté par les services de la DST marocaine, il a passé trois jours d’interrogatoire et de torture (le certificat médical avec incapacité temporaire de travail de 25 jours sauf complication faisant foi) avant d’être libéré. Omar Louzi et ses compagnons comptaient en effet organiser une minute de silence devant le Parlement marocain en solidarité avec le peuple nippon. C’est la deuxième fois en l’espace de moins de trois mois que ce militant a été arrêté, presque kidnappé, par la police marocaine.
Liberté
Arrêté par les services de la DST marocaine, il a passé trois jours d’interrogatoire et de torture (le certificat médical avec incapacité temporaire de travail de 25 jours sauf complication faisant foi) avant d’être libéré. Omar Louzi et ses compagnons comptaient en effet organiser une minute de silence devant le Parlement marocain en solidarité avec le peuple nippon. C’est la deuxième fois en l’espace de moins de trois mois que ce militant a été arrêté, presque kidnappé, par la police marocaine.
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