L'île de Malte qui possède de gros contrats avec la Libye à refusé de céder au chantage de Kadhafi qui lui demandait de faire un échange avec les 3 Hollandais détenus chez lui contre les 2 mirages qui ont atterri sur son sol le 21 février.
Deux pilotes Libyens avaient choisi de quitter la Libye au lieu de se soumettre aux ordres de Kadhafi qui leur demandait de tirer sur les révolutionnaires qui protestaient à Benghazi et atterrir sur le sol maltais sans alerter à l'avance l'aéroport civil de ce pays. Malte les a accueilli et a refusé de restituer les 2 mirages à Kadhafi et lui avait demandé de libérer les 3 Hollandais sans ésperer de récupérer les 2 avions.
Une décision courageuse d'une île qui a bien réagi avant même le vote de la résolution pour une no fly zone.
Deux pilotes Libyens avaient choisi de quitter la Libye au lieu de se soumettre aux ordres de Kadhafi qui leur demandait de tirer sur les révolutionnaires qui protestaient à Benghazi et atterrir sur le sol maltais sans alerter à l'avance l'aéroport civil de ce pays. Malte les a accueilli et a refusé de restituer les 2 mirages à Kadhafi et lui avait demandé de libérer les 3 Hollandais sans ésperer de récupérer les 2 avions.
Une décision courageuse d'une île qui a bien réagi avant même le vote de la résolution pour une no fly zone.
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