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La Belgique n'envisage pas d'augmenter le nombre de ses chasseurs engagés dans l'opération otanienne en Libye, a déclaré vendredi le ministre belge de la Défense, Pieter De Crem.
Actuellement, six F-16 belges participent à l'opération Protecteur unifié en Libye.
"Nous pouvons, avec ces F-16, mener une série de missions supplémentaires", a insisté Pieter De Crem.
Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, avait annoncé précédemment que l'Alliance avait besoin de quelques avions militaires supplémentaires pour mener son opération. Il s'attend à ce que l'Espagne, l'Italie et les Pays-Bas, dont les avions ne faisaient jusqu'à présent que surveiller l'espace aérien libyen, participent aux frappes aériennes.
Cependant, le premier ministre italien, Silvio Berlusconi, et la ministre espagnole des Affaires étrangères, Trinidad Jiménez García Herrera, ont déjà déclaré que leurs pays ne participeraient pas aux frappes.
RIA Novosti
Actuellement, six F-16 belges participent à l'opération Protecteur unifié en Libye.
"Nous pouvons, avec ces F-16, mener une série de missions supplémentaires", a insisté Pieter De Crem.
Le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, avait annoncé précédemment que l'Alliance avait besoin de quelques avions militaires supplémentaires pour mener son opération. Il s'attend à ce que l'Espagne, l'Italie et les Pays-Bas, dont les avions ne faisaient jusqu'à présent que surveiller l'espace aérien libyen, participent aux frappes aériennes.
Cependant, le premier ministre italien, Silvio Berlusconi, et la ministre espagnole des Affaires étrangères, Trinidad Jiménez García Herrera, ont déjà déclaré que leurs pays ne participeraient pas aux frappes.
RIA Novosti