Bonsoir, il doit y en avoir beaucoup des arabes de services, sa réelection est quand même suspecte, Koffi Annan aussi doit en être un, puisque qu'il n'a pas empêché l'invasion de l'Irak.
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Le prix Nobel de la paix a été attribué en octobre dernier à l'AIEA et à son directeur, gardiens de la non-prolifération des armes nucléaires. Plus qu’un choix controversé, le récipiendaire de cette distinction honorifique n’est en fait qu’un Arabe de service!
Alors El-Baradei est-il primé pour la paix des bombes ? Loin s’en faut, car après avoir fouillé l’Irak dans ces moindres coins et recoins et après s’être rendu à l’évidence qu’il n’y avait aucune preuve corroborant les soupçons américains quant à l’ambition nucléaire de Saddam Hussein, les bombes ne se sont pas tues pour autant en irak.
Même l’honneur des arabes n’a pas été épargné par Mohamed El-Baradei. La logique voudrait que face à l’acharnement injustifié des Américains contre le peuple irakien, le directeur de l’AIEA aurait du démissionner pour sauver sa face et celle des arabes.
Face à son attitude timorée envers Israël qui se fout des lois universelles, El-Baradei confirme bien les soupçons qui pèsent sur lui, à savoir qu’il n’est rien d’autre qu’un agent au service du Mossad israélien et de la CIA.
Pour services rendus à l’axe Washington-Tel Aviv, le directeur sortant a obtenu un 3e mandat à la tête de l'AIEA. Bien plus, la réélection de Mohamed el-Baradeï à la tête de l’AIEA n’a été qu’une simple formalité. Les trente-cinq gouverneurs du Conseil de l’Agence ont en effet, à l’unanimité, décidé de reconduire à son poste et pour un troisième mandat le chef de cette organisation onusienne.
Le jeu est très bien caché. L’administration Bush fait mine d’être insatisfaite devant l’attitude trop conciliante de l’AIEA avec Téhéran dans le dossier du nucléaire iranien. Les Etats-Unis ont en effet donné leur accord à la reconduction pour quatre années de l’homme avec qui ils veulent faire croire qu’ils avaient un lourd contentieux sur notamment l’Irak et l’Iran.
Mais aussi fulgurante que soit son ascension, El-Baradei ne tardera pas à s’écraser face au mur nucléaire iranien.
http://www.algerieconfidentiel.com/f...?ArticleId=982
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Le prix Nobel de la paix a été attribué en octobre dernier à l'AIEA et à son directeur, gardiens de la non-prolifération des armes nucléaires. Plus qu’un choix controversé, le récipiendaire de cette distinction honorifique n’est en fait qu’un Arabe de service!
Alors El-Baradei est-il primé pour la paix des bombes ? Loin s’en faut, car après avoir fouillé l’Irak dans ces moindres coins et recoins et après s’être rendu à l’évidence qu’il n’y avait aucune preuve corroborant les soupçons américains quant à l’ambition nucléaire de Saddam Hussein, les bombes ne se sont pas tues pour autant en irak.
Même l’honneur des arabes n’a pas été épargné par Mohamed El-Baradei. La logique voudrait que face à l’acharnement injustifié des Américains contre le peuple irakien, le directeur de l’AIEA aurait du démissionner pour sauver sa face et celle des arabes.
Face à son attitude timorée envers Israël qui se fout des lois universelles, El-Baradei confirme bien les soupçons qui pèsent sur lui, à savoir qu’il n’est rien d’autre qu’un agent au service du Mossad israélien et de la CIA.
Pour services rendus à l’axe Washington-Tel Aviv, le directeur sortant a obtenu un 3e mandat à la tête de l'AIEA. Bien plus, la réélection de Mohamed el-Baradeï à la tête de l’AIEA n’a été qu’une simple formalité. Les trente-cinq gouverneurs du Conseil de l’Agence ont en effet, à l’unanimité, décidé de reconduire à son poste et pour un troisième mandat le chef de cette organisation onusienne.
Le jeu est très bien caché. L’administration Bush fait mine d’être insatisfaite devant l’attitude trop conciliante de l’AIEA avec Téhéran dans le dossier du nucléaire iranien. Les Etats-Unis ont en effet donné leur accord à la reconduction pour quatre années de l’homme avec qui ils veulent faire croire qu’ils avaient un lourd contentieux sur notamment l’Irak et l’Iran.
Mais aussi fulgurante que soit son ascension, El-Baradei ne tardera pas à s’écraser face au mur nucléaire iranien.
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