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Eric Gerets. Sélectionneur du Maroc
«On ne peut pas dire d’office qu’on va gagner»
L’entraîneur de la sélection marocaine, le Belge Eric Gerets, a déclaré à propos du prochain match Maroc-Algérie qu’«on ne peut pas dire d’office qu’on va gagner.
Le football reste un sport, il n’est pas une science exacte. Et dans une rencontre, tu peux faire match nul, gagner ou perdre». «On sait qu’on doit gagner contre l’Algérie et avoir une grande chance de se qualifier à la CAN 2012. Une victoire est extrêmement nécessaire. Mais avant que le match commence, les deux équipes sont à égalité et celui qui marque le plus de buts remportera la rencontre. On ne peut pas dire d’office qu’on va gagner. Le football n’est pas une science exacte», a souligné vendredi Gerets dans une interview au journal marocain le Matin.
A une question sur l’importance de ce match et s’il était décisif pour la qualification, Gerets a répondu : «Même si on bat l’Algérie, on n’est pas encore qualifiés.» «Décisif, certainement pas. Il faut prendre 7 points sur les trois matchs pour être sûr de se qualifier», a-t-il fait remarquer. Concernant le nombre de joueurs marocains qui seront présélectionnés pour affronter l’Algérie le 4 juin prochain, le technicien belge a indiqué : «On est pour le moment à 29 joueurs ou 30 présélectionnés, et je garde la liberté d’y ajouter un ou deux autres joueurs», avant de préciser : «On retiendra 22 joueurs plus les gardiens de but, ça sera 25 joueurs pour l’Algérie.»
«En gros, a-t-il dit, ça sera le même groupe. Il y aura un ou deux nouveaux joueurs, sans plus. On va essayer de voir les joueurs qui ont notre confiance le plus tôt possible et de collecter le plus de renseignements sur nos joueurs qui jouent en Europe.»
Concernant la domiciliation du match qu’il aurait aimé voir se dérouler à Casablanca, le sélectionneur du Maroc a considéré que c’était «une décision qui a été prise par le gouvernement pour donner un signal fort non seulement au peuple marocain, mais aussi pour la communauté internationale», affirmant qu’il acceptait «cette décision parce que Marrakech est le poumon du tourisme marocain, même si j’avais espéré jouer à Casablanca».
El Watan/APS
«On ne peut pas dire d’office qu’on va gagner»
L’entraîneur de la sélection marocaine, le Belge Eric Gerets, a déclaré à propos du prochain match Maroc-Algérie qu’«on ne peut pas dire d’office qu’on va gagner.
Le football reste un sport, il n’est pas une science exacte. Et dans une rencontre, tu peux faire match nul, gagner ou perdre». «On sait qu’on doit gagner contre l’Algérie et avoir une grande chance de se qualifier à la CAN 2012. Une victoire est extrêmement nécessaire. Mais avant que le match commence, les deux équipes sont à égalité et celui qui marque le plus de buts remportera la rencontre. On ne peut pas dire d’office qu’on va gagner. Le football n’est pas une science exacte», a souligné vendredi Gerets dans une interview au journal marocain le Matin.
A une question sur l’importance de ce match et s’il était décisif pour la qualification, Gerets a répondu : «Même si on bat l’Algérie, on n’est pas encore qualifiés.» «Décisif, certainement pas. Il faut prendre 7 points sur les trois matchs pour être sûr de se qualifier», a-t-il fait remarquer. Concernant le nombre de joueurs marocains qui seront présélectionnés pour affronter l’Algérie le 4 juin prochain, le technicien belge a indiqué : «On est pour le moment à 29 joueurs ou 30 présélectionnés, et je garde la liberté d’y ajouter un ou deux autres joueurs», avant de préciser : «On retiendra 22 joueurs plus les gardiens de but, ça sera 25 joueurs pour l’Algérie.»
«En gros, a-t-il dit, ça sera le même groupe. Il y aura un ou deux nouveaux joueurs, sans plus. On va essayer de voir les joueurs qui ont notre confiance le plus tôt possible et de collecter le plus de renseignements sur nos joueurs qui jouent en Europe.»
Concernant la domiciliation du match qu’il aurait aimé voir se dérouler à Casablanca, le sélectionneur du Maroc a considéré que c’était «une décision qui a été prise par le gouvernement pour donner un signal fort non seulement au peuple marocain, mais aussi pour la communauté internationale», affirmant qu’il acceptait «cette décision parce que Marrakech est le poumon du tourisme marocain, même si j’avais espéré jouer à Casablanca».
El Watan/APS
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