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A l’APC de Sidi M’Hamed, les sanctions continuent de pleuvoir sur les fonctionnaires coupables de vouloir entreprendre une action de protestation. Deux employés ont été suspendus de leurs fonctions aujourd’hui dimanche selon Riadh Mecheri, secrétaire général de la section syndicale SNAPAP (syndicat national autonome des personnels de l’administration publique).
Cette mesure fait suite à la tentative d’organiser un sit-in devant le siège de l’APC pour revendiquer le droit à l’activité syndicale et exiger la réintégration des employés écartés pour avoir participé à une action menée par le SNAPAP. Dans un communiqué rendu public, le SNAPAP dénonce ce qu’il appelle «une politique d’intimidation».
Il faut rappeler que ces nouvelles sanctions s’ajoutent à celles prises contre cinq autres employés qui avaient participé à la grève et au sit-in organisés par le SNAPAP la semaine dernière.
Deux d’entre eux ont été réintégrés après avoir présenté leur démission de la section syndicale SNAPAP, comme souhaité par le P/APC Mokhatar Bourouina. Mais le SNAPAP qui y voit une atteinte «évidente» au droit syndical, ne baisse pas les bras. Pour ce faire, un rassemblement devrait se tenir mercredi devant la mairie de Sidi M’hamed pour exiger la réintégration des employés.
ALGERIE+
Cette mesure fait suite à la tentative d’organiser un sit-in devant le siège de l’APC pour revendiquer le droit à l’activité syndicale et exiger la réintégration des employés écartés pour avoir participé à une action menée par le SNAPAP. Dans un communiqué rendu public, le SNAPAP dénonce ce qu’il appelle «une politique d’intimidation».
Il faut rappeler que ces nouvelles sanctions s’ajoutent à celles prises contre cinq autres employés qui avaient participé à la grève et au sit-in organisés par le SNAPAP la semaine dernière.
Deux d’entre eux ont été réintégrés après avoir présenté leur démission de la section syndicale SNAPAP, comme souhaité par le P/APC Mokhatar Bourouina. Mais le SNAPAP qui y voit une atteinte «évidente» au droit syndical, ne baisse pas les bras. Pour ce faire, un rassemblement devrait se tenir mercredi devant la mairie de Sidi M’hamed pour exiger la réintégration des employés.
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