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Dernieres statistiques quebecoises sur les immigrants

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  • Dernieres statistiques quebecoises sur les immigrants

    60 % des immigrants du Quebec ont un revenu egal ou moindre que le RMI ( ici, on dit SMIG)
    Le SMIG est d environ 7 dollars de l heure, ce qui represente, au mieux, 18 000 dollars par annee.

    Ces chiffres m ont beaucoup etonne...

  • #2
    C'est ce qui est déclaré à Revenu Canada/Québec. Mais il faut savoir qu'un très très grand nombre travaille aussi sous la table et peut donc bénéficier d'énormément d'aides (logement et autres).
    La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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    • #3
      Parmi ceux qui sont au bien etre social, oui, le travail au noir aide ...
      Mais les smicards, ils sont deja a plein temps au boulot.

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      • #4
        Les smicards sont pour la plupart les jeunes (15 à 17 ans) et quelques nouveaux immigrés en effet... le temps d'adaptation puis une fois qu'ils ont compris comment fonctionne le système (pas tous malheureusement), se trouvent quelque chose de meilleur.
        La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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        • #5
          bachi

          Il ne faut jamais se fier aux statistiques déclarées. Beaucoup de gens travaillent au salaire minimum pour recevoir le maximum de bénéfices sociaux et vont se chercher une paye supérieure au noir. Dans mon quartier, ce sont les immigrants qui achetent la majorité des maisons nouvellement mises en vente. Ce sont de bons travaillants qui ont du coeur au ventre.

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          • #6
            Surprise moi aussi... je pense connaître seulment 2 personnes dans ce cas dans mon entourage.
            Ça dépend probablement des immigrants (s'ils parlent français, leurs qualifications...)
            Bof, je n'y crois pas vraiment, en tout cas pas pour nous les Algériens.

            Kikka

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            • #7
              Kika, bonsoir.

              Ce n'est pas rose pour les Algeriens, non plus. Les derniers arrivants surtout.
              C'est triste mais il y a tant d'ingénieurs, d'ex enseignants, de dentistes, avocats etc... forcés d'être au B.S.
              Maitrisant parfaitement le français de surcroit.

              Le gouvernement songe a obliger les corporations d'assouplir leurs reglements afin que tous ces diplomés puissent pratiquer leurs métiers...

              On verra...

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              • #8
                Ils n'attendent que ça apparemment...

                Les ordres professionnels favorables aux permis spéciaux pour immigrants
                Tommy Chouinard
                La Presse
                Québec


                Plus de 40 % des infirmières en salle d'opération prendront leur retraite au cours des 10 prochaines années. L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) salue donc la décision de Québec de créer un permis spécial destiné aux immigrants.

                Ces derniers seront plus nombreux à pratiquer la profession et résorberont en partie cette pénurie.

                Les autres ordres professionnels du Québec sont également favorables à cette mesure, qu'ils réclament depuis des années dans certains cas.

                Avocats, ingénieurs, etc


                Comme La Presse l'a révélé hier, le gouvernement Charest amendera le Code des professions pour permettre aux 45 ordres professionnels d'accorder des permis restrictifs permanents. Lors du dépôt de son projet de loi, qui doit avoir lieu dans les prochaines semaines, le ministre de la Justice, Yvon Marcoux, préférera parler de « permis spéciaux ».

                Ces derniers seront délivrés aux immigrants qui ne satisfont pas à toutes les exigences fixées par les ordres professionnels mais auxquels on reconnaît certaines compétences. Des immigrants pourront pratiquer la profession d'avocat ou d'ingénieur, mais de façon limitée.

                Dans les salles d'opération

                La présidente de l'OIIQ, Gyslaine Desrosiers, estime que son organisation pourrait créer un « permis spécial salles d'opération ». Ainsi, une infirmière formée en France, qui a travaillé pendant des années dans des salles d'opération, pourrait recevoir ce permis. Elle n'aurait qu'à faire un stage d'intégration et à suivre une courte formation d'appoint.

                À l'heure actuelle, les infirmières formées à l'étranger doivent bien souvent suivre une panoplie de cours pour pouvoir pratiquer, même si elles ne cherchent qu'à travailler en salles d'opération comme dans leur pays d'origine.

                « Nous sommes de ceux qui ont proposé la création des permis spéciaux. On pense que quand quelqu'un arrive de l'étranger et que ça fait des années qu'il consacre sa carrière à un domaine en particulier, c'est parfois quasi impossible de recommencer pour avoir un permis général. Ça va venir faciliter l'intégration », a expliqué Gyslaine Desrosiers au cours d'un entretien téléphonique.

                Le Collège des médecins, qui donne chaque année 80 permis restrictifs mais sur une base temporaire, se réjouit également des intentions de Québec. Comme la profession médicale peut être segmentée en plusieurs spécialités, l'attribution de permis spéciaux se fera plus aisément, en fonction des besoins des établissements.

                Le Barreau satisfait

                Le gouvernement Charest répond aussi aux attentes du Barreau du Québec. Grâce à un permis spécial, un avocat originaire de Sydney pourra offrir ses services en droit australien à des cabinets de Montréal ou à des entreprises qui veulent investir dans ce pays, par exemple. Son permis ne lui permettra pas de pratiquer le droit québécois.

                Mais à ceux qui veulent le pratiquer un jour, le permis spécial permettra de travailler dans leur domaine durant leur formation, « plutôt que de faire du taxi ou d'être concierge », a noté la bâtonnière du Québec, Madeleine Lemieux.

                Prêts à avancer

                Le Conseil interprofessionnel du Québec, qui représente les 45 ordres, croit que l'initiative du gouvernement tombe à point. « La réflexion sur cet élément était mûre et on était prêts à avancer », a affirmé son directeur, André Gariépy.

                Une équipe de travail sur la reconnaissance des diplômes et des compétences des personnes formées à l'étranger a remis au gouvernement, en décembre, un rapport recommandant la création d'un permis spécial. Cette équipe était composée de représentants des ordres professionnels, notamment.

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                • #9
                  je pense que le gouvernement encourage plus les opportunistes , que les gens qui veulent vraiment travailler

                  si t'es sur le B.S , et tu bricoles sous la table , tes soins dentaires sont gratuits , l'aide juridique légale aussi , et bien d'autres avanatages ....

                  si tu travailles , tu paieras ton dentiste , ton avocat , et tu paies tes impots ....... donc souvent les immigrants préferent la facilité, surtout ceux qui ont des enfants
                  Dernière modification par absente, 03 mai 2006, 00h21.

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