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Antoine WATTEAU

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  • Antoine WATTEAU

    Je rend hommage à Antoine WATTEAU ce peintre Françait de talent...
    "C'est grâce à lui que j'ai appri à reproduire les soies"


  • #2
    Ah WATTEAU et son fameux Pierrot.............

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    • #3
      Salam...



      Jean Antoine Watteau (ou Wateau), né à Valenciennes le 10 octobre 1684 et mort à Nogent-sur-Marne le 18 juillet 1721, est un peintre français.

      Il est un des premiers représentants du mouvement rococo. Inspiré par la commedia dell'Arte, il aime à représenter le théâtre dans ses tableaux, que ce soit à travers les rideaux lourds ou les thèmes. Ses tableaux les plus célèbres sont un Pierrot (anciennement intitulé Gilles) et ses deux Pèlerinages à l'île de Cythère.

      Une des principales sources de renseignements sur sa vie est la biographie rédigée par son ami le comte de Caylus.
      wikipedia


      Jean Antoine..., le "Pierrot" est de retour, pour qui l'entend ou le voit...




      ...Salam, merci...
      Dernière modification par nedjmala, 26 avril 2011, 11h48.
      ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

      Commentaire


      • #4
        Nedjmala

        Je connais WATTEAU et son parcours.............

        Pourquoi poster des liens wiki?

        Commentaire


        • #5
          L'un de mes peintres favoris avec Fragonard...Merci pour le partage ;-)

          Commentaire


          • #6
            L'oeuvre que j'apprecie le plus est "Embarquement pour Cythère"




            Je l'accompagne biensure de Verlaine
            et ses Fêtes Galantes

            'Cythère

            Un pavillon à claires-voies
            Abrite doucement nos joies
            Qu'éventent des rosiers amis ;

            L'odeur des roses, faible,
            grâce Au vent léger d'été qui passe,
            Se mêle aux parfums qu'elle a mis ;

            Comme ses yeux l'avaient promis,
            Son courage est grand et sa lèvre
            Communique une exquise fièvre ;

            Et l'Amour comblant tout, hormis
            La faim, sorbets et confitures
            Nous préservent des courbatures.

            VERLAINE (Fêtes galantes)**

            Commentaire


            • #7
              Mehdi:
              Nedjmala, a tout simplement voulu rendre service et donner les informations essentielles lorsqu'on rend hommage à un artiste....

              Nejmala:
              Merci pour le petit résumé!

              Dandy:

              Mais je t'en prie cher ami!

              Commentaire


              • #8
                Celle que j'aime aussi beaucoup est sa dernière oeuvre: "L'enseigne de Gersaint" qui sortait vraiment de son côté pastoral....

                Merci du partage Anissa...oeuvre exquise formidablement accompagnée par Verlaine, du pur bonheur......

                Commentaire


                • #9
                  Mehdi

                  Oh tout le plaisir est pour moi!

                  Commentaire


                  • #10
                    VERLAINE Citation; "L'odeur des roses, faible,
                    grâce Au vent léger d'été qui passe,
                    Se mêle aux parfums qu'elle a mis "

                    Un vent de paradis................

                    Ceci dit WATTEAU fut à mon sens un poète surdoué............

                    Commentaire


                    • #11
                      En parlant de Cythère Baudelaire écrivit aussi:

                      Un voyage à Cythère

                      Mon coeur, comme un oiseau, voltigeait tout joyeux
                      Et planait librement à l'entour des cordages ;
                      Le navire roulait sous un ciel sans nuages,
                      Comme un ange enivré d'un soleil radieux.

                      Quelle est cette île triste et noire ? - C'est Cythère,
                      Nous dit-on, un pays fameux dans les chansons,
                      Eldorado banal de tous les vieux garçons.
                      Regardez, après tout, c'est une pauvre terre.

                      - Ile des doux secrets et des fêtes du coeur !
                      De l'antique Vénus le superbe fantôme
                      Au-dessus de tes mers plane comme un arôme,
                      Et charge les esprits d'amour et de langueur.

