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Des antidépresseurs qui dépriment

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  • Des antidépresseurs qui dépriment

    Des recherches ont déjà montré que les jeunes qui prenaient certains antidépresseurs avaient plus de pensées suicidaires.

    Il semble que les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) comme le Prozac, le Paxil et le Zoloft aient aussi des effets néfastes sur la santé mentale des personnes âgées.

    En fait, ces personnes auraient presque cinq fois plus de risque de se suicider pendant le premier mois de traitement que celles à qui on a suggéré d'autres types de médications contre la dépression, comme l'Elavil.

    Pour en arriver à ces conclusions, des chercheurs de l'Institut de recherche en services de santé de Toronto ont analysé des rapports de coroners de l'Ontario.

    Ils ont ainsi répertorié 1142 suicides parmi les Ontariens du troisième âge entre 1992 et 2000. L'équipe a scruté leurs dossiers médicaux afin de vérifier si elles avaient reçu des prescriptions d'antidépresseurs dans les six mois précédant leur mort.

    En outre, la majorité des personnes qui s'étaient suicidées ne s'étaient pas fait prescrire d'antidépresseurs. Cependant, parmi celles qui s'en étaient fait prescrire, le risque qu'elles se suicident dans le premier mois de traitement avec des antidépresseurs de type ISRS était plus grand.

    Il est important de noter que la prévalence du suicide est très faible.

    Les résultats montrent qu'il est important pour les médecins de bien suivre leurs patients après avoir commencé un traitement. Les professionnels de la santé doivent également bien informer leurs patients des risques d'émergence de pensées suicidaires.

    - RadioCanada

  • #2
    C'est tellement vrai. Il ya quelques années, suite au suicide de quelqu'un de tres pres, j'ai vécu une période difficile pendant laquelle j'ai consulté en médecine. Or ce médecin, trié au hasard avait une épouse qui était psychologue. Il m'a prescrit du Prosac et m'a référé dirctement à sa femme.
    J'ai pris ce Prosac durant exactement 7 jours. J'avais le même corps, mais une autre personne l'habitait. J'ai détesté cette sensation. Par chance, je suis curieuse et me suis informée à temps des effets possibles de ce genre de médicament. J'ai appris par la suite que ce médecin créait ainsi une clientèle àa sa femme. Il a été radié.

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