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Université de Tiaret : situation alarmante au sein de l’institut vétérinaire

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  • Université de Tiaret : situation alarmante au sein de l’institut vétérinaire

    Les étudiants vétérinaires sont en protestation et refusent de passer leurs examens malgré une reprise des études qui a peu duré. Ces derniers jugent que le ministère entretient toujours le suspens, suite à la dernière correspondance jugée ambigüe, concernant leur spécialité ainsi que la nature du diplôme qu’ils doivent recevoir à la fin de leur cursus. Mais ce sont surtout les maladresses et l' irresponsabilité de l'actuel directeur par intérim de l’établissement et de son équipe qui ont fait prendre la situation une tournure désastreuse. En voulant soigner son image auprès du nouveau recteur de l’université et se confirmer au poste , le directeur a tenté dans un premier temps de convaincre les étudiants de reprendre les cours contre un présumé soutien, de sa part, et suite à l’échec de son initiative il a durcit le ton et menaça les grévistes de les faire rentrer par la force, allant jusqu’à menacer de faire intervenir les malfrats réputés de son quartier, et leur fait savoir qu’il avait des mouchards parmi eux. Après avoir semé le trouble et l’incertitude parmi les étudiants, le directeur fait intervenir ses acolytes pour casser le mouvement ce qui amena des accrochages entre étudiants, l’un des proche du directeurs à même essayer de franchir le regroupement des protestataires avec sa voiture et les étudiants en sont venus aux mains. Devant l’irresponsabilité et l’aveuglement de cette personne un appel est lancé au recteur de l’université pour mettre fin à cette mascarade . A ce la s'ajoute la dégradation des relations entre enseignants et étudiants, dans un climat empoisoné et de tension, depuis le début de cette année universitaire suite à une gestion catastrophique de l'institut par l'actuelle équipe administrative.

  • #2
    Université de Tiaret : situation alarmante au sein de l'institut vétérinaire

    Au lieu de dénoncer comme ça, ce qui se passe dans notre institut sous anonymat, il serait plus responsable d’exprimer son avis dans le cadre officiel, à l’institut. Je sais que ce n’est pas facile et on risque même d’y laisser des plumes, il n’ya qu’à voir la situation de notre collègue qui a recouru au recteur de l’université ! Personnellement je n’aurais pas le courage de faire pareil, mais la vérité c’est qu’il a pris la défense de pas mal d' enseignants « les plus faibles surtout » en dénonçant ce qu’il a subit lui-même.
    Il faut dire que nous avons la mémoire courte car on oublie que c’est l’actuel directeur qui était responsable de la radiation de notre collègue Mlle SOLTANI et essaya d’exclure une seconde enseignante en communiquant de fausses informations à propos d’absences présumés de cette dernière au rectorat. Ces faits ne remontent pas à bien longtemps pour qu’on les oublies, c’était en 2002 lorsque notre directeur avait entamé son aventure en écartant le docteur NIAR de son poste.Puis ses déboires commençaient pour se terminer par une retraite déshonorante quelques mois plu tard. Mais ce qui est bizarre c’est qu’il s’en prend cette fois à un enseignant plutôt qu'aux enseignantes !
    A mon avis la seule solution plausible c’est le retour du Professeur NIAR à la tête de l’institut, c’est le plus gradé et personne ne peu le contester, c’est aussi une personne sage et flegmatique.

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    • #3
      c'est une affaire de budget de fonctionnent les gens s'entredechir sur le dos des étudiants et de la formation....c'est des miserables.
      la misère est la mère de tous les vis

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      • #4
        Notre pauvre directeur ne s’y croit toujours pas, faire un bond pareil depuis le souk directement au sommet de l’institut. Il ne faut pas trop lui demander quand même, lui qui ne pouvait tenir d’habitude qu’une vache ou deux à la fois au souk, doit désormais diriger tout un institut.
        Il lui faudrait bien sûr beaucoup de temps pour s’accommoder à cette nouvelle situation. Mais j’ai bien peur que ça ne soit pas évident, et même avec tout le temps qu’on peut lui accorder, ça ne marchera jamais.
        La solution, je crois qu’il l’a trouvée ! C’est de transformer l’établissement en un grand marché ! Sincèrement, il est dans la bonne voie. Rien qu’à voir l’équipe avec la quelle il s’est entouré et la manière dont ils fonctionnent, je crois que notre institut serra aussi réputé que le marché de sougueur ou encore de Trégueux ! Notre souk à nous possède une autre particularité, c’est cette horde de chiens qui fait office de comité d’accueil, à la porte de l’institut, pour les visiteurs !
        Mais la vérité c’est que notre maquignon n’était pas trop doué en commerce de bestiaux, la preuve c’est qu’il a été roulé à plusieurs reprises par ses compères du souk, qui l’ont délestés de sommes faramineuses.
        En voyant la percée de certains confrères, plus intelligents et sur tout respectables, dans le monde des affaires grâce au commerce du médicament vétérinaire, il essaye d’emprunter la même voie en s’associant à un détaillant local. Son objectif étant de s’assurer une rente et se faire par l’occasion une place parmi les grands. Malgré Cela il continue à utiliser les médicaments de l’institut chez sa clientèle.
        Son activité à l’institut se résume à narrer des histoires et ses aventures vécues avec ses compères du marché pour occuper les étudiants. Son accession au grade actuel, il la doit au dévouement de Mlle Melliani qui lui a assurée la publication, et a préparée sa thèse de doctorat. Comme elle continue de lui gérer sa carrière scientifique, en lui remplissant différents canevas (PNR et Magistère). En contre partie elle est privilégiée en matière de tache ; de choix des horaires et ses absences sont ignorés.
        L’opportunité qui lui a était offerte par l’ancien recteur, qui aimait s’entourer d’incompétents - magouilleurs de toutes sortes, lui a ouvert la voie à la renommée et au pouvoir. Mais la déchéance de son mentor a mis à nus ses insuffisances et son impuissance à gérer le poste. Le maigre bagage scientifique ; linguistique, et surtout l’immaturité de l’esprit sont les causes vraisemblables de ses échecs répétés.
        Sa vie privée est elle aussi lourde de désagréments ; on lui consacrera tout un chapitre par la suite.
        A suivre…..

