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sahara le futur potager de l'algérie

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  • sahara le futur potager de l'algérie

    L’agriculture saharienne n’est plus au stade de projet. C’est une réalité tangible. Aujourd’hui, plusieurs régions du pays sont approvisionnées en fruits et légumes depuis Biskra, Ouargla, Adrar et Laghouat.

    L’autosuffisance alimentaire constitue l’un des principaux objectifs de la politique agricole tracés par notre pays pour les prochaines années. Mais cela «ne sera pas facile à réaliser». Et pour cause : la terre, l’eau et la main-d’œuvre, entre autres, posent problème au niveau des régions à fort potentiel agricole.

    Que faudra-t-il alors faire pour mettre fin à notre dépendance vis-à-vis de l’Europe en matière de produits agricoles ? Pour Mustapha Chaouch, directeur de Krizalid Communication, qui organise le Salon de l’agriculture saharienne et steppique (Sud’Agral), la solution consiste à encourager l’agriculture dans le Sud.

    «Le Sahara est l’avenir de l’Algérie», dit-il avec beaucoup de conviction. De son avis, toutes les conditions d’une agriculture performante sont réunies dans cette région du pays : «Il y a la terre, l’eau et la lumière, soit les trois éléments essentiels à toute culture.» De son avis, l’agriculture saharienne a «tout naturellement» connu un boom extraordinaire, ces dernières années. «A Biskra par exemple, il y a d’immenses surfaces qui sont cultivées», a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse qu’il a animée à l’effet de présenter la 6e édition de Sud’Agral.

    L’agriculture saharienne n’est plus au stade de projet, mais c’est une réalité tangible. Les projets d’investissement lancés jusque-là ont donné de très bons résultats et, aujourd’hui, plusieurs régions du pays sont approvisionnées en fruits et légumes à partir de Biskra, Ouargla, Adrar et Laghouat entre autres, notamment en hiver.

    Pour Mohammed Selles, président du comité d’organisation de Sud’Agral-2010, le Nord ne produit plus. «Où est la Mitidja ? Où sont les vallées d’Oran et d’Annaba ?», s’interroge-t-il.
    Par ailleurs, il soulignera que la plupart des produits agricoles que l’on consomme aujourd’hui proviennent du Sahara.
    «Quand on se rend au marché, on y trouve tous les légumes à n’importe quelle période de l’année. Ce qui n’était pas le cas dans le passé. C’est le fruit de l’agriculture saharienne», explique-t-il.

    Un «bond qualitatif» dans les années à venir

    Dans une allocution prononcée au cours du séminaire national sur l'eau dans l'agriculture saharienne organisé en mai 2010 à El-Oued, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a indiqué que l'agriculture saharienne connaîtra dans les années à venir «un bond qualitatif au regard des efforts consentis par l'Etat dans ce cadre». Selon M. Benaïssa, il est question de consacrer quelque 300 000 hectares de terres agricoles dans le Sud à la céréaliculture. «C’est l’un des objectifs que nous nous sommes fixés», a-t-il précisé
    Inforsoir.

    Toutes les cultures réussissent au Sahara

    D’aucuns estiment que les fruits et légumes produits au Sahara, à l’instar de la pomme de terre d’El-Oued et de l’orange d’El-Ménéa, dans la wilaya de Ghardaïa, sont de très bonne qualité.

    L’agriculture saharienne ne manque pas d’atouts. Il faut dire que le Sud regorge de surfaces agricoles qui ne demandent qu’à être exploitées. Aussi le sol dans cette région du pays est-il riche en oligo-éléments, ces éléments minéraux purs nécessaires à la vie de tout organisme, mais aussi en ressources hydrauliques. «Contrairement à certaines idées reçues, il y a plus d’eau dans le Sahara que dans le Nord», précise M. Chaouch.

    Selon M. Selles, ces ressources sont à même de subvenir à tous les besoins d’une agriculture performante pour peu qu’elles soient utilisées de façon rationnelle. Autre atout de l’agriculture saharienne : l’énergie solaire dont le potentiel est énorme. Sur un autre plan, d’aucuns estiment que les fruits et légumes produits au Sahara, à l’instar de la pomme de terre d’El-Oued et de l’orange d’El-Ménéa, dans la wilaya de Ghardaïa, sont de très bonne qualité. «Ce sont des produits qui ont un goût à part, que l’on ne retrouve nulle part ailleurs», commente le président du comité d’organisation de Sud’Agral-2010.

