Ne pas oublier le Sahara Occidental
Comment faire en sorte que l’application des résolutions onusiennes soient impérative pour une sortie de l’impasse dans la crise sahraouie ?
Comment faire en sorte que l’application des résolutions onusiennes soient impérative pour une sortie de l’impasse dans la crise sahraouie ? Les deux parties liées au conflit seront invitées à tout recommencer, en oubliant qu’il était question d’un référendum ; en oubliant qu’une guerre avait déjà éclaté entre elles, que des centaines de prisonniers marocains avaient été unilatéralement relâchés par le Polisario, que les familles sahraouies ont vécu sous les tentes trente-six années durant et que, actuellement, les populations arabes exigent des changements, y compris au changement.
Redémarrer de zéro, mais avec la vue sur le mur de dunes de sable érigé par les forces armées royales pour s’isoler du point de vue sécuritaire des combattants du Polisario.
Le SG de l’ONU semble perdu à chaque fois qu’il s’agit des Palestiniens et des Sahraouis, car il sait à l’avance qu’il ne va pas disposer des moyens de faire appliquer toutes les résolutions onusiennes ou celles du Conseil de sécurité, ce qui permet de poser la question du sens à donner à l’existence de ce dernier. Si, à chaque fois, une partie au conflit est soutenue par un membre du Conseil de sécurité qui use de son influence et de son droit de veto, à quoi servirait finalement ce Conseil censé veiller à la paix dans le monde ? Il est même inutile que le Conseil de sécurité se réunisse pour se prononcer sur les conflits qui surviennent dans le monde, à moins que l’on considère qu’il y en a qu’il faudrait régler et que d’autres ne doivent pas être résolus pour des raisons inavouables.
Tout se passe, au regard des évènements qui surviennent dans le Monde arabe, comme si ce dernier ne devait pas retrouver sa sérénité pour penser à l’avenir en tant qu’entité reconstruite. Le Maghreb est fixé par l’abcès maroco-sahraoui qui risque de mettre en péril la sécurité régionale.
LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE
Comment faire en sorte que l’application des résolutions onusiennes soient impérative pour une sortie de l’impasse dans la crise sahraouie ?
Comment faire en sorte que l’application des résolutions onusiennes soient impérative pour une sortie de l’impasse dans la crise sahraouie ? Les deux parties liées au conflit seront invitées à tout recommencer, en oubliant qu’il était question d’un référendum ; en oubliant qu’une guerre avait déjà éclaté entre elles, que des centaines de prisonniers marocains avaient été unilatéralement relâchés par le Polisario, que les familles sahraouies ont vécu sous les tentes trente-six années durant et que, actuellement, les populations arabes exigent des changements, y compris au changement.
Redémarrer de zéro, mais avec la vue sur le mur de dunes de sable érigé par les forces armées royales pour s’isoler du point de vue sécuritaire des combattants du Polisario.
Le SG de l’ONU semble perdu à chaque fois qu’il s’agit des Palestiniens et des Sahraouis, car il sait à l’avance qu’il ne va pas disposer des moyens de faire appliquer toutes les résolutions onusiennes ou celles du Conseil de sécurité, ce qui permet de poser la question du sens à donner à l’existence de ce dernier. Si, à chaque fois, une partie au conflit est soutenue par un membre du Conseil de sécurité qui use de son influence et de son droit de veto, à quoi servirait finalement ce Conseil censé veiller à la paix dans le monde ? Il est même inutile que le Conseil de sécurité se réunisse pour se prononcer sur les conflits qui surviennent dans le monde, à moins que l’on considère qu’il y en a qu’il faudrait régler et que d’autres ne doivent pas être résolus pour des raisons inavouables.
Tout se passe, au regard des évènements qui surviennent dans le Monde arabe, comme si ce dernier ne devait pas retrouver sa sérénité pour penser à l’avenir en tant qu’entité reconstruite. Le Maghreb est fixé par l’abcès maroco-sahraoui qui risque de mettre en péril la sécurité régionale.
LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE
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