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        • #5
          c'est hors sujet ,mais permetez moi de dire que le nombre d'ecoles vétérinaire en algerie est tres elevé,et que le niveau de leurs formation laisse beaucoup a désirer,chaque annee plusieurs promotions débarquent sur le marche du travail ,et que l'offre depasse largement la demande ...........bientot le nombre de véto
          depassera celui de notre cheptel bovin

          p.s:content pour mon cousin NIAR ,qu'il qu'il soit estimé est reconnu
          Dernière modification par djet 7, 26 mai 2011, 14h09.
          Tout systeme logique est nécéssairement incomplet

          Gödel

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          • #6
            Le Don Quichotte de l'Habitat

            Notre directeur poursuit sa lutte sans merci contre les hommes verts, envahisseurs, venus de la planète rouge. Son histoire nous rappelle étonnamment celle du fou de Cervantès, lorsqu'il alla tout seul combattre les méchants monstres qui n'étaient en réalité que des moulins à vent!!
            En lisant le récit de cette fabuleuse bataille, on est frappé par cette ressemblance qui a marquée les événements, mais aussi celle des personnages, le vrai Don quichotte et le notre.
            Mais par malheur, les écuyers de notre Donquichotte ne sont pas dotés de la raison de Sancho Panza de Cervantès…
            A certain moment, comme dit toujours notre héro, on pense vraiment que notre Don quichotte de l’Habitat a eu inspiration de l’épopée vécue par le héro de Crevantes.

            En voici le récit :
            En ce moment ils découvrirent trente ou quarante moulins à vent qu'il y a dans cette plaine, et, dès que don Quichotte les vit, il dit à son écuyer: "La fortune conduit nos affaires mieux que ne pourrait y réussir notre désir même. Regarde ami Sancho ; voilà devant nous au moins trente démesurés géants, auxquels je pense livrer bataille et ôter la vie à tous tant qu’ils sont. Avec leurs dépouilles nous commencerons à nous enrichir ; car c'est prise de bonne guerre, et c'est grandement servir Dieu que de faire disparaître si mauvaise engeance de la face de la terre. "
            Un peu de vent s’étant alors levé, les grandes ailes de ces moulins commencèrent à se mouvoir, ce que voyant don Quichotte, il s’écria : " Quand même vous remueriez plus de bras que le géant de Briarée: vous allez me le payer. "
            En disant ces mots, il se recommanda du profond de son cœur à sa dame Dulcinée, la priant de le secourir en un tel péril ; puis, bien couvert de son écu, et la lance en arrêt, il se précipita au plus grand galop de Rossinante, contre le premier moulin qui était devant lui ; mais au moment où il perçait l’aile d’un grand coup de lance, le vent la chassa avec une telle furie qu'elle mit la lance en pièces et qu’elle emporta après elle le cheval et le chevalier, qui s'en alla rouler un bon dans la poussière en fort mauvais état.
            Sancho Panza accourut à son secours de tout le trot de son âne et trouva en arrivant près de lui qu'il ne pouvait plus remuer tant le coup et la chute avaient été rudes.
            " Miséricorde ! » s’écria Sancho; n’avais-je pas bien dit à Votre Grâce qu’elle prît garde à ce qu’elle faisait, que ce n’était pas autre chose que des moulins à vent ? "
            Paix, paix ! ami Sancho, répondit Don Quichotte, les choses de la guerre sont plus que d'autres sujettes à des chances continuelles ;d'autant plus que je pense, que ce sage Feston, qui m'a volé les livres et mon cabinet, a changé ces géants en moulins pour m’enlever la gloire de les vaincre : tant est grande l'inimitié qu'il me porte ! Mais, en fin de compte son art maudit ne prévaudra pas contre la bonté de mon épée.
            Don Quchotte - Cervantes - Chapître XI - Classiques abrégés
            Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms.
            Citation de Pierre Doris

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