    «Ils sont très appréciés ailleurs en plus», ajoute-t-il, non sans rappeler l’expérience d’un opérateur privé qui a exporté de la courgette en France en 2005 au prix de… 9 euros le kilo !

    «Cela donne une idée sur les profits que l’on peut faire dans l’agriculture saharienne. Malheureusement, nous ne savons pas exporter», regrette cet ancien cadre du ministère de l’Agriculture. Selon lui, le rendement de la terre au Sahara est, de très loin, supérieur à celui des terres du Nord. Pour les céréales par exemple, au Sud, le rendement est de 70 quintaux à l’hectare contre 4 à 12 quintaux à l’hectare dans le Nord. S’agissant de la pomme de terre, l’écart est encore plus frappant : 400 quintaux à l’hectare pour les régions du Sud contre 120 uniquement pour celles du Nord.»
    Il y a lieu de noter également le succès de l’expérience de plantation d’oliviers à El-Oued où une récolte de 9 472 quintaux d'olives a été enregistrée au titre de la saison agricole 2009/2010, selon des statistiques de la Direction locale des services agricoles (DSA).

    A ces atouts naturels viennent s’ajouter les avantages accordés par l’Etat aux investisseurs dans le cadre des différents programmes de développement…
    Infosoir

  • #2
    l'egypte dans son sahara produit des pommes de terres et autres légumes avec de hauts rendements et exporte des millions d'euros vers toute l'europe.

    l'algerie toute proche de l'europe a un sacré potentiel mais bon...

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    • #3
      Agriculture : Irrigation de 1.600.000 ha d’ici à 2014


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      Jeudi 31 mars à 8:53



      L’irrigation de 1.600.000 hectares de terres d’ici à l’horizon 2014 est l’objectif fixé au niveau national, a annoncé, hier à Aïn Temouchent, le chargé du programme de développement des cultures irriguées au ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), Larbi Kiyous.Cet objectif pourra être atteint grâce à l’exploitation des ressources hydriques à l’abandon et l’utilisation d’équipements économiseurs d’eau, dont le recours au système du goutte à goutte, a-t-il indiqué à l’occasion d’une rencontre régionale sur l’économie de l’eau.
      Ces techniques permettent non seulement une utilisation rationnelle de l’eau, mais contribuent également à l’augmentation sensible des productions agricoles, notamment pour les grandes cultures, a-t-il ajouté.
      S’agissant particulièrement de dernier point, il a cité les productions record de céréales réalisées durant la campagne écoulée grâce à la pluviosité et à l’utilisation du système d’irrigation par aspersion. Celui-ci irrigue d’une manière adéquate et permanente les céréales, contribuant ainsi à leur poussée normale et harmonieuse, a-t-il expliqué.
      Ces systèmes permettront également d’améliorer les rendements à l’hectare, notamment pour les céréales, a-t-il encore affirmé devant les représentants des secteurs de l’agriculture et de l’hydraulique de onze wilayas de l’ouest du pays. Une bonne utilisation de ces moyens modernes peut, selon lui, assurer un rendement céréalier de 50 à 60 quintaux à l’hectare. S’insérant dans le cadre du programme spécifique de l’économie de l’eau élaboré par le MADR en matière de renouveau agricole et rural, cet objectif exige un effort particulier des intervenants du secteur, a-t-il rappelé en signalant que les superficies irriguées par le système gravitaire passeront de 900.000 hectares au titre de la campagne agricole 2009-2010 à 974.000 ha cette saison.
      Outre la mise en place d’un comité national et de comités régionaux et locaux pour le suivi et l’évaluation du programme de développement des techniques d’irrigation, un programme d’accompagnement technique est élaboré pour assister l’exécution de ce plan d’action, a-t-il ajouté.
      La wilaya de Aïn Temouchent a procédé, selon le responsable locale de l’agriculture (DSA), à l’irrigation d’une superficie de 172 ha de céréales au premier trimestre 2011, son objectif annuel étant fixé à 900 ha.

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      • #4
        si on arrive a faire 50 qtx par hectare en céréales ca nous donnera 50x3 millions hectares= 150 millions de qtx soit presque le double de notre consommation ! sur long terme c'est possible mai la population va augmenter aussi.
        quand on sera 60 millions, on consommera environ 150 millions qtx !

