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De Harcha à l’Atlas
Un communiqué du RCD, rendu public hier, accuse implicitement les autorités de lui interdire de tenir un meeting dans la salle Harcha, à Alger, à quelques mètres de la place du
1er-Mai, théâtre de ses cuisants et répétitifs échecs à Alger. La direction de la salle Harcha, elle, explique que ce qui se raconte n’est pas très conforme à la vérité et que si le Rassemblement n’a pas pu accéder à la salle c’est tout simplement parce qu’elle n’était pas disponible.
Le RCD reproche aux autorités de ne pas respecter leur engagement de permettre aux partis de tenir des meetings dans des salles, alors qu’il leur est interdit de marcher dans la capitale. Comme de coutume, le communiqué casse plein de sucre sur le dos du régime et conclut sentencieux : «Seule la convergence des luttes démocratiques peuvent sauver l’Algérie». Bien dit ! Sauf que dans notre belle et généreuse Algérie, les forces dites «démocratiques», sont plus proches des BHL que de leurs compatriotes. Evidemment leurs compatriotes le leur rendent bien, eux qui font la distinction et évitent de confondre entre serviettes et torchons.
La salle Atlas n’était-elle pas libre pour le FFS ? N’était-elle pas pleine à craquer, l’ovation à Djedaï ne s’entendait-elle pas jusque dans le proche voisinage du lieu ? Et puis, lorsqu’on ne peut que réunir de quoi former une équipe de football, remplaçants compris, pourquoi s’amuse-t-on à louer une salle capable de contenir plus de 10 000 personnes ? Pourquoi engager des frais exorbitants quand l’expérience, neuf fois renouvelée, laisse conclure que le RCD de Saïd Sadi ne pourra en aucun cas la remplir par les temps qui courent.
A moins de programmer parallèlement au meeting un concours lucratif de tirs de crachats avec chique sur des cibles à l’effigie de BHL.Là, on pourra même parier sur une forte présence de «mercenaires» libyens pour partager, à Harcha, le plaisir d’une réaction précoce. Car comme pour la Libye, BHL, les juifistes et leurs supplétifs dans le monde doivent nous réserver… un chien de leur chienne, comme on dit.
Ce qui nous pousse à préparer impérativement les vaccins antirabiques, toutes nos sarbacanes et l’Atlas, pas la salle mais ces deux majestueuses chaines de montagnes qui ont aidé la France coloniale à réfléchir dans le bon sens et rendre à Mohamed ce qui est à Mohamed. M. Z.
mohamed_zaâf
1er-Mai, théâtre de ses cuisants et répétitifs échecs à Alger. La direction de la salle Harcha, elle, explique que ce qui se raconte n’est pas très conforme à la vérité et que si le Rassemblement n’a pas pu accéder à la salle c’est tout simplement parce qu’elle n’était pas disponible.
Le RCD reproche aux autorités de ne pas respecter leur engagement de permettre aux partis de tenir des meetings dans des salles, alors qu’il leur est interdit de marcher dans la capitale. Comme de coutume, le communiqué casse plein de sucre sur le dos du régime et conclut sentencieux : «Seule la convergence des luttes démocratiques peuvent sauver l’Algérie». Bien dit ! Sauf que dans notre belle et généreuse Algérie, les forces dites «démocratiques», sont plus proches des BHL que de leurs compatriotes. Evidemment leurs compatriotes le leur rendent bien, eux qui font la distinction et évitent de confondre entre serviettes et torchons.
La salle Atlas n’était-elle pas libre pour le FFS ? N’était-elle pas pleine à craquer, l’ovation à Djedaï ne s’entendait-elle pas jusque dans le proche voisinage du lieu ? Et puis, lorsqu’on ne peut que réunir de quoi former une équipe de football, remplaçants compris, pourquoi s’amuse-t-on à louer une salle capable de contenir plus de 10 000 personnes ? Pourquoi engager des frais exorbitants quand l’expérience, neuf fois renouvelée, laisse conclure que le RCD de Saïd Sadi ne pourra en aucun cas la remplir par les temps qui courent.
A moins de programmer parallèlement au meeting un concours lucratif de tirs de crachats avec chique sur des cibles à l’effigie de BHL.Là, on pourra même parier sur une forte présence de «mercenaires» libyens pour partager, à Harcha, le plaisir d’une réaction précoce. Car comme pour la Libye, BHL, les juifistes et leurs supplétifs dans le monde doivent nous réserver… un chien de leur chienne, comme on dit.
Ce qui nous pousse à préparer impérativement les vaccins antirabiques, toutes nos sarbacanes et l’Atlas, pas la salle mais ces deux majestueuses chaines de montagnes qui ont aidé la France coloniale à réfléchir dans le bon sens et rendre à Mohamed ce qui est à Mohamed. M. Z.
mohamed_zaâf
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