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Canada : sursis pour la famille d'une Française malade

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  • Canada : sursis pour la famille d'une Française malade

    Allez pour ceux qui rêvent de vie meilleure au Canada, je ne résiste pas à vous soumettre ceci !

    Le Figaro Par Pauline Fréour 20/04/2011

    Le couple avait vu sa demande de résidence permanente au Québec rejetée en raison des soins de leur fille, jugés trop coûteux. Mais la ministre de l'Immigration de la province vient de s'engager à ce qu'ils puissent rester.

    Les Barlagne sont soulagés, mais ils n'osent pas encore crier victoire. Cette famille française, installée à Montréal depuis 6 ans, s'était vue refuser en mai sa demande de résidence permanente - qui permet de vivre et travailler au Canada sans limite dans le temps - au motif que les soins requis par leur fille de sept ans, Rachel, représentait un «fardeau excessif» pour l'Etat fédéral. Mais leur avocat a annoncé mardi que la ministre de l'Immigration de la province du Québec s'était engagée pour que leur dossier aboutisse.

    Comme ils l'avaient annoncé en mai, David et Sophie Barlagne avaient déposé jeudi une demande humanitaire auprès du ministre fédéral de l'Immigration, qui dispose d'un pouvoir discrétionnaire pour ce genre d'affaire. Mais Jason Kenney a exclu toute intervention personnelle. Or l'examen d'une demande humanitaire peut prendre jusqu'à deux ans, et le permis temporaire de travail du couple Barlagne expire en juillet. Toute la famille risquait donc de se voir expulsée.

    Une affaire qui a ému les Québecois

    Mais la ministre de l'Immigration pour la province du Québec, Kathleen Weil, a annoncé mardi qu'une entente spéciale avait été conclue pour eux entre Québec et Ottawa. «On a émis aujourd'hui des certificats de sélection du Québec à la famille Barlagne pour qu'elle puisse rester ici. On a une entente avec le gouvernement fédéral qui va accorder la résidence permanente», a-t-elle expliqué à Radio-Canada. L'avocat des Barlagne reste néanmoins prudent : «Je suis heureux de pouvoir compter sur la déclaration officielle d'un ministre, mais je serai vraiment convaincu quand j'aurai un papier entre les mains», a déclaré Me Stéphane Minson à La Presse canadienne.

    Le drame des Barlagne, une famille d'immigrés «modèles » ayant réussi professionnellement, a ému la population québécoise et suscité une vaste vague de solidarité de la part des médias et des partis d'opposition politique. La petite Rachel Barlagne souffre d'une paralysie cérébrale, un handicap léger qui ne l'empêche ni d'être scolarisée ni de pratiquer des activités extrascolaires comme l'équitation ou le piano. Toutefois, ses soins de santé, principalement de la rééducation - orthophonie, physiothérapie et ergothérapie - dépassent de plus de 3500 euros les frais médicaux annuels moyens d'un citoyen canadien. Ses parents avaient proposé de les prendre à leur charge pour obtenir le droit de rester, mais sans succès.

    Le couple Barlagne a fait valoir à plusieurs reprises par le passé qu'il avait été mal informé et mal orienté par l'ambassade du Canada à Paris. Quand, en 2004, David Barlagne avait signalé aux fonctionnaires canadiens la condition de Rachel, le handicap de sa fille n'avait jamais été soulevé comme pouvant être un motif de refus de la résidence permanente, affirme-t-il.
    Ce que vous faites de bien et de mal, vous le faites à vous
    Mahomet

  • #2
    Affaire close

    Une famille française obtient gain de cause au Canada

    Elle.fr


    C’est l’aboutissement d’un combat de trois ans. Les Barlagne, une famille française installée au Canada depuis six ans, vient d’avoir gain de cause : ils ont obtenu le droit de résidence permanente dans le pays. Ils étaient menacés d’expulsion de leur pays d’adoption car leur fille, Rachel, huit ans, atteinte de paralysie légère du cerveau, était considérée comme un « fardeau excessif » (ndlr : expression type d’un document officiel) pour la société canadienne car son traitement dépasse de 5 000 dollars par an le coût moyen des services de santé dont bénéficie un Canadien.

    « On a eu une déclaration de la ministre indiquant qu'elle s'engageait à ce que les Barlagne puissent demeurer au Québec et qu'une solution avait été trouvée avec le gouvernement fédéral. Pour le moment, on ne peut pas faire de commentaires sur la manière dont cela va se faire », a déclaré l'avocat des Barlagne, Me Stéphane Minson, selon Le Devoir. « C'est une première victoire que l'on peut dédier aux personnes souffrant d'un handicap », a confié Sophie Barlagne à Radio-Canada, avant de préciser « C'est sûr qu'on reste un peu prudents parce que tout ce combat de trois ans nous a laissés un petit peu inquiets. » Son mari estime quant à lui qu’ils peuvent désormais « se projeter dans un avenir ».
    Écrire l’Histoire, c’est foutre la pagaille dans la Géographie...

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    • #3
      le quebec est dans une mauvaise posture....ça se remarque dans leurs communication et dans leurs universités....le franaçais est entrain de ceder.....et ironie du sort pendant que les quebecois migrent vers la zone anglais, nos ministres veulent charger nos éleves par la langue amazigh...
      l'arabe avec les plus grands pays riche du monde n'a pu rien faire, coent voulez vous que l'amazigh puisse servire a quelque chose...

      ellah yahfedh et yastour

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      • #4
        l'arabe avec les plus grands pays riche
        pour moi , l'Arabie saoudite , les émirats arabes unis , le koweit et autres tetes à zero du golf , ne sont pas des pays , c'est des pays qui ont des moyens financiers ....... et les dollars qui dorment dans des comptes en banque n'a jamais fait la RICHESSE d'un pays .
        " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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