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Réponse à un Citoyen français

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  • Réponse à un Citoyen français

    Ceci est un poste (totalement HS) de notre ami LION DE MER sur un autre topic. Je préfère qu'on le traite dans un fil à part car c'est un sujet à part.
    Il s'agit en somme d'une lettre ouverte qui circulerait (ou aurait circulé) en réponse aux propos de Bouteflika sur le "génocide de l'identité algérienne par la France", signé par un type qui se dit professeur d'histoire en France.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

  • #2
    Lettre ouverte au Président algérien

    Courrier exemplaire adressé au président algérien, M.BOUTÉFLICA, par M.SAVELLI, professeur agrégé en histoire au Val de Grâce.

    Il semble indispensable de faire circuler ce document, extrêmement bien documenté, venant d'un érudit de l'histoire, relatant brièvement l'histoire d'un pays, l'Algérie, et éclatant de vérité.

    ______________________

    LETTRE à M.BOUTEFLIKA Président de la République algérienne.

    Monsieur le Président,

    En brandissant l’injure du génocide de l’identité algérienne par la France, vous saviez bien que cette identité n’a jamais existé avant 1830. Mr Ferrat Abbas et les premiers nationalistes avouaient l’avoir cherchée en vain. Vous demandez maintenant repentance pour barbarie : vous inversez les rôles !

    C’était le Maghreb ou l’Ifriqiya, de la Libye au Maroc. Les populations, d’origine phénicienne (punique), berbère (numide) et romaine, étaient, avant le VIII° siècle, en grande partie chrétiennes (500 évêchés dont celui d’Hippone / Annaba, avec Saint Augustin).

    Ces régions agricoles étaient prospères.

    Faut-il oublier que les Arabes, nomades venant du Moyen Orient, récemment islamisés, ont envahi le Maghreb et converti de force, « béçif » (par l’épée), toutes ces populations. « Combattez vos ennemis dans la guerre entreprise pour la religion….Tuez vos ennemis partout où vous les trouverez » (Coran, sourate II, 186-7).

    Ce motif religieux était élargi par celui de faire du butin, argent, pierreries, trésor, bétail, et aussi bétail humain, ramenant par troupeaux des centaines de milliers d’esclaves berbères; ceci légitimé par le Coran comme récompense aux combattants de la guerre sainte (XLVIII, 19, 20) .

    Et après quelques siècles de domination arabe islamique, il ne restait plus rien de l’ère punico romano berbère si riche, que des ruines (Abder-Rahman ibn Khaldoun el Hadram , Histoire des Berbères,T I, p.36-37, 40, 45-46. 1382).

    Faut-il oublier aussi que les Turcs Ottomans ont envahi le Maghreb pendant trois siècles, maintenant les tribus arabes et berbères en semi esclavage, malgré la même religion, les laissant se battre entre elles et prélevant la dîme, sans rien construire en contre partie.

    Faut-il oublier que ces Turcs ont développé la piraterie maritime, en utilisant leurs esclaves.

    Ces pirates barbaresques arraisonnaient tous les navires de commerce en Méditerranée, permettant, outre le butin, un trafic d’esclaves chrétiens, hommes, femmes et enfants.

    Dans l’Alger des corsaires du XVI° siècle, il y avait plus de 30.000 esclaves enchaînés. D’où les tentatives de destruction de ces bases depuis Charles Quint, puis les bombardements anglais, hollandais et même américain …

    Les beys d’Alger et des autres villes se maintenaient par la ruse et la force, ainsi celui de Constantine, destitué à notre venue, ayant avoué avoir fait trancher 12.000 têtes pendant son règne.

    Faut-il oublier que l’esclavage existait en Afrique depuis des lustres et existe toujours. Les familles aisées musulmanes avaient toutes leurs esclaves africains. Les premiers esclavagistes, Monsieur le Président, étaient les négriers noirs eux-mêmes qui vendaient leurs frères aux Musulmans du Moyen Orient, aux Indes et en Afrique (du Nord surtout), des siècles avant l’apparition de la triangulaire avec les Amériques et les Antilles, ce qui n’excuse en rien cette dernière, même si les esclaves domestiques étaient souvent bien traités.

    Faut-il oublier qu’en 1830, les Français sont venus à Alger détruire les repaires barbaresques ottomans qui pillaient la Méditerranée, libérer les esclaves et, finalement, affranchir du joug turc les tribus arabes et berbères opprimées.

