Tweet
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika ne se rendra pas dans la capitale nigériane Abuja, pour participer au sommet de l'Union Africaine (UA) sur le sida, la tuberculose et la malaria, qui se tiendra mercredi.
Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat et représentant personnel du président, conduira à sa place la délégation algérienne, a annoncé mardi un communiqué de la présidence.
Rentré le 25 avril après son hospitalisation pour des soins post-opératoires à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, Abdelaziz Bouteflika a repris ses activités dimanche mais semble pour le moment éviter toute activité nécessitant une trop grande dépense d'énergie.
Les travaux de la rencontre d'Abuja ont débuté lundi au niveau des experts puis au niveau ministériel, avant le sommet des chefs d'Etat mercredi. Ce sommet devra permettre aux dirigeants africains de réaffirmer leur engagement à lutter contre le sida, la tuberculose et la malaria et à réaliser les objectifs des Déclarations d'Abuja en 2000 et 2001, et ceux du Millénaire fixés par l'ONU.
L'Afrique compte un peu plus d'un dixième de la population mondiale mais un quart des malades du sida, tuberculose et malaria, pandémies responsables de quatre millions de morts chaque année.
Abdelaziz Belkhadem devait par ailleurs se rendre mardi après-midi, à Khartoum (Soudan) et à N'Djamena (Tchad), selon un autre communiqué de la présidence, porteur de messages écrits du président Bouteflika à ses homologues soudanais et tchadien.
Le communiqué de la présidence ne donne aucune indication sur la teneur de ces messages. Les relations entre le Soudan et le Tchad se sont détériorées en raison de la guerre civile dans la province soudanaise du Darfour, frontalière du Tchad, et aggravées encore avec la récente tentative de renversement du régime tchadien par une rébellion que N'Djamena dit soutenue par Khartoum.
Par AP
Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat et représentant personnel du président, conduira à sa place la délégation algérienne, a annoncé mardi un communiqué de la présidence.
Rentré le 25 avril après son hospitalisation pour des soins post-opératoires à l'hôpital militaire du Val-de-Grâce à Paris, Abdelaziz Bouteflika a repris ses activités dimanche mais semble pour le moment éviter toute activité nécessitant une trop grande dépense d'énergie.
Les travaux de la rencontre d'Abuja ont débuté lundi au niveau des experts puis au niveau ministériel, avant le sommet des chefs d'Etat mercredi. Ce sommet devra permettre aux dirigeants africains de réaffirmer leur engagement à lutter contre le sida, la tuberculose et la malaria et à réaliser les objectifs des Déclarations d'Abuja en 2000 et 2001, et ceux du Millénaire fixés par l'ONU.
L'Afrique compte un peu plus d'un dixième de la population mondiale mais un quart des malades du sida, tuberculose et malaria, pandémies responsables de quatre millions de morts chaque année.
Abdelaziz Belkhadem devait par ailleurs se rendre mardi après-midi, à Khartoum (Soudan) et à N'Djamena (Tchad), selon un autre communiqué de la présidence, porteur de messages écrits du président Bouteflika à ses homologues soudanais et tchadien.
Le communiqué de la présidence ne donne aucune indication sur la teneur de ces messages. Les relations entre le Soudan et le Tchad se sont détériorées en raison de la guerre civile dans la province soudanaise du Darfour, frontalière du Tchad, et aggravées encore avec la récente tentative de renversement du régime tchadien par une rébellion que N'Djamena dit soutenue par Khartoum.
Par AP