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Les patriotes réprimés.

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  • Les patriotes réprimés.

    Cette nuit La place des Martyrs a été violemment réinvesti par les forces de répression. Les résistants qui l'occupaient ont été sauvagement agressés.
    Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

  • #2
    ces imbéciles n'ont visiblement rien compris, que demain d'autres patriotes, d'autres étudiants , d'autres enseignants,d'autres ouvriers etc.........., tout simplement tous les autres citoyens qui vont investir cette place et pleins d'autres, cette répression ne fera que renfoncer leur désire et leur détermination à prendre en main leur destin et recouvrer leurs droits tous leurs droits spolié par ces voyous, vivement que ce bouteflika dégage.

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    • #3
      Prélude au discours de Bouteflika: la pacification.

      L'usage de la violence répressive s'est raffermi ces deux dernières semaines. Face aux étudiants et aux patriotes, l'alliance islamo-nationaliste a usé sans hésitation du second pendant de sa politique du sou et du bâton.

      Les étudiants dont le sort, le statut et la place dans la société, dépendent de l'orientation économique promue, se peuvent que se trouver en opposition frontale avec la bureaucratie en place. Leur mobilisation pose l'exigence de la considération de l'effort et du travail; des valeurs inconciliables avec la politique d'accaparement et de privatisation de la rente pétrolière.

      L'engagement des patriotes, Citoyens volontaires armés au service de la patrie et de la république les amène, de leur côté, à introduire l'exigence de mémoire et de reconnaissance dans une dynamique d'agitation sociale qui peut muer en révolte, ou mieux évoluer en révolution. Des exigences qui battent en brèche la fausse paix assise sur la politique d'abandon inaugurée par l'assassinat du président Boudiaf.

      Le sou est impuissant face à des exigences de changement de système. Alors pour s’aliéner le peuple, le pouvoir n'a d’autre choix que de se mettre à nu et de donner du bâton.
      Si tu parles, tu meurs. Si tu te tais, tu meurs. Alors, dis et meurs

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