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Technologies de l'information et démocratie

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    TIC/Libertés Débat entre l'émissaire onusien Frank La Rue et des responsables algériens


    Frank La Rue, rapporteur spécial de l'ONU, est depuis quelques jours à Alger. Outre les questions liées aux droits de l'homme et à la liberté d'expression, l'émissaire onusien a rencontré dans la journée d'hier le ministre de la Posteet des TIC, Moussa Benhamadi, avec lequel il a évoqué les questions liées aux technologies de l'information et de la communication (TIC) et l'accès à l'Internet. M. La Rue est, on le sait, invité par le gouvernement algérien pour s'enquérir par lui-même de l'évolution de la situation sur des plans plus que sensibles pour toute démocratie digne de ce nom.


    Le représentant onusien a mis l'accent sur l'importance des TIC dans l'amélioration des paysages médiatiques et le rôle du nouveau support technologique des médias qu'est l’Internet dans la promotion de la liberté d'opinion et d'expression dans le monde. Côté algérien et par la voix du premier responsable du secteur, il a notamment été renouvelé la disposition du gouvernement à faire en sorte que «plus que jamais» l'Algérie soit engagée dans le processus d'appropriation des TIC par le citoyen à la faveur de la promotion du droit universel à l'information.


    L'expérience chez nous ne date pas d'hier puisqu'il est bon de rappeler que le lancement d'un système d'information scientifique et technique et de transfert technologique en Algérie remonte à 1976 à la faveur de la mise en place à l'époque des réseaux académiques de recherche et de développement, lesquels ont abouti à la création en 1985 du Cerist, premier provider national en Algérie, a rappelé la même source.



    Concernant l'équation TIC et démocratie soulevée par M. La Rue lors de cet entretien, il a été précisé à l’invité de notre pays que l'Etat algérien «a amorcé le processus de généralisation des TIC dans le pays dans les années 1990, confondu pourtant avec son passage par une période difficile sur le plan économique et sécuritaire». Malgré les contraintes et le risque d'utilisation de ces technologies à des fins malveillantes, l'Algérie n'avait d'autre choix que de recourir à cet outil privilégié pour discréditer le travail de manipulation dressé contre le pays et faire connaître au monde entier le vrai visage du terrorisme en Algérie.

    Autre fait relevé et d'importance, l'usage de l'Internet «n'a
    jamais été interdit ou limité dans notre pays, même dans les moments difficiles qu'il a traversés.




    Il ne saurait l'être en ces moments où l'Algérie est engagée pleinement dans la concrétisation de son programme national "e-Algérie" qui privilégie à outrance la généralisation de l'Internet pour tous les citoyens». Ce sont là quelque-uns des propos tenus par le ministre de la Poste. De telles dispositions d'ouverture et de démocratisation des technologies de l'information et de la communication ne pouvant faire oublier l'impératif de coopération avec d'autres pays dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité.


    L'Algérie a d'ailleurs promulgué en 2009 une loi en ce sens qui sert de cadre juridique en matière de protection de l'enfance contre l'usage abusif des TIC, tout en responsabilisant les parents et les gestionnaires de cybercafés.



    Par Malik B.

  • #2
    dans cette article on lit surtout le point de vue de M. Benhamadi le ministre, plus que l'avis de M. la Rue.
    On se croirait dans une presse stalinienne ou nord coréenne. Tout va bien passons à autre chose!!
    dans les faits nous avons un nb d'internautes ridicule pour la troisième économie du continent.
    Dans nos écoles nos enfants apprennent l'informatique sans toucher un seul ordinateur(je parles des collèges), quand on surfe sur un site où il existe un droit d'auteur musical, on nous signale qu'on n'a pas le droit de l'utiliser parce que notre pays ne respecte pas le droit des auteurs pour la preservation des oeuvres sur les plate-formes niumériques.
    Voila résumées les questions qui fachent.

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