Prière indienne

[Absente]

"À ceux que j'aime... et ceux qui m'aiment"

Quand je ne serai plus là, relâchez-moi, laissez-moi partir,
J'ai tellement de choses à faire et à voir.
Ne pleurez pas en pensant à moi,
Soyez reconnaissants pour les belles années.
Je vous ai donné mon amitié, vous pouvez seulement deviner
Le bonheur que vous m'avez apporté.
Je vous remercie de l'amour que chacun m'a démontré,
Maintenant, il est temps de voyager seul.
Pour un court moment vous pouvez avoir de la peine,
La confiance vous apportera réconfort et consolation.
Nous serons séparés pour quelques temps
Laissez les souvenirs apaiser votre douleur,
Je ne suis pas loin, et la vie continue...
Si vous avez besoin, appelez-moi et je viendrai,
Et si vous écoutez votre coeur, vous éprouverez clairement
La douceur à l'amour que j'apporterai.
Et quand il sera temps pour vous de partir,
Je serai là pour vous accueillir.
Absent de mon corps, présent avec Dieu.

N'allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je ne suis pas là, je ne dors pas.
Je suis les mille vents qui soufflent,
Je suis le scintillement des cristaux de neige,
Je suis la lumière qui traverse les champs de blé,
Je suis la douce pluie d'automne,
Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin,
Je suis l'étoile qui brille dans la nuit
N'allez pas sur ma tombe pour pleurer,
Je ne suis pas là.

Auteur inconnu.

[Absente]

Merci Vague.

Si ils pouvaient nous dire cela avant de partir ca soulagerait !

Si je pouvait dire cela avant de partir je le ferait!

C'est trés beau, trés apaisant.

[Absente]

Un plaisir de le partager Maysarah.

Ce n'est aussi simple que ça de dire au revoir, j'aimerai aussi pouvoir le dire comme tout un chacun ce nous.

[agour amechtouh]

sans toi je rame



pris dans la tempéte j'ai peur
le vent hurle,des nuages noir
forcement le ciel à perdre ses couleurs,
la mer se déchaine,les vagues ferlent
et dans le grimoir de ma vie
j'eprouve de chagrin
ma melancolie
sombre dans la tristesse
c'est mon chemin

ma route oû tous est barré,le néaut---
ce canal qui conduit l'eau dans les marais salants
de la plage et vient mourir sur les brise larmes
je suis tout en larmes c'est mon drame.
je marche et j'ai froid et ce vent qui me lâche pas
mon coeur est lourd,je voudrais immerger mais tu n'est plus la

A qui me confier,je suis tout seul comme un galerien
un forçat condamné aux galéres, je ne suis plus rien.

sans toi je rame qui pourra me dire s'il y'a de l'espoir
que tu viennents vert moi et encore croire
que tu même es,écoutes moi avant de me crucifier
car j'ai piene à m'imaginer
que je ne suis plus rien pour toi mon aimée.

J-C-

[Absente]

Il y'a toujours un espoir quelque part, il se pointra tôt ou tard .

[confusuc]

salam...

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[tatiana]

Je prefere qu'on ne me le dit pas, ne pas le savoir completement.

[Océane]

Tatiana, il y a aussi nos prières ... ne l'oublie pas.

[Absente]

Tatiana, il y a aussi nos prières ... ne l'oublie pas.

C'est vrai que les prières des personnes qui nous sont chères nous touchent vraiment, ça nous aide à avancer et y croire aussi.

[Absente]

Priere

Assise au bout du quai
Au coucher du soleil
J'observe le paysage
J'me perds dans ses merveilles

Simplicité gigantesque
Ensemble harmonieux
J'respire le grand silence
J'le fixe en amoureux

Pour ce moment
de tranquilité
Dans ma tête en catastrophe
Pour cet instant
de lucidité
Sans réclame. . .
Je te rends mon âme

J'laisse le vent démêler
Le fil de mes idées
Sans imposer de freins
Comme un réveil de loin

Une réponse sans question
A ma quête, une vision
Figée dans l'éclaircie
Je m'accroche à la vie

Pour la première fois j'ai prié
J'ai prié pour toute l'humanité
J'avais l'impression
A ce moment crucial
D'être à un pas
D'une sagesse mondiale

pas de terre séchée
pas de violence
pas de maladie
pas de ventre creux
pas de domination
de force, de peur
pas de souffrance
pas de violeur

Je suis convaincue
Qu'on m'a entendue

Judi Richards/Monique Fauteux

[tatiana]

De la joie et de la tristesse


Une femme dit alors:
"Parle-nous de la Joie et de la Tristesse."
Il répondit:
Votre joie est votre tristesse sans masque.
Et le même puits d'où jaillit votre rire a souvent été rempli de vos larmes.
Comment en serait-il autrement ?
Plus profonde est l'entaille découpée en vous par votre tristesse, plus grande est la joie que vous pouvez abriter.
La coupe qui contient votre vin n'est-elle pas celle que le potier flambait dans son four ?
Le luth qui console votre esprit n'est-il pas du même bois que celui creuse par les couteaux ?
Lorsque vous êtes joyeux, sondez votre coeur, et vous découvrirez que ce qui vous donne de la joie n'est autre que ce qui causait votre tristesse.
Lorsque vous êtes triste, examinez de nouveau votre coeur. Vous verrez qu'en vérité vous pleurez sur ce qui fit vos délices.

Certains parmi vous disent: "La joie est plus grande que la tristesse", et d'autres disent: "Non, c'est la tristesse qui est la plus grande."
Moi je vous dit qu'elles sont inséparables.
Elles viennent ensemble, et si l'une est assise avec vous, a votre table, rappelez-vous que l'autre est endormie sur votre lit.

En vérité, vous êtes suspendus, telle une balance, entre votre tristesse et votre joie.
Il vous faut être vides pour rester immobiles et en équilibre.
Lorsque le gardien du trésor vous soulève pour peser son or et son argent dans les plateaux, votre joie et votre tristesse s'élèvent ou retombent.


Khalil Gibran

[omen]

très agréable à lir...merci d'avoir partager!

au grés du vent, au grés des flots....les vaques océanes sont décidément toujours de douces muses
bonne soirée

[Absente]

Omen

Merci pour tes gentils et agréable mots.

[confusuc]

salam...

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[Absente]

La mort n'est rien

L’amour ne disparaît jamais, la mort n’est rien.

Je suis seulement passé , dans la pièce à côté .

Je suis Moi . Vous êtes Vous .

Ce que j’étais pour vous , je le suis toujours .

Donnez-moi le nom que vous m’avez toujours donné ,

Parlez-moi comme vous l’avez toujours fait .

N’employez pas un ton différent ,

Ne prenez pas un air solennel ou triste .

Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble .

Priez , souriez ,

Pensez à moi ,

Priez pour moi .

Que mon nom soit prononcé à la maison

Comme il l’a toujours été ,

Sans emphase d’aucune sorte ,

Sans une trace d’ombre .

La vie signifie tout ce qu’elle a toujours été .

Le fil n’est pas coupé .

Pourquoi serais-je hors de vos pensées ,

Simplement parce que je suis hors de votre vue ?

Je ne suis pas loin , juste de l’autre côté du chemin

Tu vois, tout est bien

St Augustin