                      Belle île aux myrtes verts, pleine de fleurs écloses,
                      Vénérée à jamais par toute nation,
                      Où les soupirs des coeurs en adoration
                      Roulent comme l'encens sur un jardin de roses

                      Ou le roucoulement éternel d'un ramier !
                      - Cythère n'était plus qu'un terrain des plus maigres,
                      Un désert rocailleux troublé par des cris aigres.
                      J'entrevoyais pourtant un objet singulier !

                      Ce n'était pas un temple aux ombres bocagères,
                      Où la jeune prêtresse, amoureuse des fleurs,
                      Allait, le corps brûlé de secrètes chaleurs,
                      Entre-bâillant sa robe aux brises passagères ;

                      Mais voilà qu'en rasant la côte d'assez près
                      Pour troubler les oiseaux avec nos voiles blanches,
                      Nous vîmes que c'était un gibet à trois branches,
                      Du ciel se détachant en noir, comme un cyprès.

                      De féroces oiseaux perchés sur leur pâture
                      Détruisaient avec rage un pendu déjà mûr,
                      Chacun plantant, comme un outil, son bec impur
                      Dans tous les coins saignants de cette pourriture ;

                      Les yeux étaient deux trous, et du ventre effondré
                      Les intestins pesants lui coulaient sur les cuisses,
                      Et ses bourreaux, gorgés de hideuses délices,
                      L'avaient à coups de bec absolument châtré.

                      Sous les pieds, un troupeau de jaloux quadrupèdes,
                      Le museau relevé, tournoyait et rôdait ;
                      Une plus grande bête au milieu s'agitait
                      Comme un exécuteur entouré de ses aides.

                      Habitant de Cythère, enfant d'un ciel si beau,
                      Silencieusement tu souffrais ces insultes
                      En expiation de tes infâmes cultes
                      Et des péchés qui t'ont interdit le tombeau.

                      Ridicule pendu, tes douleurs sont les miennes !
                      Je sentis, à l'aspect de tes membres flottants,
                      Comme un vomissement, remonter vers mes dents
                      Le long fleuve de fiel des douleurs anciennes ;

                      Devant toi, pauvre diable au souvenir si cher,
                      J'ai senti tous les becs et toutes les mâchoires
                      Des corbeaux lancinants et des panthères noires
                      Qui jadis aimaient tant à triturer ma chair.

                      - Le ciel était charmant, la mer était unie ;
                      Pour moi tout était noir et sanglant désormais,
                      Hélas ! et j'avais, comme en un suaire épais,
                      Le coeur enseveli dans cette allégorie.

                      Dans ton île, ô Vénus ! je n'ai trouvé debout
                      Qu'un gibet symbolique où pendait mon image...
                      - Ah ! Seigneur ! donnez-moi la force et le courage
                      De contempler mon coeur et mon corps sans dégoût !


                      Baudelaire

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                      • #12
                        entre...

                        des nuances et des différences, à valeurs peintes ou à sens d'hommages, relisez, à part ce que Vous savez(sans valeur péjorative)

                        Nedjmala
                        Je connais WATTEAU et son parcours.............
                        et, en valeur partagée, re-relisez...

                        Jean Antoine..., le "Pierrot" est de retour, pour qui l'entend ou le voit...
                        aussi, il se crée quelques jours en sa Vie...

                        En 1709, il fut reçu second au prix de Rome. Trois ans plus tard, en 1712, il postula de nouveau. Cette fois-ci, son œuvre fut jugée d’une si grande qualité qu’il fut accepté comme membre de plein droit de l’Académie. Mais ce ne fut qu’en 1717, après cinq années de travaux, qu’il présenta son morceau de réception, le fameux Pèlerinage à l’île de Cythère. L’Académie créa un genre spécialement pour lui : la « fête galante ».

                        donc, connaître jamais ne dépasse pourquoi en tout et bon parcours, qu'est-il donc à créer de ces jours ci, avec ou sans pinceau...

                        ...Salam, merci...
                        ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                        • #13
                          Nedjmala

                          Toujours aussi.........comment dire..........poétique....

                          Commentaire


                          • #14
                            pas plus ni moins que...

                            " L’erreur devient vérité parce qu’elle se propage et se multiplie.
                            La vérité devient erreur parce que nul ne la voit."Gandhi
                            Salam, merci...
                            ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                            • #15
                              Et pourtant........

                              Je confirme mes propos cités plus haut.........

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