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Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a juré samedi qu'il ne quitterait pas la Libye. "Je ne quitterai pas mon pays", a-t-il lancé lors d'un discours télévisé, avant d'ajouter : "Personne ne peut me contraindre à quitter mon pays".
Il a aussi appelé à négocier avec les puissances de l'Otan pour mettre fin aux raids aériens contre la Libye.
"Nous ne les avons pas attaqués... pourquoi nous ont-ils attaqué ?" s'est interrogé M. Kadhafi.
"Nous sommes prêts à négocier avec vous, les pays qui nous attaquent", a-t-il ajouté.
Tandis que le dirigeant libyen était en train d'appeler à un cessez-le-feu, les avions de l'Otan ont bombardé un site à Tripoli proche du bâtiment de la télévision, d'où il donnait un discours.
"Un bâtiment adjacent à l'immeuble Jamahiriya a fait l'objet de bombardements lors de la diffusion du discours de Mouammar Kadhafi, qui pourrait avoir été lui-même la cible", a rapporté la télévision après que leader libyen eut terminé son discours.
Un responsable a lui aussi déclaré que les raids aériens visaient à tuer Kadhafi.
"Nous estimons que la cible était le dirigeant", a dit le porte-parole du gouvernement Moussa Ibrahim.
CRI
Il a aussi appelé à négocier avec les puissances de l'Otan pour mettre fin aux raids aériens contre la Libye.
"Nous ne les avons pas attaqués... pourquoi nous ont-ils attaqué ?" s'est interrogé M. Kadhafi.
"Nous sommes prêts à négocier avec vous, les pays qui nous attaquent", a-t-il ajouté.
Tandis que le dirigeant libyen était en train d'appeler à un cessez-le-feu, les avions de l'Otan ont bombardé un site à Tripoli proche du bâtiment de la télévision, d'où il donnait un discours.
"Un bâtiment adjacent à l'immeuble Jamahiriya a fait l'objet de bombardements lors de la diffusion du discours de Mouammar Kadhafi, qui pourrait avoir été lui-même la cible", a rapporté la télévision après que leader libyen eut terminé son discours.
Un responsable a lui aussi déclaré que les raids aériens visaient à tuer Kadhafi.
"Nous estimons que la cible était le dirigeant", a dit le porte-parole du gouvernement Moussa Ibrahim.
CRI
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