le temps s'arrête
dès que je contemple ton sourire
se dessinant sur tes lèvres
quand tu me regardes discrètement
la timidité de ton amour
que tu dissimules dans tes tourments
ma vie tourne
et respire autour de toi
malgré les sanctions
sache
ô combien je t'aime....
j'effeuille ta discrétion
et j'aimerai tant crier au monde
que je t'attends...
sans compter les ans
les mois les heures
les minutes les secondes
qui sont une éternelle souffrance
je suis là près de toi
en transe
ombre du soleil
je te protège du vent
comme un enfant tu te laisses
bercer par mes paroles
comme une amante
je me laisse posséder
par ton corps...
nous deux réunis peut être pas pour la vie
mais certainement au delà de la mort...
des pétales noires tombent du ciel
telle une pluie de suie
séchant nos larmes
nous nous enlaçons
une chaleur monte en nous
une ivresse
une pulsion d'amour nous étreint
nous sommes prisonniers de notre quotidien
les barreaux de fonte nous font mal
une angoisse monte
une envie de lui
une envie de moi
l'interdiction est oubliée
un instant,
nos lèvres se cherchent
se rejoignent
nos mains nous dessinent
nous caressent sans honte
nous oublions tout
moment d'égarement dans la tumulte
de nos cœurs
avec tristesse
nous nous quittons
nous nous séparons
un déchirement,
un coup de poignard accélère
nos sanglots de la passion
sans mots
nous retournons vers ceux
qui ne nous aiment point...
lily
la diablesse!
25 mars 2011
dès que je contemple ton sourire
se dessinant sur tes lèvres
quand tu me regardes discrètement
la timidité de ton amour
que tu dissimules dans tes tourments
ma vie tourne
et respire autour de toi
malgré les sanctions
sache
ô combien je t'aime....
j'effeuille ta discrétion
et j'aimerai tant crier au monde
que je t'attends...
sans compter les ans
les mois les heures
les minutes les secondes
qui sont une éternelle souffrance
je suis là près de toi
en transe
ombre du soleil
je te protège du vent
comme un enfant tu te laisses
bercer par mes paroles
comme une amante
je me laisse posséder
par ton corps...
nous deux réunis peut être pas pour la vie
mais certainement au delà de la mort...
des pétales noires tombent du ciel
telle une pluie de suie
séchant nos larmes
nous nous enlaçons
une chaleur monte en nous
une ivresse
une pulsion d'amour nous étreint
nous sommes prisonniers de notre quotidien
les barreaux de fonte nous font mal
une angoisse monte
une envie de lui
une envie de moi
l'interdiction est oubliée
un instant,
nos lèvres se cherchent
se rejoignent
nos mains nous dessinent
nous caressent sans honte
nous oublions tout
moment d'égarement dans la tumulte
de nos cœurs
avec tristesse
nous nous quittons
nous nous séparons
un déchirement,
un coup de poignard accélère
nos sanglots de la passion
sans mots
nous retournons vers ceux
qui ne nous aiment point...
lily
la diablesse!
25 mars 2011