Tweet
«God bless… nos patries» !
On aura tout vu, tout entendu ! Qui aurait pu le prévoir un jour : les forces militaires occidentales, les rebelles libyens, l’OTAN et les Etats-Unis combattent côte à côte avec les terroristes d’Aqmi pour avoir raison du colonel !
C’est ce qu’a déclaré un certain Abdel-Hakim al-Hasidi, l’un des chefs du désordre libyen, dans un quotidien italien II Sole 24 Ore, et repris scandaleusement par la presse internationale. «Sur la ligne de front, a –t-il déclaré, des djihadistes ont été recrutés, à partir de 2005, dans la région de Darnah, pour combattre en Irak aux côtés de la résistance irakienne. Ces combattants sont des patriotes et de bons musulmans et combattent aujourd’hui dans les rangs de la rébellion».
Abdel-Hakim al-Hasidi, qui commande actuellement la région de Darnah, apprend-t-on, a lui aussi un passé d’émir. Il a participé à plusieurs opérations en Afghanistan, et a été arrêté en 2002 à Peshawar, au Pakistan, incarcéré en Libye jusqu’en 2008.
On rapporte aussi que Abdelmalek Droukdel, auteur de plusieurs opérations terroristes et rapts d’étrangers, notamment français, a apporté son soutien à la rébellion libyenne, mettant en danger tous les pays frontaliers de la Libye. Tous les observateurs s’accordent sur un point : les islamistes d’Al-Qaïda ont profité du pillage des arsenaux en zone rebelle pour s’approvisionner en armes, y compris en missiles sol-air.
Si ces informations venaient à se confirmer dans les prochains jours, la France de l’inconscience, qui a déjà perdu beaucoup de son «moi» diplomatique, s’est fatalement assise sur le feu après s’être assise sur ses otages, sur les attentats qui ont ciblé Paris, sur les menaces criées par le ministère de l’Intérieur, la DGSE, la DST, les RG…
Quant aux Etats-Unis, ils semblent, eux-aussi, s’asseoir sur un certain 11 septembre avec qui ils ont soûlé le monde entier. Un 11 septembre qui a été le point de départ du choc des civilisations, avec l’axe du Bien et l’axe du «diable», et qui a été la raison fondamentale du viol et de l’invasion américaine dans le monde musulman, notamment en Irak.
Si tous ces éléments se révélaient exats, l’observateur lambda serait en droit de douter.
Premier doute porte sur les intentions sincères des forces «alliées» et de la résolution de l’ONU, ce ministère de destruction, douter de l’intégrité de l’histoire même du 11 septembre, cette guerre qui s’avère en cacher bien d’autres et qui pourrait n’être qu’une vulgaire mise en scène à but très lucratif.
Enfin, douter de l’identité réelle d’Al Qaïda qui pourrait être le monstre de Frankenstein créé dans les labos du Pentagone.
Pour en revenir à la Libye, et pour rappel, le président tchadien a considéré cette semaine qu’il y avait «une part de vérité» dans les déclarations du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui a dit à plusieurs reprises que l’AQMI manipulait la rébellion libyenne. «Il y a, dans ce qu’il dit, une part de vérité. Jusqu’à quel point ? Je l’ignore. Mais je suis certain qu’AQMI a pris une part active au soulèvement», a-t-il prévenu.
Enfin, Nicolas Sarkozy, président d’une République aux talents autrefois de prévoyances, fervent défenseur de l’attachement de son pays à la rive sud, a mis dans le vent les feuillets de l’UPM qui n’aurait été qu’un synopsis d’un polar de gang signé Frankenstein qui n’opère plus dans ses labos de Naples –Africom- mais tape déjà à nos portes.
«God Bless… nos patries» !
Samir Méhalla
On aura tout vu, tout entendu ! Qui aurait pu le prévoir un jour : les forces militaires occidentales, les rebelles libyens, l’OTAN et les Etats-Unis combattent côte à côte avec les terroristes d’Aqmi pour avoir raison du colonel !
C’est ce qu’a déclaré un certain Abdel-Hakim al-Hasidi, l’un des chefs du désordre libyen, dans un quotidien italien II Sole 24 Ore, et repris scandaleusement par la presse internationale. «Sur la ligne de front, a –t-il déclaré, des djihadistes ont été recrutés, à partir de 2005, dans la région de Darnah, pour combattre en Irak aux côtés de la résistance irakienne. Ces combattants sont des patriotes et de bons musulmans et combattent aujourd’hui dans les rangs de la rébellion».
Abdel-Hakim al-Hasidi, qui commande actuellement la région de Darnah, apprend-t-on, a lui aussi un passé d’émir. Il a participé à plusieurs opérations en Afghanistan, et a été arrêté en 2002 à Peshawar, au Pakistan, incarcéré en Libye jusqu’en 2008.
On rapporte aussi que Abdelmalek Droukdel, auteur de plusieurs opérations terroristes et rapts d’étrangers, notamment français, a apporté son soutien à la rébellion libyenne, mettant en danger tous les pays frontaliers de la Libye. Tous les observateurs s’accordent sur un point : les islamistes d’Al-Qaïda ont profité du pillage des arsenaux en zone rebelle pour s’approvisionner en armes, y compris en missiles sol-air.
Si ces informations venaient à se confirmer dans les prochains jours, la France de l’inconscience, qui a déjà perdu beaucoup de son «moi» diplomatique, s’est fatalement assise sur le feu après s’être assise sur ses otages, sur les attentats qui ont ciblé Paris, sur les menaces criées par le ministère de l’Intérieur, la DGSE, la DST, les RG…
Quant aux Etats-Unis, ils semblent, eux-aussi, s’asseoir sur un certain 11 septembre avec qui ils ont soûlé le monde entier. Un 11 septembre qui a été le point de départ du choc des civilisations, avec l’axe du Bien et l’axe du «diable», et qui a été la raison fondamentale du viol et de l’invasion américaine dans le monde musulman, notamment en Irak.
Si tous ces éléments se révélaient exats, l’observateur lambda serait en droit de douter.
Premier doute porte sur les intentions sincères des forces «alliées» et de la résolution de l’ONU, ce ministère de destruction, douter de l’intégrité de l’histoire même du 11 septembre, cette guerre qui s’avère en cacher bien d’autres et qui pourrait n’être qu’une vulgaire mise en scène à but très lucratif.
Enfin, douter de l’identité réelle d’Al Qaïda qui pourrait être le monstre de Frankenstein créé dans les labos du Pentagone.
Pour en revenir à la Libye, et pour rappel, le président tchadien a considéré cette semaine qu’il y avait «une part de vérité» dans les déclarations du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui a dit à plusieurs reprises que l’AQMI manipulait la rébellion libyenne. «Il y a, dans ce qu’il dit, une part de vérité. Jusqu’à quel point ? Je l’ignore. Mais je suis certain qu’AQMI a pris une part active au soulèvement», a-t-il prévenu.
Enfin, Nicolas Sarkozy, président d’une République aux talents autrefois de prévoyances, fervent défenseur de l’attachement de son pays à la rive sud, a mis dans le vent les feuillets de l’UPM qui n’aurait été qu’un synopsis d’un polar de gang signé Frankenstein qui n’opère plus dans ses labos de Naples –Africom- mais tape déjà à nos portes.
«God Bless… nos patries» !
Samir Méhalla