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«d’une solution politique» de la crise libyenne.

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  • «d’une solution politique» de la crise libyenne.

    que ce qui ce passe?, et pourquoi la diplomatie algerienne change de discoure ?, mais l'important c'est que les choses vont dans la bonne direction entre l'Algerie et le Maroc et c'est le plus important.


    «d’une solution politique» de la crise libyenne.

    Dans un entretien accordé hier à la Chaîne III de la Radio nationale, le ministre algérien des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a récusé encore une fois les accusations du Conseil de transition libyen (CNT) les qualifiant de «manœuvres dilatoires». Ces accusations répétées des rebelles libyens sur l’envoi de mercenaires algériens pour soutenir le colonel El Gueddafi seraient «basées sur des agendas qui n’ont rien à voir avec l’affaire libyenne». «Elles sont beaucoup plus anciennes que la crise en Libye, cela est très clair», a affirmé le ministre. «Nous avons, au niveau du ministère des Affaires étrangères, apporté les démentis les plus clairs à ces accusations», a encore déclaré Mourad Medelci.


    Le ministre a également réitéré à cette occasion la position de l’Algérie en faveur d’une «solution politique vis-à-vis de la crise libyenne». Cette solution, qui doit «intervenir après un cessez-le-feu», est celle qui est défendue «par l’Union africaine et que l’Algérie est en train de défendre».
    Mourad Medelci est également revenu sur l’entretien téléphonique qu’il a eu avec son homologue français Alain Juppé et le fait que celui-ci ait qualifié de «rumeurs peu crédibles» les accusations du CNT. Abordant les relations bilatérales entre les deux pays évoquées lors de cet entretien, M. Medelci a affirmé que celles-ci allaient se renforcer dans le domaine économique à travers «la mise en place d’un partenariat industriel ambitieux et équilibré».


    Concernant les relations avec le Maroc, M. Medelci n’a pas exclu l’éventualité de la réouverture des frontières terrestres entre les deux pays. Toutefois, cette question est subordonnée à la remise sur le tapis de «certaines questions sensibles, comme l’énergie et l’agriculture». «Entre l’Algérie et le Maroc, il n’y a pas de problèmes. L’Algérie reste ainsi ouverte à une coopération largement accessible à tous et qui consolide les puissants liens de fraternité entre les deux pays», a affirmé M. Medelci. Selon lui, le président Bouteflika aurait envoyé un message clair au voisin marocain à l’occasion de l’inauguration de la manifestation «Tlemcen, capitale islamique» le 17 avril en évoquant des possibilités de coopération avec le Maroc.

    M. Medelci a également, au cours de cet entretien, tenté de minimiser les critiques du dernier rapport du département d’Etat américain sur les droits de l’homme ainsi que la portée des critiques du rapporteur de l’ONU qui a séjourné dernièrement en Algérie.

    Djamel Alilat

    el watan.

  • #2
    d’une solution politique» de la crise libyenne.
    une solution avec KADDAFI ,president à vie ,c'est ce que l'algerie veut imposer aux lybiens
    ces derniers ont compris ,et ont repondu NIET

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