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Une fois n’est pas coutume, c’est l’Algérie, où il a déjà investi 200 millions de dollars, qui pourrait servir de rampe de lancement pour la conquête du marché maghrébin des lampes à faible consommation de GE. Le patron de l’Afrique francophone et du Maghreb, Attolou Ibou Alexandre, a expliqué comment il comptait développer le thème de l’efficacité énergétique dans la région. Et vendre des lampes économiques «différentes».
Les lampes à faible consommation énergétique, «diode électrode», (LEDS), estampillées General Electric (GE), une multinationale américaine, leader mondial de son métier, sont commercialisées en Algérie, mais pas en grandes quantités, parce que moins connues. Pour mieux les rendre «visibles» et en mesurer l’efficacité énergétique, GE a organisé aujourd’hui, jeudi, à Alger, une réunion regroupant des experts et certains de ses partenaires algériens. «GE s’intéresse à l’économie de l’énergie en Algérie et veut sensibiliser à l’utilisation des LEDS dont l’efficacité énergétique n’est plus à démontrer», assure Attolou Ibou Alexandre, responsable commercial chargé de l’Afrique francophone et du Maghreb, présent à cette rencontre. Les lampes LEDS ont une durée de vie de «50.000 heures», sont beaucoup plus économes que les lampes à basse consommation classiques, précise-t-il. La commercialisation des LEDS, dont Attolou se fait le promoteur, est un important segment que GE a intégré dans sa stratégie à l’international. Plus de deux cent millions de dollars ont été investis par General Electric en Algérie ces dernières années. Ils l’ont été dans Algesco, une société à capitaux mixtes (GE, Sonatrach et Sonelgaz), dans des structures de formation, dans des turbines à gaz, dans des unités de dessalement d’eau de mer…..
Poussant ses ambitions plus loin, la multinationale américaine projette d’augmenter sensiblement ses investissements en participant à des projets inscrits dans le plan quinquennal que le gouvernement algérien a mis en place, indique Attolou Ibou Alexandre. «C’est un pays en chantier qui offre des opportunités à saisir», ajoute-t-il. GE dispose d’un ensemble d’entités ramifiées partout dans le monde, en Asie, en Europe, en Afrique. Sur le continent africain, General Electric veut réellement mettre le paquet, notamment dans la sous-région maghrébine. L’efficacité énergétique au Maghreb, «GE souhaite en faire une priorité, contribuer à la promouvoir», explique notre interlocuteur qui annonce que General Electric s’apprête d’ailleurs à mettre en place une équipe de commerciaux chargée spécialement des pays du Maghreb. Et il est fort possible qu’elle soit installée en Algérie. General Electric dispose, depuis quelques années, d’une antenne à Alger (GE Algérie), une entité qui s’occupe de grands projets énergétiques, l’efficacité énergétique, elle, dépend d’une «petite» équipe implantée actuellement à Budapest, en Hongrie, nous fait savoir Attolou Ibou Alexandre.
Si GE s’intéresse à l’Algérie et à l’Afrique, de manière plus globale, c’est parce qu’il y a un potentiel, un marché en expansion sur lequel il convient de se positionner aujourd’hui. General Electric est implanté dans trente-cinq pays d’Afrique. Le géant américain réalise un chiffre d’affaires de l’ordre de quatre milliards de dollars sur le continent noir. A l’échelle mondiale, GE a pesé plus de 18 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2010.
Maghreb Emergent
Les lampes à faible consommation énergétique, «diode électrode», (LEDS), estampillées General Electric (GE), une multinationale américaine, leader mondial de son métier, sont commercialisées en Algérie, mais pas en grandes quantités, parce que moins connues. Pour mieux les rendre «visibles» et en mesurer l’efficacité énergétique, GE a organisé aujourd’hui, jeudi, à Alger, une réunion regroupant des experts et certains de ses partenaires algériens. «GE s’intéresse à l’économie de l’énergie en Algérie et veut sensibiliser à l’utilisation des LEDS dont l’efficacité énergétique n’est plus à démontrer», assure Attolou Ibou Alexandre, responsable commercial chargé de l’Afrique francophone et du Maghreb, présent à cette rencontre. Les lampes LEDS ont une durée de vie de «50.000 heures», sont beaucoup plus économes que les lampes à basse consommation classiques, précise-t-il. La commercialisation des LEDS, dont Attolou se fait le promoteur, est un important segment que GE a intégré dans sa stratégie à l’international. Plus de deux cent millions de dollars ont été investis par General Electric en Algérie ces dernières années. Ils l’ont été dans Algesco, une société à capitaux mixtes (GE, Sonatrach et Sonelgaz), dans des structures de formation, dans des turbines à gaz, dans des unités de dessalement d’eau de mer…..
Poussant ses ambitions plus loin, la multinationale américaine projette d’augmenter sensiblement ses investissements en participant à des projets inscrits dans le plan quinquennal que le gouvernement algérien a mis en place, indique Attolou Ibou Alexandre. «C’est un pays en chantier qui offre des opportunités à saisir», ajoute-t-il. GE dispose d’un ensemble d’entités ramifiées partout dans le monde, en Asie, en Europe, en Afrique. Sur le continent africain, General Electric veut réellement mettre le paquet, notamment dans la sous-région maghrébine. L’efficacité énergétique au Maghreb, «GE souhaite en faire une priorité, contribuer à la promouvoir», explique notre interlocuteur qui annonce que General Electric s’apprête d’ailleurs à mettre en place une équipe de commerciaux chargée spécialement des pays du Maghreb. Et il est fort possible qu’elle soit installée en Algérie. General Electric dispose, depuis quelques années, d’une antenne à Alger (GE Algérie), une entité qui s’occupe de grands projets énergétiques, l’efficacité énergétique, elle, dépend d’une «petite» équipe implantée actuellement à Budapest, en Hongrie, nous fait savoir Attolou Ibou Alexandre.
Si GE s’intéresse à l’Algérie et à l’Afrique, de manière plus globale, c’est parce qu’il y a un potentiel, un marché en expansion sur lequel il convient de se positionner aujourd’hui. General Electric est implanté dans trente-cinq pays d’Afrique. Le géant américain réalise un chiffre d’affaires de l’ordre de quatre milliards de dollars sur le continent noir. A l’échelle mondiale, GE a pesé plus de 18 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2010.
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