C'est le genre d'informations qui font froid au dos. De fous criminels circulent librement et peuvent à tout moment ôter la vie à une personne...
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Un déséquilibré a tué au couteau un passant et blessé un gendarme avant d'être abattu par la gendarmerie vendredi matin à Tarare, dans le Rhône. L'homme, au "passé psychiatrique lourd", avait déjà tué deux personnes à Paris dans les années 90.
Le drame s'est déroulé peu avant 8 heures, en plein centre-ville de Tarare, dans le Rhône, quand une patrouille de deux gendarmes a vu l'agresseur, âgé de 40 ans, avec un couteau à la main et sa victime gisant morte à ses pieds. Cette dernière, un homme âgé de 67 ans et "ayant reçu plusieurs coups de couteau" selon M. Battut, accompagnait à l'école son fils de 6 ans. Les deux hommes, dont on ignore pour l'instant la relation, étaient de nationalité algérienne, avec des cartes de résidents, selon le parquet.
Ne répondant pas aux sommations des militaires, qui lui demandaient de déposer son arme, le meurtrier s'est jeté sur l'un d'eux, le faisant tomber à la renverse, avant de lui porter un coup de couteau au visage et à la main. Les deux gendarmes ont alors dégainé leur arme de service et ont tiré sur l'agresseur. "Plus d'un coup de feu a été tiré", a précisé M. Battut, qui a saisi la section de recherches et l'inspection technique de la gendarmerie. Le fils de la victime est indemne mais reste "fortement choqué", a-t-on ajouté de même source, au même titre que les deux gendarmes. Le gendarme blessé, dont les jours ne sont pas en danger, a été hospitalisé à Lyon, a-t-on précisé de sources concordantes.
"C'était un homme au passé psychiatrique lourd qui était suivi par un médecin depuis son installation à Tarare en 2000", a indiqué le procureur de Villefranche-sur-Saône, Francis Battut. "Il avait tué deux personnes en région parisienne dans les années 1990-1992 mais déclaré irresponsable en raison de graves troubles psychologiques", a ajouté le magistrat.
TF1
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Un déséquilibré a tué au couteau un passant et blessé un gendarme avant d'être abattu par la gendarmerie vendredi matin à Tarare, dans le Rhône. L'homme, au "passé psychiatrique lourd", avait déjà tué deux personnes à Paris dans les années 90.
Le drame s'est déroulé peu avant 8 heures, en plein centre-ville de Tarare, dans le Rhône, quand une patrouille de deux gendarmes a vu l'agresseur, âgé de 40 ans, avec un couteau à la main et sa victime gisant morte à ses pieds. Cette dernière, un homme âgé de 67 ans et "ayant reçu plusieurs coups de couteau" selon M. Battut, accompagnait à l'école son fils de 6 ans. Les deux hommes, dont on ignore pour l'instant la relation, étaient de nationalité algérienne, avec des cartes de résidents, selon le parquet.
Ne répondant pas aux sommations des militaires, qui lui demandaient de déposer son arme, le meurtrier s'est jeté sur l'un d'eux, le faisant tomber à la renverse, avant de lui porter un coup de couteau au visage et à la main. Les deux gendarmes ont alors dégainé leur arme de service et ont tiré sur l'agresseur. "Plus d'un coup de feu a été tiré", a précisé M. Battut, qui a saisi la section de recherches et l'inspection technique de la gendarmerie. Le fils de la victime est indemne mais reste "fortement choqué", a-t-on ajouté de même source, au même titre que les deux gendarmes. Le gendarme blessé, dont les jours ne sont pas en danger, a été hospitalisé à Lyon, a-t-on précisé de sources concordantes.
"C'était un homme au passé psychiatrique lourd qui était suivi par un médecin depuis son installation à Tarare en 2000", a indiqué le procureur de Villefranche-sur-Saône, Francis Battut. "Il avait tué deux personnes en région parisienne dans les années 1990-1992 mais déclaré irresponsable en raison de graves troubles psychologiques", a ajouté le magistrat.
TF1
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