Hamas/Fatah: "coup dur pour la paix"
AFP
04/05/2011 | Mise à jour : 15:14 Réagir
L'accord de réconciliation conclu au Caire entre les factions rivales palestiniennes Fatah et Hamas est "un coup dur pour la paix et une grande victoire pour le terrorisme", a estimé aujourd'hui le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, en visite à Londres.
"Ce qui s'est passé aujourd'hui au Caire est un coup dur pour la paix et une grande victoire pour le terrorisme", a déclaré à des journalistes le chef du gouvernement israélien, qui doit s'entretenir dans la soirée avec son homologue britannique David Cameron.
Le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du Hamas Khaled Mechaal ont parachevé aujourd'hui au Caire un accord de réconciliation interpalestinien, signé la veille en dépit d'une vive opposition israélienne. L'accord, conclu après un an et demi de tractations, prévoit la formation d'un gouvernement formé de personnalités indépendantes pour préparer des élections présidentielle et législatives simultanées dans un délai d'un an.
Le Figaro.
AFP
04/05/2011 | Mise à jour : 15:14 Réagir
L'accord de réconciliation conclu au Caire entre les factions rivales palestiniennes Fatah et Hamas est "un coup dur pour la paix et une grande victoire pour le terrorisme", a estimé aujourd'hui le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, en visite à Londres.
"Ce qui s'est passé aujourd'hui au Caire est un coup dur pour la paix et une grande victoire pour le terrorisme", a déclaré à des journalistes le chef du gouvernement israélien, qui doit s'entretenir dans la soirée avec son homologue britannique David Cameron.
Le président palestinien Mahmoud Abbas et le chef du Hamas Khaled Mechaal ont parachevé aujourd'hui au Caire un accord de réconciliation interpalestinien, signé la veille en dépit d'une vive opposition israélienne. L'accord, conclu après un an et demi de tractations, prévoit la formation d'un gouvernement formé de personnalités indépendantes pour préparer des élections présidentielle et législatives simultanées dans un délai d'un an.
Le Figaro.
Commentaire