La célèbre speakerine algérienne sur TF1, Nadia Samir, est décédée, lundi, dans un hôpital parisien, après une longue maladie.
Nadia Samir avait officié dans les années 1980, durant sept ans, comme présentatrice vedette et journaliste sur la chaîne de télévision privée française TF1. Première speakerine d’origine maghrébine à apparaître sur le petit écran français et dans le PAF (paysage audiovisuel français), par voie de conséquence, elle avait ouvert une voie royale à d’autres visages «beurs» comme Nagui, Djamel Debouzze…. Elle avait bousculé l’establishment audiovisuel d’alors.
Nadia Samir était aussi actrice. Elle avait crevé l’écran dans Leïla et les autres, de Sid Ali Mazi (1977), La Vie devant soi, de Moshe Mizrahi (1977), Bab El Oued City, de Merzak Allouache (1993), Là-bas, mon pays, de Alexandre Arcady (1999), Le Cri des hommes de Okacha Touita (1999), Le Genre humain : le Parisien (2003) et Le Courage d’aimer (2004), de Claude Lelouch, Cartouches gauloises (2006), de Mehdi Charef ou encore Dix millions de centimes et Gourbi Palace, de Bachir Derrais (2007). Nadia Samir avait aussi fait résonner les planches du théâtre avec la pièce Maintenant, ils peuvent venir, adaptée du roman de Arezki Mellal.
K. Smail
Elwatan
Nadia Samir avait officié dans les années 1980, durant sept ans, comme présentatrice vedette et journaliste sur la chaîne de télévision privée française TF1. Première speakerine d’origine maghrébine à apparaître sur le petit écran français et dans le PAF (paysage audiovisuel français), par voie de conséquence, elle avait ouvert une voie royale à d’autres visages «beurs» comme Nagui, Djamel Debouzze…. Elle avait bousculé l’establishment audiovisuel d’alors.
Nadia Samir était aussi actrice. Elle avait crevé l’écran dans Leïla et les autres, de Sid Ali Mazi (1977), La Vie devant soi, de Moshe Mizrahi (1977), Bab El Oued City, de Merzak Allouache (1993), Là-bas, mon pays, de Alexandre Arcady (1999), Le Cri des hommes de Okacha Touita (1999), Le Genre humain : le Parisien (2003) et Le Courage d’aimer (2004), de Claude Lelouch, Cartouches gauloises (2006), de Mehdi Charef ou encore Dix millions de centimes et Gourbi Palace, de Bachir Derrais (2007). Nadia Samir avait aussi fait résonner les planches du théâtre avec la pièce Maintenant, ils peuvent venir, adaptée du roman de Arezki Mellal.
K. Smail
Elwatan
Commentaire