ALGER (Reuters) - Le président algérien Abdelaziz Bouteflika s'est efforcé d'apaiser la polémique suscitée par son bref séjour à Paris pour un bilan médical en remerciant ostensiblement son homologue français pour l'accueil reçu en France.
Intervenant quelques jours après sa dénonciation virulente d'un "génocide" identitaire de la part de la France coloniale, le séjour du président algérien jeudi et vendredi au Val de Grâce a provoqué un tollé au sein de la droite française et de vertes répliques sur l'autre rive de la Méditerranée.
Feignant d'ignorer cet énième épisode du feuilleton des controverses entre Paris et Alger, Bouteflika a écrit à "son très cher ami" Chirac qu'il a été "sensible aux témoignages (...) reçus de la part de tous ceux qui, en France, sont restés fidèles à la veille tradition d'hospitalité du peuple français".
Le président algérien ajoute un hommage au personnel du Val de Grâce "qui a manifesté, de bout en bout, une compétence reconnue et un dévouement exemplaire, qualités éminentes qui, en la circonstance, sont de nature à inspirer le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la médecine française".
Intervenant quelques jours après sa dénonciation virulente d'un "génocide" identitaire de la part de la France coloniale, le séjour du président algérien jeudi et vendredi au Val de Grâce a provoqué un tollé au sein de la droite française et de vertes répliques sur l'autre rive de la Méditerranée.
Feignant d'ignorer cet énième épisode du feuilleton des controverses entre Paris et Alger, Bouteflika a écrit à "son très cher ami" Chirac qu'il a été "sensible aux témoignages (...) reçus de la part de tous ceux qui, en France, sont restés fidèles à la veille tradition d'hospitalité du peuple français".
Le président algérien ajoute un hommage au personnel du Val de Grâce "qui a manifesté, de bout en bout, une compétence reconnue et un dévouement exemplaire, qualités éminentes qui, en la circonstance, sont de nature à inspirer le plus bel hommage que l'on puisse rendre à la médecine française".
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