    Faut-il oublier qu’en 1830, il y avait à peu près 5.000 Turcs, 100.000 Koulouglis, 350.000 Arabes et 400.000 Berbères dans cette région du Maghreb où n’avait jamais existé de pays organisé depuis les Romains.

    Chaque tribu faisait sa loi et combattait les autres, ce que l’Empire Ottoman favorisait, divisant pour régner.

    Faut-il oublier qu’en 1830 les populations étaient sous développées, soumises aux épidémies et au paludisme. Les talebs les plus évolués qui servaient de toubibs (les hakems), suivaient les recettes du grand savant « Bou Krat » (ou plutôt Hippocrate), vieilles de plus de 2.000 ans. La médecine avait quand même sérieusement évolué depuis !

    Faut-il oublier qu’à l’inverse du génocide, ou plutôt du massacre arménien par les Turcs, du massacre amérindien par les Américains, du massacre aborigène par les Anglais et du massacre romano-berbère par les Arabes entre l’an 700 et 1500, la France a soigné, grâce à ses médecins (militaires au début puis civils) toutes les populations du Maghreb les amenant de <1m en 1830 en Algérie, à dix en 1962.

    Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » - j’accepte).

    Faut-il oublier qu’en 1962 la France a laissé en Algérie, malgré des fautes graves et des injustices, une population à la démographie galopante, souvent encore trop pauvre, - il manquait du temps pour passer du moyen âge au XX° siècle - mais en bonne santé, une agriculture redevenue riche grâce aux travaux des Jardins d’Essais, des usines, des barrages, des mines, du pétrole, du gaz, des ports, des aéroports, un réseau routier et ferré, des écoles, un Institut Pasteur, des hôpitaux et une université, la poste…..

    Il n’existait rien avant 1830 !

    Cette mise en place d’une infrastructure durable, et le désarmement des tribus, ont été capitaux pour l’Etat naissant de l’Algérie.

    Faut-il oublier que les colons français ont asséché, entre autres, les marécages palustres de la Mitidja, y laissant de nombreux morts, pour en faire la plaine la plus fertile d’Algérie, un grenier à fruits et légumes, transformée, depuis leur départ, en zone de friche industrielle.

    Faut-il oublier que la France a permis aux institutions de passer, progressivement, de l’état tribal à un État-nation, et aux hommes de la sujétion à la citoyenneté en construction, de façon, il est vrai, insuffisamment rapide.

    Le colonialisme, ou plutôt la colonisation a projeté le Maghreb, à travers l’Algérie, dans l’ère de la mondialisation.

    Faut-il oublier qu’en 1962, un million d’européens ont dû quitter l’Algérie, abandonnant leurs biens pour ne pas être assassinés ou, au mieux, de devenir des habitants de seconde zone, des dhimmis, méprisés et brimés, comme dans beaucoup de pays islamisés. Il en est de même de quelques cent mille israélites dont nombre d’ancêtres s’étaient pourtant installés là 1000 ans avant que le premier arabe musulman ne s’y établisse.

    Était-ce une guerre d’indépendance ou encore de religion ?

    Faut-il oublier qu’à notre départ en 1962, outre au moins 75.000 Harkis, sauvagement assassinés, véritable crime contre l’humanité, et des milliers d’européens tués ou disparus, après ou avant, il est vrai, les excès de l’O.A .S.

    Il y a eu plus de 200.000 tués dans le peuple algérien qui refusait un parti unique, beaucoup plus que pendant la guerre d’Algérie.

    C’est cette guerre d’indépendance, avec ses cruautés et ses horreurs de part et d’autre, qui a fondé l’identité algérienne.

    Les hommes sont ainsi faits !

    Monsieur le Président, vous savez que la France forme de bons médecins, comme de bons enseignants. Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce.

    L’un d’eux, Lucien Baudens, créa la première École de médecine d’Alger en 1832, insistant pour y recevoir des élèves autochtones. Ces rappels historiques vous inciteront, peut-être, Monsieur le Président, à reconnaître que la France vous a laissé un pays riche, qu’elle a su et pu forger, grâce au travail de toutes les populations, des plus pauvres aux plus aisées - ces dernières ayant souvent connu des débuts très précaires -.

    La France a aussi créé son nom qui a remplacé celui de Barbarie.

    Personne ne vous demandera de faire acte de repentance pour l’avoir laissé péricliter, mais comment expliquer que tant de vos sujets, tous les jours, quittent l’Algérie pour la France ?

