Le fait même que certaines officines commencent à distiller des détails sordides sur l’assassinat du militant Ahmed Kerroumi, rend urgentes les réponses à quelques questions :
Enlevé le Mardi 19 Avril, Ahmed Kerroumi sera retrouvé mort le samedi 23 Avril.
Son téléphone mobile continuait d’émettre sa position 48 heures après son enlèvement, sans que cela ait permis à des services, pourtant sur-équipés pour réaliser des écoutes et des localisations, de le situer.
Le témoignage de son camarade qui l’a découvert, Samedi 23 Avril, atteste qu’il ne s'en dégageait aucune odeur de décomposition. Ce qui met à mal la thèse de l’assassinat crapuleux, et donne tout son crédit à la thèse largement rapportée par les médias : celle d’un enlèvement suivi d’un assassinat.
La vérité est à portée de bras, si la volonté de d’œuvrer à sa manifestation existe.
Enlevé le Mardi 19 Avril, Ahmed Kerroumi sera retrouvé mort le samedi 23 Avril.
Son téléphone mobile continuait d’émettre sa position 48 heures après son enlèvement, sans que cela ait permis à des services, pourtant sur-équipés pour réaliser des écoutes et des localisations, de le situer.
- Le gsm d’Ahmed Kerroumi a-t-il été retrouvé sur le corps du défunt ?
- Si tel n’est pas le cas, le défunt l’aurait-il laissé tomber dans son véhicule pour se rendre traçable ?
- Les autorités judiciaires ont-elles ordonné la localisation de ce gsm ; et Si oui, à quel moment l’ont-elles fait et quels ont été les résultats de l’investigation ?
- Durant ces 48 heures, la position du téléphone a-t-elle été statique, ou bien a-t-elle changée ?
- La localisation du signal du gsm dans un lieu institutionnel dissuasif pour l’investigation expliquerait-il les lenteurs des recherches?
Le témoignage de son camarade qui l’a découvert, Samedi 23 Avril, atteste qu’il ne s'en dégageait aucune odeur de décomposition. Ce qui met à mal la thèse de l’assassinat crapuleux, et donne tout son crédit à la thèse largement rapportée par les médias : celle d’un enlèvement suivi d’un assassinat.
- Kerroumi a-t-il été assassiné au siège de la fédération de son parti ? Ou bien son corps n’y a été que déposé ?
- A quelle date l’autopsie situe-t-elle la mort de Kerroumi ?
- Le corps de Kerroumi portait-il des traces de torture ?
- Si des liquides vitaux ont été trouvé sur son corps, ou sur des objets, des tests ADN établissent-ils qu’ils lui appartiennent, ou au contraire démontrent-ils qu’il y a eu mise en scène pour maquiller une liquidation politico-mafieuse en crime crapuleux ?
La vérité est à portée de bras, si la volonté de d’œuvrer à sa manifestation existe.
Commentaire