Bonjour,
Il va sans dire que nous vivons ces derniers mois une actualité tres "révolutionnaire" dans le Maghreb et dans le Monde arabe. L'idée de révolution étant redevenue à la mode à une époque où on l'attendait vraiment pas, les dernières nouvelles parvenues d'Égypte m'interpellent sur un autre versant que peut généralement suivre les révolutions politique : la Terreur.
En somme, il s'agit d'une phase qui suit immédiatement le succès d'une révolution, une phase où s'instaure une sorte de régime provisoire, très poussé vers la violence envers tout ce qui -à tort ou à raison- relèverait de l'ancien régime, multipliant par exemple les tribunaux (populaires, révolutionnaires, militaires ... etc.) et mettant plus ou moins en accusation tous ceux qui ont occupé un poste de responsabilité avant le changement où qui sont soupçonné de ne pas y avoir contribué (ou pas assez), le plus souvent sur pression de la foule restée en surchauffe après le succès ou simplement sur la base de critères sévères fixés par les tenants du nouveau régime issu de la Révolution.
Pour moi, si une Révolution est quelque chose de positif car parfois nécessaire à une nation qui veut se régénérer, la phase qui suit est exécrable et surtout dangereuse car, si elle perdure trop longtemps ou qu'elle se manifeste par trop d'excès, peut ruiner les acquis que cette même nation à pu accumuler jusque-là sur de longues périodes, et ainsi remettre en cause la nature positive de la Révolution en question.
Que faire alors pour éviter cela ? Et la Terreur est-elle un passage obligé après toute Révolution ?
Il va sans dire que nous vivons ces derniers mois une actualité tres "révolutionnaire" dans le Maghreb et dans le Monde arabe. L'idée de révolution étant redevenue à la mode à une époque où on l'attendait vraiment pas, les dernières nouvelles parvenues d'Égypte m'interpellent sur un autre versant que peut généralement suivre les révolutions politique : la Terreur.
En somme, il s'agit d'une phase qui suit immédiatement le succès d'une révolution, une phase où s'instaure une sorte de régime provisoire, très poussé vers la violence envers tout ce qui -à tort ou à raison- relèverait de l'ancien régime, multipliant par exemple les tribunaux (populaires, révolutionnaires, militaires ... etc.) et mettant plus ou moins en accusation tous ceux qui ont occupé un poste de responsabilité avant le changement où qui sont soupçonné de ne pas y avoir contribué (ou pas assez), le plus souvent sur pression de la foule restée en surchauffe après le succès ou simplement sur la base de critères sévères fixés par les tenants du nouveau régime issu de la Révolution.
Pour moi, si une Révolution est quelque chose de positif car parfois nécessaire à une nation qui veut se régénérer, la phase qui suit est exécrable et surtout dangereuse car, si elle perdure trop longtemps ou qu'elle se manifeste par trop d'excès, peut ruiner les acquis que cette même nation à pu accumuler jusque-là sur de longues périodes, et ainsi remettre en cause la nature positive de la Révolution en question.
Que faire alors pour éviter cela ? Et la Terreur est-elle un passage obligé après toute Révolution ?
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