ACTE 1
PDG de RAM : Gestionnaire d’une ère révolue
Depuis sa nomination à la tète de ROYAIL AIR MAROC , MR BERRADA s’est
comporté comme un prédateur cherchant la proie facile à avaler pour
assouvir encore son appétit de dilapidation et d’hypothèque de l’avenir.
Cette fois, le scénario ne concerne pas le destin national mais
l’avenir et le devenir d’une grande compagnie nationale, ses infrastructures
et son potentiel humain ayant un savoir-faire connu et reconnu par
toutes les instances de l’aviation civile marocaine DAC, européenne EASA
et américaine FAA.
A travers ce récit, il sera dénoncé toute la chaîne destructrice depuis
les instigateurs derrière le rideau , jusqu’aux gros profiteurs
décideurs et en passant par les petits profiteurs occasionnels de ce gâchis
causé encore au royaume du MAROC dans sa longue marche de développement
et d ‘épanouissement humain source d ‘avenir de notre pays .
SCENE 1, les petits larcins
Pour commencer, M. BERRADA a tenté de détourner à son profit la prime
annuelle versée à la fin de chaque année à l’ensemble du personnel de
plus de 5.000 personnes selon un barème préétabli par son prédécesseur
(10.000dhs pour chaque agent d’exécution, 12.000dhs pour chaque agent
de maîtrise et 15.000dhs pour chaque cadre).
Chose qu’il faut savoir c’est que le montant global de cette prime
était distribué depuis des décennies sous le manteau et gracieusement
d’abord en grande partie au PDG , à une valeur moindre aux cinq
directeurs et qui à leur tour désignent une petite poignée de privilégiés pour
les subsides .
Sa tentative maladroite a mobilisé plus de 5.000 personnes soit
l’ensemble du personnel contre lui et MR BERRADA a battu en retraite pour
retarder son rapt à une autre échéance plus propice après le matage des
pilotes et des techniciens aéronautiques.
Scène 2, des gibiers moyens mijotés à la sauce de la construction
immobilière
Après cette tentative qui aurait pour conséquence d’éveiller toutes les
consciences, il a repris à son compte le projet immobilier du nouveau
siège de RAM à NOUASSEUR.
Sa nouvelle tentative de rapt d’un nouveau butin consistait à
construire un grand ensemble immobilier à coté de l ‘aéroport MOHAMED V et
transformer les locaux du siège d’ANFA en un ensemble immobilier
d’habitation et puis pour maquiller son forfait la participation au projet
national de lutte contre l’habitat insalubre.
Une brouille entre charognards sur le projet meilleur à maquiller leur
forfait a fait capoter la malversation par l’éveil de consciences mises
sur la touche rappelant la propriété du terrain de l’ ONDA et puis
dans un élan nationaliste l’appartenance de ce terrain au patrimoine de
l ‘aéroport d’ANFA .
Devant ces échecs , ses mentors viennent à la rescousse pour lui
conseiller de mener le grand jeu des grands parrains et de mener les gros
coups au lieu des petites opérations très classiques qui finissent
souvent par dévoiler leur combinaison et pointer les profiteurs.
Scène 3 les gros lots du groupe RAM
En grand zestionnaire, Mr BERRADA entame sa besogne de dilapidation
par un prélude de cession sans cahiers de charges et sans avis aux
enchères des affaires faciles et juteuses telles le transport routier du
personnel, le gardiennage, le nettoyage et la sécurité des locaux et même
le nettoyage de l’intérieur des cabines des avions et le chargement /
déchargement des bagages des soutes des avions.
Agacés par son amateurisme dans les larcins , les mentors désignent à
MR BERRADA de reprendre à leur profit l ‘exploitation du filon groupe
RAM par la création des sociétés de service filialisées et
génératrices de grands profits personnels aux heureux managers en place et à leurs
acolytes dans les sales besognes de dilapidation des deniers publics.
Pour commencer MR BERRADA fait enterrer le concept du groupe RAM mis
en place par son prédécesseur orienté sur le vrai business de la
compagnie nationale aérienne RAM en l’occurrence le transport aérien et
seulement le transport aérien .
Ce concept était prévu participatif et coopératif par l’introduction
en bourse de CASABLANCA du capital RAM avec réservation d’une part
bloquante au personnel.
