PETITE ABEILLE
Je m’offre une pause,
Une petite parenthèse,
Et pars m’isoler
Dans un endroit paisible.
Une petite parenthèse,
Et pars m’isoler
Dans un endroit paisible.
Il est à peine midi que déjà le soleil cogne.
La température ne cesse de grimper
Et de mes tempes quelques gouttes perlent.
Suivant leur chemin elles descendent jusqu’à mon décolleté.
Vite je m’allonge à l’ombre sur un drap
Et petit à petit m’assoupis sous un arbre
A l’orée d’un joli bois.
La température ne cesse de grimper
Et de mes tempes quelques gouttes perlent.
Suivant leur chemin elles descendent jusqu’à mon décolleté.
Vite je m’allonge à l’ombre sur un drap
Et petit à petit m’assoupis sous un arbre
A l’orée d’un joli bois.
Le soleil se faufile entre les branches et me caresse
Il réchauffe mon corps doucement
Tandis que la brise le rafraichit.
Il réchauffe mon corps doucement
Tandis que la brise le rafraichit.
Une fourmi se promène le long de ma jambe
Un papillon vole autour de ma tête
J’entre ouvre les yeux.
Un papillon vole autour de ma tête
J’entre ouvre les yeux.
Dans le ciel si bleu les nuages blancs
M’invitent au voyage.
Je m’imagine être une abeille
Qui vole d’une fleur à une autre
Sans se soucier de ce qui l’entoure.
Décidée à ne penser qu’à son plaisir
Et à se défaire des chaines qui la retiennent.
Légère elle virevolte.
Vision de bonheur quand devant elle
Apparait un champ emplit de fleurs.
Son cœur se met à bondir hors de sa poitrine si frêle.
Toutes ces couleurs l’éblouissent
Tous ces parfums l’enivrent.
M’invitent au voyage.
Je m’imagine être une abeille
Qui vole d’une fleur à une autre
Sans se soucier de ce qui l’entoure.
Décidée à ne penser qu’à son plaisir
Et à se défaire des chaines qui la retiennent.
Légère elle virevolte.
Vision de bonheur quand devant elle
Apparait un champ emplit de fleurs.
Son cœur se met à bondir hors de sa poitrine si frêle.
Toutes ces couleurs l’éblouissent
Tous ces parfums l’enivrent.
Se nourrissant du nectar
Que chacune peut lui offrir
Elle boit jusqu’à plus soif.
Que chacune peut lui offrir
Elle boit jusqu’à plus soif.
A peine rassasiée
Le reste de l’essaim la rappelle à ses obligations.
Triste elle rentre
Reprenant ses activités et son dur labeur.
Le reste de l’essaim la rappelle à ses obligations.
Triste elle rentre
Reprenant ses activités et son dur labeur.
Le soir en s’endormant
Le bourdon la prend.
Vite dissipé quand en mémoire lui reviennent
Ces instants de bonheur et de liberté
Qu’elle vécut dans la journée.
Un sourire aux lèvres elle s’endort paisiblement
Impatiente qu’un nouveau jour se lève.
Le bourdon la prend.
Vite dissipé quand en mémoire lui reviennent
Ces instants de bonheur et de liberté
Qu’elle vécut dans la journée.
Un sourire aux lèvres elle s’endort paisiblement
Impatiente qu’un nouveau jour se lève.
Promesse de nouvelles rencontres,
Promesse de nouvelles ivresses.
Promesse de nouvelles ivresses.
By Angèle,
le 27 Mai 2011
le 27 Mai 2011
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