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Selon un document publié par le site WikiLeaks, cette mosquée est considérée par les Etats-Unis comme un centre de recrutement d'Al-Qaïda. En Europe, d'autres mosquées sont visées.
La Grande mosquée de Lyon, centre de recrutement d'Al-Qaïda en Europe ? Les Etats-Unis semblent prendre cette possibilité au sérieux, si l'on en croit la liste du Pentagone que WikiLeaks vient de publier. Selon ce document, une dizaine de mosquées et centres islamiques dans le monde ont été utilisés par Al-Qaïda pour recruter, aider et entraîner ses militants.
Deux centres à Londres
Le responsable a demandé à être reçu par l'ambassadeur des Etats-Unis "car il entend lui dire de vive voix qu'il est inadmissible de porter des soupçons aussi graves et destructeurs sur la mosquée, ses responsables et ses fidèles". "C'est donc le monde à l'envers que de voir l'administration américaine s'engager dans de telles analyses à partir se son expérience de Guantanamo", a-t-il conclu.
La liste, qui devait aider les enquêteurs américains dans leurs interrogatoires des détenus de Guantanamo, cite, outre la Grande mosquée lyonnaise, la mosquée Al-Sunna à Montréal, l'Université Islamique Abu Bakr et la mosquée Makki à Karachi, la mosquée Al-Khair de Sanaa et l'Institut Dimaj de Saada au Yémen, la mosquée de Finsbury Park et un local loué au club de jeunes Four Feathers, près de Baker Street, à Londres, celle de l'Institut culturel islamique de Milan et enfin la mosquée Wazir Akbar Khan à Kaboul.
TF1
La Grande mosquée de Lyon, centre de recrutement d'Al-Qaïda en Europe ? Les Etats-Unis semblent prendre cette possibilité au sérieux, si l'on en croit la liste du Pentagone que WikiLeaks vient de publier. Selon ce document, une dizaine de mosquées et centres islamiques dans le monde ont été utilisés par Al-Qaïda pour recruter, aider et entraîner ses militants.
Deux centres à Londres
Le responsable a demandé à être reçu par l'ambassadeur des Etats-Unis "car il entend lui dire de vive voix qu'il est inadmissible de porter des soupçons aussi graves et destructeurs sur la mosquée, ses responsables et ses fidèles". "C'est donc le monde à l'envers que de voir l'administration américaine s'engager dans de telles analyses à partir se son expérience de Guantanamo", a-t-il conclu.
La liste, qui devait aider les enquêteurs américains dans leurs interrogatoires des détenus de Guantanamo, cite, outre la Grande mosquée lyonnaise, la mosquée Al-Sunna à Montréal, l'Université Islamique Abu Bakr et la mosquée Makki à Karachi, la mosquée Al-Khair de Sanaa et l'Institut Dimaj de Saada au Yémen, la mosquée de Finsbury Park et un local loué au club de jeunes Four Feathers, près de Baker Street, à Londres, celle de l'Institut culturel islamique de Milan et enfin la mosquée Wazir Akbar Khan à Kaboul.
TF1
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