    En fait, le passé, diabolisé, désinformé, n’est-il pas utilisé pour permettre la mainmise d’un groupe sur le territoire algérien ? Je présente mes respects au Président de la République, car j’honore cette fonction.

    Un citoyen français, André Savelli,
    Professeur agrégé d’Histoire au Val de Grâce.
    "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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    • #3
      Début de réponse à M. André Savelli

      Monsieur le Professeur

      Vous reprochez au président algérien d’avoir parlé du « génocide de l’identité algérienne par la France » en arguant qu’une telle identité n’a jamais existé pour être tuée. Et bien, en supposant qu’elle n’ait vraiment jamais existé avant que quelques algériens n’aient eu l’honneur et le plaisir d’être vaincus par quelques français et que ce pays ait été soumis à votre pouvoir, rien n’indique qu’elle n’eut existé un jour cette identité algérienne, naturellement, et sans l’aimable « aide » de la France et des français, à un quelconque moment au cours du siècle et demi où vous avez obligé les gens de ce pays à vous combattre et à vous résister pour pouvoir exister au lieu de se consacrer à plus profitable pour eux-mêmes ou pour leur nation : ca serait donc plus répugnant que l’assassinat d’un adulte, c’est un avortement forcé !

      Notez par l’occasion, Monsieur le professeur, que même « sans identité » comme vous le dites, les hommes et les femmes de ce pays n’ont jamais confondus leurs personnes avec celles des Roumis, et qu’à défaut de savoir qui ils étaient eux-mêmes, ils savaient au moins qu’ils étaient autre chose que la France et ses français, ce qui est déjà bien assez.

      Mais, plus que le reproche au Président, vous voilà presque à réclamer les remerciements des vaincus pour le fait d’avoir été chez-eux vaincus ! Qui inverse les rôles et qui insulte le bon d’autrui ?

      Quant à Ferhat Abbas et ses semblables, c’est surtout parce qu’ils ont étés à votre école qu’ils n’avaient pas trouvé la nation qu’ils cherchaient. Et Comment le pouvaient-ils, dans une école qui leur apprenaient des choses sur leurs « ancêtres les Gaulois » ?! Pourtant, les plus sensés d’entre eux (à commencer par Ferhat Abbas lui-même) ont tout de même finis par trouver quelque chose d’utile en ce domaine, quelque chose qui n’a rien de « gaulois » bien entendu, et qui leur a permis de participer à la (re)naissance d’un peuple que la France croyait n’avoir jamais vu.


      HARRACHI78
      Un citoyen algérien
      Dernière modification par Harrachi78, 19 avril 2011, 16h16.
      "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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      • #4
        Il n’existait rien avant 1830 !
        éclatant de vérité en effet.

        Et cela se veut historien...
        L'Algérie constituait déjà un état quasi indépendant de la sublime porte avant l'invasion des français.
        Ce n'était pas un conglomérat hétérogène de tributs rivales mais bien un état avec une autorité politique et son administration (fonctionnaire, organisation du territoires...)bien établit avec ses taxes, ses écoles ses tribunaux et ses hopitaux, et bien sur sa trésorerie.
        Dernière modification par yassdu92, 19 avril 2011, 14h11.

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        • #5
          Faudrait envoyer un exemplaire du livre de Pierre Péan (Main basse sur Alger) à Mr le professeur Savelli.

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          • #6
            Puisqu'il n'y avait rien de rien avant 1830 d'après notre professeur, faudra alors qu'il nous explique d'où prévenait le blé qui a nourrit les soldat de Napoléon pendant toute la décennie ou la France était attaquée par toute l'Europe.

            La France, en faillite totale au sorti de la revolution, n'avait pas le moindre sou pour faire se défendre. Et non seulement Alger fournissait la nourriture à l'armée française, mais en plus, c'était à crédit. Bien entendu, la France n'a jamais payé quoi que ce soit, et le jour où le Dey d'Alger a voulu réclamé son argent, la France en a profité pour simuler un incident diplomatique, vite tranformé en cassus belli.

            Sans parler du hold-up de 4.5 Milliards d'€ que la France a fait à ALger, que Pierre Péan prend le temps d'expliquer dans son livre, voir mon post précedent.

