CHOIX DU PROGRAMME ET DE LA LANGUE D’ENSEIGNEMENT
Les écoles étrangères oui, mais sans Algériens
Le ministre de l’Education nationale, Aboubakr Benbouzid, a précisé dimanche, lors de sa rencontre avec la fédération nationale des associations des parents d’élèves, que les écoles privées devront respecter scrupuleusement les cahiers des charges. «Chacun a le droit d’ouvrir son école mais il doit le faire dans le cadre de la loi», a-t-il précisé. «L’Algérie n’est ni à l’est ni à l’ouest, mais elle a ses intérêts à défendre», a-t-il martelé. «L’enseignement en langue arabe et le respect scrupuleux des programmes de l’éducation nationale sont les seules conditions pour assurer un enseignement dans les écoles privées», a-t-il conclu sur le sujet. Quant aux étrangers, le ministre de l’Education nationale a précisé «qu’ils peuvent ouvrir leurs écoles en optant pour les langues et les programmes qui leur conviennent». La précision de taille, qu’il a tenu à apporter, est que «ces écoles ne doivent admettre ne serait-ce qu’un seul élève algérien dans leurs bancs», sinon elles «seront dans l’obligation d’appliquer les programmes de l’éducation nationale et de les enseigner en arabe». Revenant sur la fermeture d’écoles privées, il y a quelque temps de cela, Benbouzid a indiqué «qu’il faut distinguer entre écoles agréées et écoles non agréées, et entre écoles qui appliquent les programmes de l’éducation nationale et celles qui ne les appliquent pas». «J’applique la loi, avec froideur, en dehors de toute passion», a-t-il conclu.
S. E. K.
Les écoles étrangères oui, mais sans Algériens
Le ministre de l’Education nationale, Aboubakr Benbouzid, a précisé dimanche, lors de sa rencontre avec la fédération nationale des associations des parents d’élèves, que les écoles privées devront respecter scrupuleusement les cahiers des charges. «Chacun a le droit d’ouvrir son école mais il doit le faire dans le cadre de la loi», a-t-il précisé. «L’Algérie n’est ni à l’est ni à l’ouest, mais elle a ses intérêts à défendre», a-t-il martelé. «L’enseignement en langue arabe et le respect scrupuleux des programmes de l’éducation nationale sont les seules conditions pour assurer un enseignement dans les écoles privées», a-t-il conclu sur le sujet. Quant aux étrangers, le ministre de l’Education nationale a précisé «qu’ils peuvent ouvrir leurs écoles en optant pour les langues et les programmes qui leur conviennent». La précision de taille, qu’il a tenu à apporter, est que «ces écoles ne doivent admettre ne serait-ce qu’un seul élève algérien dans leurs bancs», sinon elles «seront dans l’obligation d’appliquer les programmes de l’éducation nationale et de les enseigner en arabe». Revenant sur la fermeture d’écoles privées, il y a quelque temps de cela, Benbouzid a indiqué «qu’il faut distinguer entre écoles agréées et écoles non agréées, et entre écoles qui appliquent les programmes de l’éducation nationale et celles qui ne les appliquent pas». «J’applique la loi, avec froideur, en dehors de toute passion», a-t-il conclu.
S. E. K.
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