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Chrysler cherche à se désendetter.

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  • Chrysler cherche à se désendetter.

    Les formidables stratèges Algériens vont-ils ne serait-ce « qu’envisager » de se jeter sur cette fabuleuse occasion ? En y regardant de très très prés, épaulés des meilleurs cabinets existant, toutes les différentes immenses possibilités qui peuvent s’offrir à eux pour l’avenir.

    Mais qu’est ce que je raconte moi ? Voilà donc que je me mets à rêver tout haut à présent. Je dois totalement perdre la tête… ^ ^






    Chrysler veut émettre sept milliards de dollars de dette pour rembourser ses prêts

    Le Point.fr - Publié le 16/04/2011 à 13:06 - Modifié le 16/04/2011 à 14:12

    Le constructeur automobile devait 5,8 milliards de dollars aux États-Unis et 1,7 milliard de dollars aux gouvernements du Canada et de la province canadienne de l'Ontario à la fin 2010.

    Le constructeur automobile américain Chrysler prévoit d'émettre environ 7 milliards de dollars de dette pour rembourser les prêts à taux d'intérêt élevés octroyés par les États-Unis et le Canada pendant la crise, a indiqué, vendredi, une source proche du dossier.

    Le troisième constructeur américain, contrôlé à 30 % par l'italien Fiat, est en discussions avec un groupe de banques, dont Goldman Sachs, Morgan Stanley, Citigroup et Bank of America, sur ce projet, indique pour sa part le Wall Street Journal vendredi, sur son site internet. Chrysler devait 5,8 milliards de dollars aux États-Unis et 1,7 milliard de dollars aux gouvernements du Canada et de la province canadienne de l'Ontario à la fin 2010. Chrysler a perdu 652 millions de dollars en 2010, mais ses activités automobiles sont déjà redevenues rentables.

    Le directeur général de Fiat et Chrysler, Sergio Marchionne, a indiqué à plusieurs reprises qu'une restructuration de sa dette pour bénéficier d'un taux d'intérêt moins élevé était l'un des moyens envisagés pour que le groupe repasse, lui aussi, aux bénéfices, alors qu'il prépare son introduction pour laquelle il vise la fin d'année. Des porte-parole de Chrysler, Citigroup, Bank of America, Goldman Sachs et Morgan Stanley se sont refusés à tout commentaire. Lundi, Sergio Marchionne avait par ailleurs déclaré qu'il souhaitait que Fiat monte encore plus haut dans le capital de Chrysler dès cette année, mais qu'il n'était pas certain d'y parvenir. "L'intention est là", mais "cela dépend si nous réussissons à refinancer la dette avec le gouvernement" américain, avait-il dit. À terme, Fiat pourrait monter à 51 % du capital de son partenaire américain.


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