PDG de RAM : Gestionnaire d’une ère révolue
Depuis sa nomination à la tète de ROYAIL AIR MAROC , MR BERRADA s’est
comporté comme un prédateur cherchant la proie facile à avaler pour
assouvir encore son appétit de dilapidation et d’hypothèque de l’avenir.
Cette fois, le scénario ne concerne pas le destin national mais
l’avenir et le devenir d’une grande compagnie nationale, ses infrastructures
et son potentiel humain ayant un savoir-faire connu et reconnu par
toutes les instances de l’aviation civile marocaine DAC, européenne EASA
et américaine FAA.
A travers ce récit, il sera dénoncé toute la chaîne destructrice depuis
les instigateurs derrière le rideau , jusqu’aux gros profiteurs
décideurs et en passant par les petits profiteurs occasionnels de ce gâchis
causé encore au royaume du MAROC dans sa longue marche de développement
et d ‘épanouissement humain source d ‘avenir de notre pays .
SCENE 1, les petits larcins
Pour commencer, M. BERRADA a tenté de détourner à son profit la prime
annuelle versée à la fin de chaque année à l’ensemble du personnel de
plus de 5.000 personnes selon un barème préétabli par son prédécesseur
(10.000dhs pour chaque agent d’exécution, 12.000dhs pour chaque agent
de maîtrise et 15.000dhs pour chaque cadre).
Chose qu’il faut savoir c’est que le montant global de cette prime
était distribué depuis des décennies sous le manteau et gracieusement
d’abord en grande partie au PDG , à une valeur moindre aux cinq
directeurs et qui à leur tour désignent une petite poignée de privilégiés pour
les subsides .
Sa tentative maladroite a mobilisé plus de 5.000 personnes soit
l’ensemble du personnel contre lui et MR BERRADA a battu en retraite pour
retarder son rapt à une autre échéance plus propice après le matage des
pilotes et des techniciens aéronautiques.
Scène 2, des gibiers moyens mijotés à la sauce de la construction
immobilière
Après cette tentative qui aurait pour conséquence d’éveiller toutes les
consciences, il a repris à son compte le projet immobilier du nouveau
siège de RAM à NOUASSEUR.
Sa nouvelle tentative de rapt d’un nouveau butin consistait à
construire un grand ensemble immobilier à coté de l ‘aéroport MOHAMED V et
transformer les locaux du siège d’ANFA en un ensemble immobilier
d’habitation et puis pour maquiller son forfait la participation au projet
national de lutte contre l’habitat insalubre.
Une brouille entre charognards sur le projet meilleur à maquiller leur
forfait a fait capoter la malversation par l’éveil de consciences mises
sur la touche rappelant la propriété du terrain de l’ ONDA et puis
dans un élan nationaliste l’appartenance de ce terrain au patrimoine de
l ‘aéroport d’ANFA .
Devant ces échecs , ses mentors viennent à la rescousse pour lui
conseiller de mener le grand jeu des grands parrains et de mener les gros
coups au lieu des petites opérations très classiques qui finissent
souvent par dévoiler leur combinaison et pointer les profiteurs.
Scène 3 les gros lots du groupe RAM
En grand zestionnaire, Mr BERRADA entame sa besogne de dilapidation
par un prélude de cession sans cahiers de charges et sans avis aux
enchères des affaires faciles et juteuses telles le transport routier du
personnel, le gardiennage, le nettoyage et la sécurité des locaux et même
le nettoyage de l’intérieur des cabines des avions et le chargement /
déchargement des bagages des soutes des avions.
Agacés par son amateurisme dans les larcins , les mentors désignent à
MR BERRADA de reprendre à leur profit l ‘exploitation du filon groupe
RAM par la création des sociétés de service filialisées et
génératrices de grands profits personnels aux heureux managers en place et à leurs
acolytes dans les sales besognes de dilapidation des deniers publics.
Pour commencer MR BERRADA fait enterrer le concept du groupe RAM mis
en place par son prédécesseur orienté sur le vrai business de la
compagnie nationale aérienne RAM en l’occurrence le transport aérien et
seulement le transport aérien .
Ce concept était prévu participatif et coopératif par l’introduction
en bourse de CASABLANCA du capital RAM avec réservation d’une part
bloquante au personnel.
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