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Lybie : la dernière lubie... de notre président.
Par paris côte d'azur, mercredi 23 mars 2011 Jules Renard disait « Je n'ai pas très bon goût mais j'ai un mauvais goût très juste ». L’intervention française en Libye, voulue par notre très médiatique président, est en passe de se terminer en eau de boudin diplomatique. Grand dieu, qu'avons nous été faire dans cette galère ! Serait-ce seulement pour faire plaisir au très philosophe Bernard Henry Levy ? La Libye est un dessert peuplé de tribus (et non d'un peuple) qui se font la guerre depuis toujours. Les puits de pétrole ont remplacé les points d’eau, les quatre quatre ont pris la place des chameaux... voilà pour les changements.
Alors, engager nos troupes dans les sables mouvants libyens me fait penser à Bush junior partant en guerre en Irak. Que va-t-on nous dire quand il y aura les premiers morts français ? Quels sont nos intérêts dans ce conflit improbable sinon l’occasion de faire jouer la fibre patriotique et faire remonter le président Sarkozy dans les sondages. Ça ne marchera pas. Les Français sont moins bêtes que les Américains ou plus cultivés. Et comment expliquer les risques de représailles que l'on fait courir au peuple français pour cette opération de communication qui s’annonçait facile ? A-t-on été manipulé par les Américains ? C'est possible, puisque cela fait désormais parti de la nouvelle politique française.
La guerre est une chose grave. Elle se fait pour défendre nos intérêts vitaux. Est-ce le cas ? Et que dire du coût pour notre pays déjà passablement surendetté de cette opération post coloniale ? Que dire de la tente de Kadhafi plantée dans les jardins de l'Élysée et d’un accueil hors de proportion alors que le « guide » donnait déjà de sérieux signes de démence ? S’il nous avait signé un chèque pour les Rafales, l'aurions nous attaqué ?
Notre guide à nous connaît-il cette maxime de Coluche « L'amour rend fou, il n'y a que la guerre qui Rambo » ?
Par paris côte d'azur, mercredi 23 mars 2011 Jules Renard disait « Je n'ai pas très bon goût mais j'ai un mauvais goût très juste ». L’intervention française en Libye, voulue par notre très médiatique président, est en passe de se terminer en eau de boudin diplomatique. Grand dieu, qu'avons nous été faire dans cette galère ! Serait-ce seulement pour faire plaisir au très philosophe Bernard Henry Levy ? La Libye est un dessert peuplé de tribus (et non d'un peuple) qui se font la guerre depuis toujours. Les puits de pétrole ont remplacé les points d’eau, les quatre quatre ont pris la place des chameaux... voilà pour les changements.
Alors, engager nos troupes dans les sables mouvants libyens me fait penser à Bush junior partant en guerre en Irak. Que va-t-on nous dire quand il y aura les premiers morts français ? Quels sont nos intérêts dans ce conflit improbable sinon l’occasion de faire jouer la fibre patriotique et faire remonter le président Sarkozy dans les sondages. Ça ne marchera pas. Les Français sont moins bêtes que les Américains ou plus cultivés. Et comment expliquer les risques de représailles que l'on fait courir au peuple français pour cette opération de communication qui s’annonçait facile ? A-t-on été manipulé par les Américains ? C'est possible, puisque cela fait désormais parti de la nouvelle politique française.
La guerre est une chose grave. Elle se fait pour défendre nos intérêts vitaux. Est-ce le cas ? Et que dire du coût pour notre pays déjà passablement surendetté de cette opération post coloniale ? Que dire de la tente de Kadhafi plantée dans les jardins de l'Élysée et d’un accueil hors de proportion alors que le « guide » donnait déjà de sérieux signes de démence ? S’il nous avait signé un chèque pour les Rafales, l'aurions nous attaqué ?
Notre guide à nous connaît-il cette maxime de Coluche « L'amour rend fou, il n'y a que la guerre qui Rambo » ?
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