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            • #7
              @m'stafa

              C'était du blé sauvage !
              "L'armée ne doit être que le bras de la nation, jamais sa tête" [Pio Baroja, L'apprenti conspirateur, 1913]

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              • #8
                Donc encore meilleur

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                • #9
                  « La fable est la sœur aînée de l'histoire » écrivait voltaire.
                  Il est indéniable que chacun la réécrit à sa manière, de façon à trouver son compte.
                  Plus un événement se situe loin dans le temps, plus son avènement se rapproche de la légende, voire du mythe. Il devient alors, l'Histoire (avec un grand H).
                  En revanche, plus un événement est temporellement proche, plus il fera partie de la petite histoire (avec un petit h).
                  Dans ce qu’écrit ce professeur: La France venue «libérer les esclaves» en 1830 est sans doute un bon exemple de fable. Par contre, lorsqu'il dit «Vous avez choisi, avec votre premier ministre, de vous faire soigner par mes confrères du Val de Grâce.», ce n'est pas encore de l'histoire, c'est de l'actualité.
                  Dernière modification par Nazim85, 19 avril 2011, 17h50.
                  Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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                  • #10
                    papillon...

                    ...ceci dit en passant, tout le monde sait qu'au Printemps avec les fleurs il s'en vient souvent, comme autant et parmi d'autres, le papillon, donc tout ceci se ramène au plus délicat d'une saison colorée et surabondante des hommes comme de la Vie, bien sûr, des parfums il s'y tient comme de Mohamedîne à Sarhawîne, ces derniers vous rappellent-ils quelque chose ou quelqu'un depuis, car, des actuels et discutables, certains sujets, certaines histoires, plusieurs constats, se manquent à l'appel, Culturellement, Spirituellement, Civilement, Humainement, bon, Nous disons délicat, les plus récents, les plus récentes, le sont-ils, le sont-elles, "objectivement" si il s'agit d'éclaircir des instants modifiés ou des connaissances inférieures il n'est pas suggérer, des airs d'un battement d'aile, de s'ignorer des origines, des sources, des naissances, pour que chacun, chacune, puisse et considère des propos mesurés pour ne pas à nouveau se parler de blesser, de condamner, de mépriser,... disparaître se valu plusieurs fois pour connaître des estimes, pour savoir des valeurs, pour renaître leurs meilleurs, de fait l'Humilité se tient à tous du ou des survols, comme un Respect, une Dignité, tous deux rapportés honorablement des siècles, des années, du présent, à toute Paix débutée dans le Temps par delà chaque souvenir, historique, explicite, inoubliable...

                    ...Salam, merci...
                    ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                    • #11
                      @nedjmala
                      papillon...
                      Papillon noir ? ou papillon blanc ?
                      Et surtout, c'est combien la dose ?
                      Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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                      • #12
                        Faut-il oublier que la France a respecté la langue arabe, l’imposant même au détriment du berbère, du tamashek et des autres dialectes, et a respecté la religion (ce que n’avaient pas fait les Arabes, forçant les berbères chrétiens à s’islamiser pour ne pas être tués, d’où le nom de « kabyle » - j’accepte).
                        Hahaha! Excellent le coup du pédant qui connait deux mots en arabe, et qui vient nous concocter des théories étymologiques sur mesure. Mais on peut tout se permettre à destination de pauvres indigènes ignares, n'est-ce pas monsieur le "Professeur"? Et d'ailleurs, venir essuyer les auréoles de sa chère France des accusations de génocide identitaire, en alléguant du même coup qu'elle a privilégié une langue au détriment d'autres n'est pas très malin, pour quelque'un supposé d'avoir un minimum de suite dans les idées.

                        Plus sérieusement, ce pauvre type qui se dit professeur d'Histoire, semble avoir une lecture assez partisane de l'Histoire pour ainsi dire lol, chose assez curieuse pour qui trempe dans un domaine aussi exigeant en impartialité et nécessiteux d'un minimum de neutralité. Mais bon, ce n'est pas la méthodologie qui semble le plus faire défault à cet énergumène .
                        Dernière modification par absent, 19 avril 2011, 18h42.

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                        • #13
                          faux départ...

                          ...Nazim, si vous êtes loin d'un apiculteur, d'une apicultrice, veuillez vous rapprochez, ils, elles vous diront gentiment la couleur naturelle et secondaire d'un "travail" récolté aux âges des bois...

                          ...salam, merci...
                          ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                          • #14
                            oui

                            Annabi, la lettre n'est pas datée, la difficulté s'ajoute aux tiroirs...

                            Salam, merci...
                            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                            • #15
                              Merci de ton conseil @nedjmala. Mais je croyais que l'apiculteur s'occupait surtout de ruches et d'abeilles.
                              Peu importe, je tiens à t'accompagner, car ça m’intéresse davantage en sachant que ton produit fait confondre les papillons et les abeilles.
                              Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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