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Le Qatar, un pays du Golfe riche en gaz naturel et en pétrole, a annoncé jeudi un budget excédentaire de 22,5 milliards de riyals (6,1 milliards de dollars) pour l'exercice fiscal 2011/2012.
Dans un communiqué, le ministère des Finances prévoit des recettes record de 162,4 milliards de riyals (QAR), ou 44,5 milliards de dollars, et des dépenses de 139,9 milliards QAR (38,4 milliards de dollars), en hausse respectivement de 27% et de près de 19% par rapport à l'exercice 2010/2011.
L'exercice fiscal court du 1er avril 2011 au 31 mars 2012.
Comme pour le dernier exercice, le nouveau budget a été calculé sur la base d'un prix de 55 dollars le baril de brut, alors que les cours sur les marchés pétroliers évoluent largement au dessus de 100 dollars le baril, soutenus par la guerre en Libye.
Le Qatar table sur une croissance économique de 20% en 2011, contre 16,3% en 2010 à la faveur de l'expansion de ses capacités de production de gaz naturel et à l'augmentation des dépenses publiques, a affirmé le ministère.
Selon lui, 41% des dépenses ont été allouées à des projets d'infrastructure, dont la poursuite des travaux de construction de l'aéroport de Doha, le lancement d'un nouveau port et l'étude d'un réseau ferroviaire dans l'émirat.
Engagé dans une politique d'industrialisation liée à l'exploitation de sa richesse gazière, le Qatar devrait réaliser une série de projets d'infrastructure en prévision du Mondial de football en 2022 dont il a obtenu l'organisation, outre celle de la coupe du monde de handball en 2015.
Le Qatar, un petit pays producteur de pétrole membre de l'Opep avec un quota de quelque 800.000 barils par jour, a des réserves de gaz naturel évaluées à plus de 25.000 milliards de m3, ce qui le classe au 3e rang mondial après la Russie et l'Iran.
En décembre 2010, il a annoncé avoir porté sa capacité de production de gaz naturel liquéfié (GNL) à 77 millions de tonnes par an, confortant sa place de plus grand fournisseur de GNL au monde.
AFP.
Dans un communiqué, le ministère des Finances prévoit des recettes record de 162,4 milliards de riyals (QAR), ou 44,5 milliards de dollars, et des dépenses de 139,9 milliards QAR (38,4 milliards de dollars), en hausse respectivement de 27% et de près de 19% par rapport à l'exercice 2010/2011.
L'exercice fiscal court du 1er avril 2011 au 31 mars 2012.
Comme pour le dernier exercice, le nouveau budget a été calculé sur la base d'un prix de 55 dollars le baril de brut, alors que les cours sur les marchés pétroliers évoluent largement au dessus de 100 dollars le baril, soutenus par la guerre en Libye.
Le Qatar table sur une croissance économique de 20% en 2011, contre 16,3% en 2010 à la faveur de l'expansion de ses capacités de production de gaz naturel et à l'augmentation des dépenses publiques, a affirmé le ministère.
Selon lui, 41% des dépenses ont été allouées à des projets d'infrastructure, dont la poursuite des travaux de construction de l'aéroport de Doha, le lancement d'un nouveau port et l'étude d'un réseau ferroviaire dans l'émirat.
Engagé dans une politique d'industrialisation liée à l'exploitation de sa richesse gazière, le Qatar devrait réaliser une série de projets d'infrastructure en prévision du Mondial de football en 2022 dont il a obtenu l'organisation, outre celle de la coupe du monde de handball en 2015.
Le Qatar, un petit pays producteur de pétrole membre de l'Opep avec un quota de quelque 800.000 barils par jour, a des réserves de gaz naturel évaluées à plus de 25.000 milliards de m3, ce qui le classe au 3e rang mondial après la Russie et l'Iran.
En décembre 2010, il a annoncé avoir porté sa capacité de production de gaz naturel liquéfié (GNL) à 77 millions de tonnes par an, confortant sa place de plus grand fournisseur de GNL au monde.
AFP.
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