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Relations algéro-américaines: Hillary Clinton annoncée avant la fin 2011 en Algérie

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  • Relations algéro-américaines: Hillary Clinton annoncée avant la fin 2011 en Algérie

    Par : Merzak Tigrine
    Lu : (468 fois)
    Pour la secrétaire d’état US aux Affaires étrangères, la présence de son homologue algérien à Washington se justifie par la “relation très importante que les états-Unis entretiennent avec l'Algérie”, dont découle la volonté des deux parties de les raffermir, d’autant plus que Mme Clinton a qualifié d’“extrêmement encourageant”, le programme de réformes algériennes.

    Entre Alger et Washington, les voyants sont au vert, si l’on juge par les déclarations faites respectivement lors d’un point de presse mardi dans la capitale américaine par la secrétaire d’état US et son homologue algérien, à l’issue d’une visite de deux jours aux States du ministre algérien.
    Ce déplacement aura apparemment permis de rapprocher les positions des deux pays, comme l’indique cette déclaration à l’APS de Mourad Medelci. “Ce qui est retenu principalement de cette visite est la consolidation des relations bilatérales qui sont déjà importantes et qui se développent d’une année à l’autre”. Même son de cloche du côté américain, comme l’a confirmé Hillary Clinton en recevant son homologue algérien au département d’état. “Le ministre Medelci est ici au nom d’une relation très importante que les états-Unis entretiennent avec l’Algérie”. Dans le même ordre d’idées, elle a ajouté que les états-Unis sont “très reconnaissants pour l’excellente coopération” dont ils ont bénéficié de l’Algérie en matière de lutte contre ce fléau et de sécurité.
    De son côté, Mourad Medelci a indiqué que “cette visite s’inscrit dans le cadre de la régularité des consultations entre l’Algérie et les états-Unis, qui ont donné également l’occasion à plusieurs responsables américains d’effectuer fréquemment des visites en Algérie”.
    Il révélera au passage qu’une première visite en Algérie de Mme Clinton est prévue au cours de l’année 2011, tout en soulignant “les efforts engagés par l’Algérie et les états-Unis afin de développer la coopération dans les domaines aussi importants que la lutte contre le terrorisme”. Le chef de la diplomatie algérienne affirmera que sa présence aux états-Unis aura permis de traiter les dossiers de la coopération bilatérale et qu’il “a été également donné la priorité, par les deux parties, à la coopération économique et universitaire, deux créneaux qui se développent d’une manière satisfaisante et qui devraient pouvoir évoluer davantage à l’avenir” grâce à des “mécanismes de renforcement de cette coopération”. Profitant de l’opportunité de son séjour américain, Mourad Medelci a donné à Hillary Clinton un aperçu général sur la situation en Algérie et explicité le contenu des réformes annoncées par le président Abdelaziz Bouteflika le 15 avril dernier, dont les objectifs et le calendrier ont été précisés lundi lors d’un Conseil des ministres.
    En prenant connaissance des détails de ce vaste programme de réformes, la secrétaire d’état US l’a considéré comme “extrêmement encourageant”, indiquera M. Medelci. La situation prévalant dans plusieurs pays de la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord a été également au menu des entretiens des deux ministres.
    à ce sujet, les deux parties ont exprimé les “mêmes préoccupations à l’égard de la situation en Libye” et qu’ils ont relevé qu’il était “absolument nécessaire qu’un cessez-le-feu soit décidé le plus rapidement possible par l’ensemble des parties concernées”, affirmera le chef de la diplomatie algérienne, qui ajoutera précisera que le but est de permettre qu’une “solution politique répondant aux aspirations légitimes du peuple libyen puisse se développer et permettre une solution finale à cette crise”.
    Au sujet des relations entre l’Algérie et les autres pays maghrébins abordées par les deux responsables, il dira que “la Tunisie est en phase de transition que nous soutenons, et le Maroc avec lequel l’Algérie a, depuis plusieurs mois, abordé les questions de coopération bilatérale sous un angle pragmatique”. Concernant le Maroc, M. Medelci déclarera que les ministres algériens et marocains de plusieurs secteurs vont devoir, et ont commencé à le faire, “développer une coopération qui peut apporter ses fruits et qui peut, donc, contribuer à la normalisation des rapports sur le plan bilatéral”.
    Sur la question du Sahara occidental, le ministre a fait savoir que lui et Mme Clinton ont “convenu que le devenir de ce dossier soit entre les mains de l’ONU et qu’ils devront encourager et continuer à le faire”, rappelant que l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies pour le Sahara occidental, Christopher Ross, avait formulé l’espoir que l’année 2011 puisse effectivement enregistrer une reprise des négociations officielles entre les le Front Polisario et le Maroc.
    Mourad Medelci insistera sur le fait que la question du Sahara occidental a été évoquée avec son homologue américaine “sous l’angle de notre conviction qu’il fallait, maintenant, que les deux parties puissent diligenter plus d’efforts pour aboutir, sous l’égide des Nations unies, à une solution le plus tôt possible”.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    @Dolby

    sorry chere Chouaffa, tu vois que tu as tapé complétement á côté

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    • #3
      avait formulé l’espoir que l’année 2011 puisse effectivement enregistrer une reprise des négociations officielles entre les le Front Polisario et le Maroc.
      Plus de négociation informelle entre le Maroc et le Polisario !
      A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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      • #4
        A quoi bon vu que le Maroc ne fera jamais ni referundum ni indépendance qui est ce que recherche lalgerie et polisario, donc inutile.
        quand les USA seront enfin convaincus de la nécéssité urgente de résoudre ce probléme pour le peuple sahraoui, et pour le bien de la stabilité dans la région, les tirage d'oreille ne se ferait plus attendre, bghitou wella krahtou!!

