la justice sera la deuxième révolution de Bouteflika
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Par : M. Brahim Le : vendredi 28 avril 2006
Le regard que portent aujourd’hui les citoyens à l’endroit de la justice de leur pays est empreint de confiance considérant que cette institution, en garantissant la suprématie de la loi, en s’érigeant en rempart contre l’arbitraire et les abus, participe à la consolidation de la paix et de la sécurité. Les citoyens ont eu le loisir de constater qu’il n’y a ni hogra ni impunité. La justice dans son fonctionnement suit son cours avec sérénité. Le verdict est rendu en fonction de l’examen des faits, de ce que prescrit la loi. Le rang social ou les relations dont jouissent les protagonistes du procès ne peuvent avoir une quelconque influence.
Les différentes voies de recours (appel, cour suprême) se déroulent dans les délais normaux et quand la décision finale a acquis l’autorité de la chose jugée, la pratique, qui a eu longtemps cours, de manœuvres dilatoires, pour retarder ou empêcher l’exécution de la décision de justice, est vouée à l’échec. Bien des choses ont changé dans la pratique de la justice qui a fait beaucoup de chemin dans la reconquête de son efficacité et de sa crédibilité. En initiant le chantier de la réforme de la justice dès son arrivée aux affaires, le Président de la République a œuvré avec conviction et détermination à redonner toute sa force et son aura à la justice. Le premier magistrat du pays était convaincu que, sans une justice jouissant pleinement de ses attributions, il serait utopique de prétendre instaurer l’Etat de droit et les maux qui rongent la société et qui ont pour nom corruption, népotisme, passe-droits continueront à sévir.
C’est une œuvre colossale et de longue haleine qui a commencé. Pour cette deuxième révolution qui a été mise en marche, l’Etat n’a pas lésiné sur les moyens mais surtout il faut savoir gré à tous ceux qui se sont investis dans cette noble tâche de participer au renouveau de la justice d’avoir agi avec méthode et rigueur, bannissant toute improvisation. Il était clair que le défi de la qualité et la réhabilitation de la justice ne pouvaient réussir sans la participation des professionnels qu’il s’agisse du magistrats ou des partenaires de la justice : avocats, notaires, huissiers, experts.
Conscients qu’il en va de leur dignité et que l’enjeu concerne la refondation de la société sur des bases solides, les acteurs s’impliquent activement dans la dynamique de renouveau.
Cela est visible dans le travail accompli par les différents conseils de l’ordre, bâtonnat, en matière de concertation, promotion de l’éthique et de la déontologie, actions de formation, participation à la refonte des textes, des statuts, etc. A l’heure de la modernisation, la mise à niveau interpelle tout un chacun car non seulement l’équilibre et la cohésion de la société sont en jeu mais aussi les intérêts économiques de l’Algérie.
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Par : M. Brahim Le : vendredi 28 avril 2006
Le regard que portent aujourd’hui les citoyens à l’endroit de la justice de leur pays est empreint de confiance considérant que cette institution, en garantissant la suprématie de la loi, en s’érigeant en rempart contre l’arbitraire et les abus, participe à la consolidation de la paix et de la sécurité. Les citoyens ont eu le loisir de constater qu’il n’y a ni hogra ni impunité. La justice dans son fonctionnement suit son cours avec sérénité. Le verdict est rendu en fonction de l’examen des faits, de ce que prescrit la loi. Le rang social ou les relations dont jouissent les protagonistes du procès ne peuvent avoir une quelconque influence.
Les différentes voies de recours (appel, cour suprême) se déroulent dans les délais normaux et quand la décision finale a acquis l’autorité de la chose jugée, la pratique, qui a eu longtemps cours, de manœuvres dilatoires, pour retarder ou empêcher l’exécution de la décision de justice, est vouée à l’échec. Bien des choses ont changé dans la pratique de la justice qui a fait beaucoup de chemin dans la reconquête de son efficacité et de sa crédibilité. En initiant le chantier de la réforme de la justice dès son arrivée aux affaires, le Président de la République a œuvré avec conviction et détermination à redonner toute sa force et son aura à la justice. Le premier magistrat du pays était convaincu que, sans une justice jouissant pleinement de ses attributions, il serait utopique de prétendre instaurer l’Etat de droit et les maux qui rongent la société et qui ont pour nom corruption, népotisme, passe-droits continueront à sévir.
C’est une œuvre colossale et de longue haleine qui a commencé. Pour cette deuxième révolution qui a été mise en marche, l’Etat n’a pas lésiné sur les moyens mais surtout il faut savoir gré à tous ceux qui se sont investis dans cette noble tâche de participer au renouveau de la justice d’avoir agi avec méthode et rigueur, bannissant toute improvisation. Il était clair que le défi de la qualité et la réhabilitation de la justice ne pouvaient réussir sans la participation des professionnels qu’il s’agisse du magistrats ou des partenaires de la justice : avocats, notaires, huissiers, experts.
Conscients qu’il en va de leur dignité et que l’enjeu concerne la refondation de la société sur des bases solides, les acteurs s’impliquent activement dans la dynamique de renouveau.
Cela est visible dans le travail accompli par les différents conseils de l’ordre, bâtonnat, en matière de concertation, promotion de l’éthique et de la déontologie, actions de formation, participation à la refonte des textes, des statuts, etc. A l’heure de la modernisation, la mise à niveau interpelle tout un chacun car non seulement l’équilibre et la cohésion de la société sont en jeu mais aussi les intérêts économiques de l’Algérie.
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