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        • #5
          l'egypte dans son sahara produit des pommes de terres et autres légumes avec de hauts rendements et exporte des millions d'euros vers toute l'europe.
          l'algerie toute proche de l'europe a un sacré potentiel mais bon...
          oui , mes Egypte a le Nil , alors que Algérie non , pour acheminée l'eau , il faudrait une coopération entre pays , pour Algérie ces la Mauritanie , et le propriétaire du Sahara occidental donc le Maroc , mes inchallah sa arrivera le jour ou ont mettra a nos tête des personnes qui ont une minimum de neurone

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          • #6
            mab2roc non pas besoin de la mauritanie. tu parles de dessalement ?

            l'algerie possede une des plus grandes nappe d'eau souterraine au monde. équivalente a 400 ans de débit du nil ! c'est de l'eau douce surtout.c'est d'elle que tamanrasset recoit maintenant son eau h24.

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            • #7
              on sera 60 millions, on consommera environ 150 millions qtx
              ! la population Algérienne devrait commencer a baisser en 2030 celle de la tunisie en 2020

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              • #8
                non magh, car on a un stock d'enfants et jeunes adultes qui représentent la moitié des 36 millions d'algeriens.

                la tunisie est plus avancée niveau démographie, proche des taux européens.

                pour moi c'est la faute la plus grave qu'a fait boumedienne dans les années 60/70. au lieu de limiter les naissances, on l'a encouragé pour faire de l'algerie un pays peuplé et qui compte mais on a pas songé a dévelloper tous les services qui vont avec cette augmentation.

                il a fallu attendre les années 2000 pour enfin s'occuper de l'agriculture par ex. l'eau idem !:22: soit c'est de la débilité ,soit de l'incompétence.je sais pas.

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                • #9
                  on a plus de 2 enfants par femme et en 2017 on va dépasser les 40 millions vu que l'algerie croit de 600 000 a 700 000 par an.

                  55 millions vers 2050

                  on va stabiliser vers 65 millions pour ensuite baisser comme toute la planète

                  on aura une densité de 30 par km2 mais 200 au nord ! et plus de 500 sur la côte !

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                  • #10
                    c'est la faute la plus grave qu'a fait boumedienne dans les années 60/70
                    faux en 62 avant boumediénne la famille Algérienne se composait déja de 10 enfants en moyenne ,aprés toute guerre il y a tjrs un baby boom comme en france

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                    • #11
                      mab2roc non pas besoin de la mauritanie. tu parles de dessalement ?

                      l'algerie possede une des plus grandes nappe d'eau souterraine au monde. équivalente a 400 ans de débit du nil ! c'est de l'eau douce surtout.c'est d'elle que tamanrasset recoit maintenant son eau h24.
                      zerma vous avez une grande nappe d'eau soutérraine et vous cultivé rien dans votre sahara , vous avez vraiment des personnes incompétente dans votre pays , alors comme on dit chez nous bismillah il est tant de rendre se Sahara vert.

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                      • #12
                        «Le Sahara est l’avenir de l’Algérie», dit-il avec beaucoup de conviction.


                        cela toujours été,mais certain l'ont oublié,mais cela risque de changer..

                        car les gens du sud commence en n'a voir marre de ceux qui vivent a nos crochet et nous insulte quotidiennement...je sais de qui je parle...

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                        • #13
                          car on a un stock d'enfants et jeunes adultes qui représentent la moitié des 36 millions d'algeriens
                          La population algérienne se dirige droit vers le vieillissement. En 2040, la tranche d’âge des personnes dépassant la soixantaine d’années constituera 40% de la population. En 2008, elle représente 10%, soit plus de trois millions, alors qu’en 2002, la population de troisième âge était déjà de deux millions et demi.

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                          • #14
                            allez voir sur les sites de l'onu omc ect ils font des stats sur le futur.

                            on va presque doubler notre population avant de décliner. on l'a fait en 20 ans (doublé) la ca prendra 50 ans .

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                            • #15
                              ma2roc l'egypte n'a qu'a se baisser pour avoir de l'eau du nil.nous on doit forer a 1000 metres de profondeur.c'est pas kif kif surtout que l'eau en egypte est gratuite comme les terres.

                              tant que l'etat algerien ne fera pas pareil ca décollera pas comme il faut.

                              l'eau comme la terre au sahra ne doivent pas couter.idem l'electricité.

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