Tweet
Elle subit une IVG à la place d’une autre
En raison d’une confusion d’identité, une femme de 28 ans a subi une interruption volontaire de grossesse (IVG) à la place d’une autre, dans un hôpital à Lille (France).
Une enquête est ouverte contre le service gynécologie obstétrique de l'hôpital Saint-Vincent, à Lille (France), éclaboussé par un drame, révèle «le Parisien». En raison d’une confusion, une femme enceinte de quatre mois a subi une IVG destinée à une autre patiente. C'est une étudiante sage-femme présente dans le service depuis une semaine qui est à l'origine de l'impair; elle a négligé de vérifier l’identité d’une patiente.
Alors qu’une femme devait bien subir un curetage destiné à stopper sa grossesse, la deuxième patiente de 28 ans était dans l’attente d’une opération en vue d’éviter une naissance prématurée. Révoltée par la perte de son bébé, cette dernière a témoigné dans la «Voix du Nord» pour «que l'on sache ce qui m'est arrivé, et que ça ne se reproduise pas sur une autre femme. Je voulais mon enfant, moi, et pas qu'on me l'enlève!»
Fausse-couche
Au matin du drame, l’étudiante sage-femme lui a prescrit une pilule destinée à ramollir le col de l’utérus pour faciliter le curetage. Ayant ingéré le médicament destiné à une autre, la jeune femme a fait une fausse-couche, malgré l’intervention des chirurgiens pour ôter les comprimés inadéquats. La jeune femme révoltée par cette bourde irréparable envisage de déposer plainte, tandis que l’étudiante à l’origine de la méprise ne pourra pas valider son stage.
20 minutes
En raison d’une confusion d’identité, une femme de 28 ans a subi une interruption volontaire de grossesse (IVG) à la place d’une autre, dans un hôpital à Lille (France).
Une enquête est ouverte contre le service gynécologie obstétrique de l'hôpital Saint-Vincent, à Lille (France), éclaboussé par un drame, révèle «le Parisien». En raison d’une confusion, une femme enceinte de quatre mois a subi une IVG destinée à une autre patiente. C'est une étudiante sage-femme présente dans le service depuis une semaine qui est à l'origine de l'impair; elle a négligé de vérifier l’identité d’une patiente.
Alors qu’une femme devait bien subir un curetage destiné à stopper sa grossesse, la deuxième patiente de 28 ans était dans l’attente d’une opération en vue d’éviter une naissance prématurée. Révoltée par la perte de son bébé, cette dernière a témoigné dans la «Voix du Nord» pour «que l'on sache ce qui m'est arrivé, et que ça ne se reproduise pas sur une autre femme. Je voulais mon enfant, moi, et pas qu'on me l'enlève!»
Fausse-couche
Au matin du drame, l’étudiante sage-femme lui a prescrit une pilule destinée à ramollir le col de l’utérus pour faciliter le curetage. Ayant ingéré le médicament destiné à une autre, la jeune femme a fait une fausse-couche, malgré l’intervention des chirurgiens pour ôter les comprimés inadéquats. La jeune femme révoltée par cette bourde irréparable envisage de déposer plainte, tandis que l’étudiante à l’origine de la méprise ne pourra pas valider son stage.
20 minutes
)
Commentaire