Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le Président Bouteflika décide des mesures de grâce au profit des journalistes

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le Président Bouteflika décide des mesures de grâce au profit des journalistes

    Voila un bon geste de bouteflika en faveur des journalistes condamnés définitivement. Espérant surtout que les harcellements contre ces memes journalistes cessent et qu'on ait une vraie presse libre et reponsable.


    Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a décidé, mardi, des mesures de grâce au profit des journalistes condamnés définitivement, indique un communiqué de la présidence. Ces mesures de grâce "comportent une remise totale des peines prononcées à l'encontre des journalistes condamnés pour outrage à fonctionnaire, offense au Président de la République, outrage à corps constitués, diffamation et injure", souligne le communiqué.

  • #2
    Le président Bouteflika grâcie des journalistes condamnés
    AFP 02.05.06 | 20h44

    Le président algérien Abdelaziz Bouteflika a décidé mardi de gracier des journalistes condamnés en justice, a-t-on annoncé de source officielle à Alger à la veille de la journée mondiale de la liberté de la presse.

    Ces mesures "comportent une remise totale des peines prononcées à l'encontre des journalistes condamnés pour outrage à fonctionnaire, offense au président de la République, outrage à corps constitués, diffamation et injure", précise un communiqué de la présidence.

    Cette mesure reflète "l'engagement irrévocable de l'Algérie dans la voie de la démocratie et du pluralisme politique", souligne le communiqué.

    Plusieurs journalistes algériens ont été condamnés par la justice notamment pour diffamation et offense au chef de l'Etat, des délits de presse inscrits depuis plus de quatre ans dans un amendement au code pénal algérien et devraient bénéficier de ces mesures de grâces.

    Parmi les journalistes condamnés à des peines de prison pour "offense au chef de l'Etat": Hakim Laâlam (mars 2005, six mois fermes), Kamel Amarni, du même quotidien (juin 2005, six mois ferme), Fouad Boughanem (directeur du même journal, deux mois ferme), Ali Dilem et un ancien directeur de la publication de Liberté, Farid Alilat (fin juin 2005, six mois ferme)

    Le 19 avril 2005, cinq journalistes du Matin, qui a cessé de paraître depuis le 24 juillet 2004, avaient été condamnés à des peines allant de deux à trois mois de prison ferme dans deux affaires de diffamation.
    Mais j espere que dans le futur on aura plus a condamner des journalistes a de la prison ferme pour leurs ecrits pour ne pas avoir a les gracier dans la suite.

    Commentaire


    • #3
      Benchicou

      Qu'en est-il de Benchicou????? fait-il parti du lot?

      Commentaire

      Chargement...
      X