L’Organisation Camerounaise de Promotion de la Coopération Economique internationale (OCAPROCE International) a appelé, mardi, le Conseil des droits de l’Homme (CDH) de l’ONU, à intervenir pour que les populations séquestrées dans les camps de Tindouf en Algérie cessent d’être une exception en matière du droit humain international et d’application des dispositions de la Déclaration de Vienne.
«Nous lançons de cette tribune un appel à votre honorable Conseil pour intervenir afin que les populations séquestrées dans les camps de Tindouf cessent d’être une exception en matière du droit humain international et en matière d’application de l’ensemble des dispositions de la Déclaration de Vienne», a indiqué Mme Micheline Makou Djouma, présidente d’OCAPROCE, qui intervenait, en plénière, dans le cadre du point 8 de l’ordre du jour de la 16ème session du CDH, relatif à la Déclaration et le Programme d’Action de Vienne
L’intervenante a rappelé, à cet égard, que le programme d’action de Vienne affirme que le droit au développement est un droit universel et inaliénable qui fait partie intégrante des droits fondamentaux de la personne humaine.
Ainsi, a-t-elle précisé, il est stipulé que tout individu est le sujet central du développement et les Etats sont tenus, comme le stipulent la Déclaration universelle des droits de l’Homme et le pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels de veiller à ce que le droit au développement soit assuré en vue du renforcement du respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.
Mme Djouma a ajouté que tous les droits de l’homme découlent de la dignité et de la valeur inhérente à la personne humaine, qui est le sujet même des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, et doit, par conséquent, en être le principal bénéficiaire et participer activement à leur réalisation.
Elle a déploré de voir ces dispositions bafouées dans les camps de Tindouf, où, a-t-elle expliqué, le mouvement séparatiste du polisario sévit et contrôle militairement des campements renfermant des populations qui n’ont accès à aucun des droits stipulés dans la Déclaration de Vienne.
L’intervenante a indiqué que la population confinée dans les camps du polisario à Tindouf n’a pas accès à ces droits, dénonçant le fait que cette population se trouve séquestrée dans des camps administrés par des milices armées et soit privée des droits à la santé, à l’éducation et à l’épanouissement personnel.
Si le développement facilite la jouissance de tous les droits de l’Homme, l’insuffisance de développement ne peut être invoquée pour justifier une limitation des droits de l’Homme internationalement reconnus, a-t-elle insisté.
l'opinion.
«Nous lançons de cette tribune un appel à votre honorable Conseil pour intervenir afin que les populations séquestrées dans les camps de Tindouf cessent d’être une exception en matière du droit humain international et en matière d’application de l’ensemble des dispositions de la Déclaration de Vienne», a indiqué Mme Micheline Makou Djouma, présidente d’OCAPROCE, qui intervenait, en plénière, dans le cadre du point 8 de l’ordre du jour de la 16ème session du CDH, relatif à la Déclaration et le Programme d’Action de Vienne
L’intervenante a rappelé, à cet égard, que le programme d’action de Vienne affirme que le droit au développement est un droit universel et inaliénable qui fait partie intégrante des droits fondamentaux de la personne humaine.
Ainsi, a-t-elle précisé, il est stipulé que tout individu est le sujet central du développement et les Etats sont tenus, comme le stipulent la Déclaration universelle des droits de l’Homme et le pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels de veiller à ce que le droit au développement soit assuré en vue du renforcement du respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.
Mme Djouma a ajouté que tous les droits de l’homme découlent de la dignité et de la valeur inhérente à la personne humaine, qui est le sujet même des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, et doit, par conséquent, en être le principal bénéficiaire et participer activement à leur réalisation.
Elle a déploré de voir ces dispositions bafouées dans les camps de Tindouf, où, a-t-elle expliqué, le mouvement séparatiste du polisario sévit et contrôle militairement des campements renfermant des populations qui n’ont accès à aucun des droits stipulés dans la Déclaration de Vienne.
L’intervenante a indiqué que la population confinée dans les camps du polisario à Tindouf n’a pas accès à ces droits, dénonçant le fait que cette population se trouve séquestrée dans des camps administrés par des milices armées et soit privée des droits à la santé, à l’éducation et à l’épanouissement personnel.
Si le développement facilite la jouissance de tous les droits de l’Homme, l’insuffisance de développement ne peut être invoquée pour justifier une limitation des droits de l’Homme internationalement reconnus, a-t-elle insisté.
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