Partout...
Percutions de bonheur,
Au loin...Dans l'Afrique
Décadente d'une ivresse
Dans le fer de vos alcools
Magique comme la mort...
Répercutions de vos âmes
Sur papier peint a la main
Vous m'avez tous trahis
Je vous aime tellement
Vos chairs tourbillonne...
Virages, et de Barcelone
A vos terriers de cristal
Je n'ai semé sur ma route
Que de splendide roses,
Que l'automne a piétiné
Rageusement...
J'ai repris-a tue tête-
Ce chant minéral
Notes scintillantes
Sonates liquide
Miroirs sans reflet
D'une nature dévastée
Vos pactes, sont semblable
Aux prières sans syllabes
De l'impie a l'article de la mort
Serrant dans ses os
La supplication éternelle
Des espérances poisseuses
Mon maitre, mon aïeul
Enfin mon sordide rêve
Écrivait des sourires
Dans le ventre de ses vers
Poussant a la décrépitude
Les mots ceint de lumière
J'ai juré a Maman,
Que plus jamais je n'irais
M'éloigné au delà des marais
Mais mes veines soyeuse
Ont eu raison de mes obédiences
Et puis...déjà, toujours
Encore, après..
Ne sont que des mots
Ceux la même que je lis
Et que j'écris.
Il ne m'invite pas au rêve
C'est un cumul de calcul
A la racine nerveuse
A la peau de nouveau-né
A l'écorce des bois anciens
Profondeur de coton...
Pourfendeur d'oraison
Je titube...Je chancelle
Je ne reconnais rien,
Je ne ressent rien...
Je parle en jeux de lumières
Je suis bien...
Chaarar,
Percutions de bonheur,
Au loin...Dans l'Afrique
Décadente d'une ivresse
Dans le fer de vos alcools
Magique comme la mort...
Répercutions de vos âmes
Sur papier peint a la main
Vous m'avez tous trahis
Je vous aime tellement
Vos chairs tourbillonne...
Virages, et de Barcelone
A vos terriers de cristal
Je n'ai semé sur ma route
Que de splendide roses,
Que l'automne a piétiné
Rageusement...
J'ai repris-a tue tête-
Ce chant minéral
Notes scintillantes
Sonates liquide
Miroirs sans reflet
D'une nature dévastée
Vos pactes, sont semblable
Aux prières sans syllabes
De l'impie a l'article de la mort
Serrant dans ses os
La supplication éternelle
Des espérances poisseuses
Mon maitre, mon aïeul
Enfin mon sordide rêve
Écrivait des sourires
Dans le ventre de ses vers
Poussant a la décrépitude
Les mots ceint de lumière
J'ai juré a Maman,
Que plus jamais je n'irais
M'éloigné au delà des marais
Mais mes veines soyeuse
Ont eu raison de mes obédiences
Et puis...déjà, toujours
Encore, après..
Ne sont que des mots
Ceux la même que je lis
Et que j'écris.
Il ne m'invite pas au rêve
C'est un cumul de calcul
A la racine nerveuse
A la peau de nouveau-né
A l'écorce des bois anciens
Profondeur de coton...
Pourfendeur d'oraison
Je titube...Je chancelle
Je ne reconnais rien,
Je ne ressent rien...
Je parle en jeux de lumières
Je suis bien...
Chaarar,
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