INFO E1 - Le bilan de l'attentat de la place Jamâa El-Fna jeudi s'est alourdi côté français.
Le bilan français de l'attentat qui a visé un café à Marrakech jeudi dernier s'est alourdi. Selon les informations d'Europe 1, recueillies auprès d'une source officielle au Maroc, un huitième Français a été identifié parmi les seize victimes. Sept Français sont toujours hospitalisés au Maroc et un autre est en cours de rapatriement.
Le ministre marocain de l’Intérieur, Taieb Cherkaoui, avait indiqué vendredi qu'outre les victimes françaises figuraient "deux Canadiens, deux Marocains, un Hollandais et un Anglais" parmi les corps identifiées.
"Rien ne permet d'affirmer" que la France était visée
Interrogée par le Journal du Dimanche, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a affirmé que "rien ne permet d'affirmer" que la France était visée par l'attentat de Marrakech jeudi. Il estime tout de même que les probabilités de toucher des Français étaient fortes compte tenu du lieu : "Cela étant, c'est vrai que ce café (où a eu lieu l'attentat, ndlr) est un haut lieu touristique et, vu l'engouement des Français pour Marrakech, il y avait une forte probabilité que des Français soient touchés", ajoute-t-il.
Claude Guéant estime en outre qu'"il faut attendre la revendication" pour savoir si Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a organisé l'attentat qui, dit-il, lui "rappelle" ceux de 1995 à Paris.
Al-Qaïda pointé du doigt
Le ministre de l’Intérieur marocain a par ailleurs indiqué vendredi que les procédés employés pour cet attentat rappelaient ceux d’Al-Qaïda.
"L'hypothèse du kamikaze", avancée dans un premier temps, "est exclue", a-t-il encore ajouté. "Les premières enquêtes ont montré que (la bombe était composée) de nitrate d'ammonium et d'explosifs TATP, ainsi que de clous, et que l'explosion a été déclenchée à distance", a-t-il déclaré.
Le bilan français de l'attentat qui a visé un café à Marrakech jeudi dernier s'est alourdi. Selon les informations d'Europe 1, recueillies auprès d'une source officielle au Maroc, un huitième Français a été identifié parmi les seize victimes. Sept Français sont toujours hospitalisés au Maroc et un autre est en cours de rapatriement.
Le ministre marocain de l’Intérieur, Taieb Cherkaoui, avait indiqué vendredi qu'outre les victimes françaises figuraient "deux Canadiens, deux Marocains, un Hollandais et un Anglais" parmi les corps identifiées.
"Rien ne permet d'affirmer" que la France était visée
Interrogée par le Journal du Dimanche, le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a affirmé que "rien ne permet d'affirmer" que la France était visée par l'attentat de Marrakech jeudi. Il estime tout de même que les probabilités de toucher des Français étaient fortes compte tenu du lieu : "Cela étant, c'est vrai que ce café (où a eu lieu l'attentat, ndlr) est un haut lieu touristique et, vu l'engouement des Français pour Marrakech, il y avait une forte probabilité que des Français soient touchés", ajoute-t-il.
Claude Guéant estime en outre qu'"il faut attendre la revendication" pour savoir si Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a organisé l'attentat qui, dit-il, lui "rappelle" ceux de 1995 à Paris.
Al-Qaïda pointé du doigt
Le ministre de l’Intérieur marocain a par ailleurs indiqué vendredi que les procédés employés pour cet attentat rappelaient ceux d’Al-Qaïda.
"L'hypothèse du kamikaze", avancée dans un premier temps, "est exclue", a-t-il encore ajouté. "Les premières enquêtes ont montré que (la bombe était composée) de nitrate d'ammonium et d'explosifs TATP, ainsi que de clous, et que l'explosion a été déclenchée à distance", a-t-il déclaré.
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