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        • #5
          Il révélera au passage qu’une première visite en Algérie de Mme Clinton est prévue au cours de l’année 2011, tout en soulignant “les efforts engagés par l’Algérie et les états-Unis afin de développer la coopération dans les domaines aussi importants que la lutte contre le terrorisme”. Le chef de la diplomatie algérienne affirmera que sa présence aux états-Unis aura permis de traiter les dossiers de la coopération bilatérale et qu’il “a été également donné la priorité, par les deux parties, à la coopération économique et universitaire, deux créneaux qui se développent d’une manière satisfaisante et qui devraient pouvoir évoluer davantage à l’avenir” grâce à des “mécanismes de renforcement de cette coopération”.

          Voila une bonne chose de faite et après on vient nous faire des leçon de morale ,comme si il était interdit de faire des affaires et d'avoir une coopération intelligente avec les américains
          et d'ailleurs certain devrait se réjouir ,car la pression est énorme les américains nous attend au tournant et ne veulent en aucun cas perdre un alliées de poids dans la région ..
          Tout cela devrait nous réjouir et non nous diviser ,qui ne serais pas heureux d'envoyer ces enfant faire des études au états unis ?des voyages organisé avec ce pays ?certaine ville d’Algérie jumelé avec d’autres américaines ,tout cela peut renforcer notre amitié et mieux connaitre le peuple américain .tout est bon apprendre dans cette associations et cela ne met pas notre intégrité en danger ,et surtout ne remettras pas ceux qui fait notre politique..dire les chose a la première puissance mondiale sans vendre notre âme.

          Je rappelle a ceux qui l'ont oublié que les états unis était en faveur du f.l.n et que l'arrivé de Charles de Gaulle a était précisément de mettre les américains hors circuits dans la régions ..

          oui les américains ont leur défaut ,mais aussi leur qualité

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          • #6
            @Ouazzane
            Tu tapes dans le vide ?
            Hillary Clinton qui le dit , alors ton Roi devrait mettre ses pieds dans l eau froide !
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              les américains ne voit que leur intérêts ,pour flatter le Maroc et lui dire non plus tard ,et que feras le Maroc si les états unis impose un referendum ?

              RIEN .. VOILA LE CONSTAT .

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              • #8
                version MAP ?
                Si elle l avait dit uniquement pour que ton roi se calmera ? et ne peut contrarier la visite de Medelci aux USA ... Hillary trés rusée en politique !
                A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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                • #9
                  sorry chere Chouaffa, tu vois que tu as tapé complétement á côté
                  tu devras apprendre à lire entre les lignes.
                  cela viendra par l'experience , à condition que tu cesses de prendre les vessies pour des lanternes.
                  je vais revenir sur cet article et tu verras que ta lecture a besoin de tonifiants!

                  Commentaire


                  • #10
                    @Dolby
                    sorry chere Chouaffa, tu vois que tu as tapé complétement á côté

                    je ne le crois pas .
                    je vais decortiquer l'article en question à la lumiere de cette entrée à propos des relations de l'algerie avec les alliés :

                    Avant de décortiquer cet article, il y a lieu de, brièvement, brosser le tableau des relations algero-américaines :
                    -sur le plan politique :
                    Ces relations ne sont ni harmonieuses ni complémentaires.
                    Les orientations politiques de l’Algérie, héritées des années du boumediénisme semblent encore inspirer, quoique de façon discontinue, les relations entre l’Algérie, les alliés et le reste du monde.
                    La quintessence du régime algérien avec Chavez, Najad, Ortega et tous les fronts d’opposition aux américains et à leurs alliés est une constante de la politique extérieure de l’Algérie.
                    Quand cette dernière n’est pas en opposition ouverte avec l’ »occident », elle est en position d’expectative suspicieuse.
                    -sur le plan économique :
                    Cet état de détérioration des relations politiques avec le monde occidental semble avoir des répercussions sur les relations économiques de l’Algérie avec l’ »occident ».
                    Pays riche en pétrole et en gaz, pays encore en développement, l’Algérie a le profile type du pays qui devait avoir les relations les plus denses avec le monde.
                    Force est de constater que l’Algérie n’est pas dans cette situation.
                    D’un côté, la politique économique adoptée par le pays semble constituer un obstacle majeur à ce rayonnement.
                    Le dirigisme économique est toujours en cours et le secteur public est encore dominant.
                    L’Algérie est, depuis plusieurs années en discussion avec l’OMC, mais les années passent sans qu’un réel progrès de l’entrée de ce pays dans la mondialisation ne soit enregistré : encouragé par la manne pétrolière et gazière, l’Algérie a certes les moyens de sa politique économique frileuse , mais cet immobilisme est chèrement payé en chômage, en retard dans la réalisation des infrastructures de base et en matière de formation professionnelle.
                    -sur le plan sécuritaire :
                    Contrairement aux déclarations officielles, un jeu du chat et de la souris semble marquer les relations de l’Algérie avec les alliés.
                    Autant le gouvernement algérien tient à faire de la lutte contre le terrorisme un moyen de pérennisation du système en place malgré les revendications populaires, autant ses partenaires occidentaux, qui sont au courant, tiennent un discours dissonant et qui prône l’ouverture politique et économique du pays.
                    On ne peut parler de coopération franche et fructueuse mais d’une coopération forcée et toujours maintenue, parce que nécessité oblige, depuis qu’une filiale de la Qaeda, l’aqmi, s’est installée dans le sud de l’Algérie et le nord du mali,
                    Voila en bref un topo de la situation actuelle.
                    je commenterai l'article à la lumiere de ce topo. et tu verras bien qu'il ne s'agit pas de "tashaoufet" mais , bel et bien ,d'analyse partant du réel et debouchant sur le réel.

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